Je suis allé faire ma pause de midi près de la rivière, à quelques minutes du boulot, là où il fait bon s'acoquiner dans les bois.Je mange vite fait mon repas avec la ferme intention d'aller faire une petite promenade digestive avant de retourner au bureau.
Me voilà donc en marche. J'ai profité du bord de l'eau et n'ai donc plus beaucoup de temps avant de devoir repartir.
Je progresse sur le chemin principal qui coupe la forêt en deux parties. Personne de visible, je scrute à travers les branchages mais pas de silhouettes à l'horizon. Bon, tant pis pour aujourd'hui, il est temps de rebrousser chemin en prenant par les petits sentiers, là où l'on croise plus fréquemment les coquins. Je m'y aventure, toujours personne, il me reste à peine plus d'une dizaine de minutes avant qu'il ne soit trop tard.
J'approche du lieu le plus chaud, un paravent de branches et de feuilles un peu à l'écart du sentier, parfait pour être le plus discret possible.
J'y ai vu hier un type qui attendait mais n'ai pas saisi l'occasion, j'étais pressé et il ne rentrait pas vraiment dans mes critères. Sauf que je l'ai un peu regretté par la suite et aujourd'hui je n'ai pas envie d'avoir de nouveaux regrets. S'il est là, j'y vais !
Je vois du mouvement à travers les feuilles.
J'approche, l'excitation monte, les pulsations dans ma poitrine s'intensifient. Ce mélange de désir et d'appréhension... Ce suspense qui vous hérisse les poils, et pas que...
Je les vois désormais. Ils sont trois. Un beau cinquantenaire, bien roulé, belle calvitie sur visage avenant se fait sucer par un type du même âge, chauve, de l'embonpoint, il y met du sien et l'autre gémit de plaisir.
A côté d'eux, appuyé sur un gros rocher rond, soixante ans, les cheveux plus sel que poivre, une barbichette blanche, des lunettes posées sur un visage charmant. Le bermuda sur les chevilles, le t-shirt relevé au dessus du ventre, il se masturbe en matant les deux autres. Est ce qu'on s'est déjà occupé de lui ?
Il me regarde, celui qui se fait sucer aussi. Je m'arrête à deux mètres d'eux, les observe l'un et l'autre dans l'attente d'une approbation. Un sourire me donne le feu vert.
Je m'approche du mec seul. Pas très grand, ni trop mince, ni trop gros et surtout... Surtout ! Poilu sur tout le corps ! Des couilles jusqu'au ventre, des poils bruns qui laissent la place à une toison blanche sur le torse, magnifique, épaisse. Je la caresse et ressent un frisson comme mes doigts se perdent dans sa toison.
Mais le temps presse, alors je baisse les yeux sur son sexe dressé, fier et beau. Je me penche sans attendre et le prend dans ma bouche. Quelle douceur ! Je suce son gland gonflé puis le prend tout entier pendant que mes mains caressent ses couilles et son ventre, son torse. Il dirige ma main vers ses tétons dans un râle de plaisir. Je lui caresse et le pince doucement, continuant à le pomper en faisant tourner ma langue autour de sa queue.
Ma main gauche s'aventure entre ses cuisses, il répond présent en les écartant. me laissant l'accès libre à sa raie velue et à son trou. Mon majeur le caresse, le titille et s'y glisse avec délice.
"Oh oui, c'est booon"
Il prend son pied. Je lui lèche sa queue dressée et humide et vais gober ses couilles, je les fais rouler dans ma bouche, les aspire, les lèche. Il est aux anges, écarte encore plus les cuisses et s'allonge sur le rocher rond.
La vision est superbe : il est allongé sur le dos, offrant à mon regard et à mes doigts son corps et ses poils et, le cul ainsi relevé, j'ai un accès ...
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