Dans le bus, sur le chemin du retour vers la maison, je vois à travers la vitre plusieurs personnes avec des bouquets de fleurs emballés dans du papier kraft.

Lorsque mon copain me récupère à l'arrêt, après notre petit câlin et le bisou de bienvenue, d'autres personnes avec des fleurs sur le trottoir...

Tout à coup, je réalise, c'est la Saint-Valentin ! Et mon copain qui enchaîne croyant qu'on n'était à peine le 13 février... Voilà, après nos années ensemble, où passe la Saint-Valentin. On se regarde avec tendresse car on sait que nos attentions l'un envers l'autre existent tout au long de l'année. Ceci dit, pour marquer le coup, il m'invite à dîner... le lendemain !

C'est un restaurant asiatique, buffet à volonté, dans le centre-ville. Il est 19 h 30, le lieu est calme. Les lumières au plafond sont rouges, mais l'ambiance générale est plongée dans une lueur jaune. Au milieu de la pièce, un aquarium incurvé masque la salle.

On le contourne. La serveuse nous place. C'est à côté du buffet. Je m'assois et aperçois deux hommes assis devant l'aquarium. Celui face à moi doit avoir une quarantaine d'années. Il est barbu. Il a de courts cheveux noirs qui reculent avec sa calvitie sur les tempes. Il porte un jogging noir et un t-shirt à l'effigie d'un groupe de musique qui m'est inconnu. Son accompagnateur est blond et semble plus jeune d'à peine quelques années.

Le barbu jette de furtifs coups d’œil vers moi. Pourtant il m'ignore lorsqu'il se lève pour manger. Seul le blond me regarde de haut.

Le repas est bien entamé entre mon copain et moi. On se lève tour à tour se servir au buffet et plaisantons de tout et de rien.

Le barbu me fixe alors sans baisser les yeux. Je lui souris par politesse et il me répond en un sourire encore plus grand.

C'est alors que le jeu de regard continue. Il soutient le mien lorsqu'il passe à côté de moi à plusieurs reprise.

Voilà qu'ils en sont au dessert. Mon copain a déjà compris que mon attention est attiré derrière lui. Il me demande :

«Il est blond ou il est brun ?
- Il est chauve, lui répondis-je en souriant.
- Jeune ou vieux ?
- À ton avis ?»

Toujours dans ma direction, le barbu frappe alors son poing dans sa main gauche. Je lui souris malicieusement. Il se dirige vers les toilettes.

Tout en me levant, je me tourne vers mon copain :

«C'est le moment.»

Il soulève alors les sourcils vers moi :

«Tu me raconteras.»

J'entre dans les toilettes. Il est de dos, debout aux urinoirs. Je bande déjà. Je m'approche de lui et m’appuie sur les parois séparatrices :

«Salut...»

Il me répond, tête baissée. J'aperçois à peine son sexe.

Je me dirige vers des toilettes avec porte en lui frôlant les fesses. Il tourne la tête vers moi, entre dans la cabine, toujours le sexe décalotté du pantalon et ferme à clef.

Sans plus discuter, je m'accroupis pour prendra appui sur ses cuisses et mets sa bite dans ma bouche. Elle est de taille moyenne et grossit rapidement en gardant des proportions raisonnables pour le sucer. Son pubis est noir, touffu. Ses couilles sont moyennes, très poilues.

Je baisse alors son pantalon. Il est en boxer Freegun. Boxer que je lui baisse également. En passant mes mains sur ses fesses, je sens qu'elles sont également couvertes de poils. Je cale mes doigts sous les plis de son cul et le suce à nous faire plaisir.

Il se caresse le bas ventre, ce qui remonte son t-shirt et me laisse constater que son pubis ne fais qu'un avec les poils qui remontent jusqu'à son nombril. Poils que je dois retirer de ma langue à plusieurs reprise.

La poignée de la porte bouge ce qui le fait sursauter. Mais rien qui ne me perturbe à continuer à profiter de sa bite.

La poignée bouge à nouveau. J'annonce :

...

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