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Avec mon parrain

Publié par : oliv22600 le 18/08/2024

Claude, mon parrain, était sans doute le meilleur ami de mes parents. Il résidait dans la même ville que nous, c'est à dire à Tours, et venait régulièrement à la maison. Nous étions très proches et il m'arrivait aussi de passer chez lui pour le plaisir de le voir et de passer du temps avec lui. En plus, comme il était enseignant, il était toujours en vacances en même temps que moi et souvent il me gardait chez lui durant ces périodes. Claude était gay, je le savais et, enfant, je n'y prêtais pas beaucoup d'importance. Par contre, à l'adolescence, à quatorze ans, quand je découvris mon orientation sexuelle, cela me parut une bonne chose. Comme lui j'étais gay et il devint mon confident. Ensemble, nous parlions de sexe et je lui avouai très vite que j'étais passif et aimais me faire prendre. Quand j'eu seize ans, je connus une déception amoureuse terrible qui me laissa un peu déprimé. Mes parents s'en inquiétèrent mais je ne voulus rien leur dire et Claude en voyant mon état proposa de m'emmener au ski avec lui. Il précisa qu'il s'était loué un studio pour quinze jours à La Clusaz et nous fit part d'une petite contrainte.

- Il n'y a qu'un seul couchage alors Olivier devra dormir avec moi.
- Ça ce n'est pas grave, dis-je aussitôt. Je veux bien dormir avec toi. C'est même bien comme ça tu pourras me faire des câlins. Je crois que j'en ai besoin.
- Oh, mon Biquet, me dit Claude en me prenant dans ses bras, tu es bien grand pour ça mais, si c'est ce que tu veux, je te câlinerai un petit peu.
- T'es sûr que la présence d'Olivier avec toi ne vas pas te déranger ? Demanda ma mère inquiète. En plus, il n'est pas équipé et il faudra que tu nous dises combien il lui faut pour les skis et le forfait.
- Je prendrai à ma charge la location des skis et le forfait d'Olivier mais je vous laisse le soin de lui acheter une tenue appropriée.
- On va quand même participer aux frais de séjour, déclara mon père, Tu ne vas pas tout payer. Un ado ça bouffe, tu peux me croire.
- Non, je ne vous demande rien. C'est mon cadeau. J'invite Olivier à m'accompagner au ski et je payerai seul son séjour. Contentez vous de l'habiller comme il faut avec une combinaison de ski et des pulls en laine.
- Ça, pour ce qui est des pulls, il a ce qu'il faut, et la combinaison de ski on va trouver ça dans un magasin de sport, déclara ma mère, je l’emmènerai en choisir une le week-end prochain.
- Et on partira quand ? Demandai-je curieux, j'ai trop hâte d'être avec toi.
- Le vendredi après les cours, me répondit mon parrain. Dès que tu rentres du lycée, on s'en va et on dormira en route dans un hôtel.

En apprenant ça, je bondis de joie et je promis à mon Parrain de ne pas trainer après le lycée. Dès lors, je me mis à compter les jours et je fus ravi quand, le samedi suivant, Maman m'emmena acheter une combinaison de ski. La dernière semaine avant le départ me parut interminable mais le vendredi arriva enfin et je rentrai du lycée aussitôt mes cours terminés. Je fus heureux de voir la voiture de mon parrain garée devant la maison et je me précipitai à l'intérieur. Je retrouvai Claude et ma mère en train de discuter au salon et je les embrassai avant d'aller poser mon sac d'école dans ma chambre. Ma valise était prête et je la pris tout de suite pour la descendre au salon.

- Je suis prêt ! Criai-je en entrant de nouveau dans le salon.
- Tu n'as rien oublié ? Me demanda mon Parrain. Une fois qu'on sera parti, je ne ferai pas demi-tour.
- Non, j'ai tout ce qu'il me faut, répondis-je sûr de moi. Ça fait trois jours que ma valise est prête.
- Bon et bien partons, dit alors mon parrain, nous avons de la route pour rejoindre notre hôtel.

Nous partîmes après avoir embrassé ma mère et je me sentis heureux. Je dis alors à Claude à quel point je lui étais reconnaissant de m'emmener en vacances et je le remerciai du fond du cœur. Mon parrain se dit ravi de me voir de bonne humeur et me questionna sur la raison de ma tristesse des jours passés. Je lui expliquai alors que j'étais sorti avec un garçon de mon lycée qui s'était servi de moi avant de me plaquer comme une merde. Je reconnus avoir aimé ce garçon plus que de raison et avoir souffert en m'apercevant que ce n'était pas réciproque.

- Tu croiseras souvent des gens égoïstes, me dit mon parrain, et seulement intéressés par leur seul plaisir. Tu ne dois pas te formaliser avec ça et tu dois surtout passer à autre chose.
- Je sais mais du coup ça fait plus d'un mois que je n'ai pas niqué et ça me manque. Comment tu fais, toi, quand tu n'as pas d'amant ?
- Oh tu sais, moi je drague sur internet et si je tire un coup par mois, je suis content. Autrement, je me masturbe comme tout le monde quand il est seul. Mon problème c'est de trouver des hommes qui me plaisent car ils sont souvent trop vieux.
- Parce que tu cherches des hommes de quel âge ?
- Je cherche des minets, à peine sortis de l'adolescence, donc dix-huit à vingt ans au maximum et ça, ça ne cours pas les rues.
- Dix-huit ans ? T'as jamais cherché plus jeune ?
- Plus jeune ? Non, et puis je ne veux pas tomber dans le détournement de mineur.
- Sans aller jusque là, un gars de seize ou dix-sept ans ça ne te plairait pas ? T'imagines ? Tu pourrais en profiter pendant trois ou quatre ans avant de le trouver trop vieux. Si j'étais toi, c'est ce que je ferais. Je me trouverais un garçon de seize ans et je sortirais avec.
- Sauf que pour ça, il faudrait que je fasse la sortie des lycées de Tours et je passerais vite pour un pervers.
- T'es pas obligé de faire le sortie des lycées. Il y a bien des adolescents dans ton entourage, non ?
- À part toi, je ne vois pas.
- Et alors ? Tu ne me trouves pas à ton goût peut-être… J'ai pourtant le sentiment d'être plutôt mignon.
- Toi ? T'es craquant mais t'es mon filleul. Je te connais depuis ta naissance alors la chose me parait impossible.
- Pfff… N'importe quoi ! Moi ça ne me gênerait pas de sortir avec toi ; au contraire. En plus ce serait plutôt bien justement parce qu'on se connait bien et qu'on s'aime très fort.
- Certes, on s'aime très fort mais je pense que ce serait une mauvaise idée de sortir ensemble. Sans compter que tes parents pourraient mal le prendre.
- Ça on s'en moque de ce qu'ils pourraient penser. De toute façon ce sont des coincés du bulbe. Si je les écoutais je ne sortirais avec personne avant d'avoir fini mes études.
- C'est pas faux… Mais ça ne change rien à mon opinion. Je ne voudrais surtout pas te faire souffrir.
- C'est maintenant que je souffre. Je t'aime Parrain et je serais prêt à faire ce que tu veux pour te rendre heureux, dis-je sans retenir mes larmes.
- Oh la, ne pleure pas, mon Chéri, je ne veux que ton bonheur et je ferai ce que je peux pour te rendre heureux mais ne me demande pas l'impossible.

Je ne répondis rien à ceci et m'enfermai dans ma bulle en regardant le paysage défiler. Je ne décrochai plus un mot jusqu'à un arrêt pipi et diner à une heure de Mâcon. J'évitai de reparler à mon parrain d'une relation amoureuse entre nous et lui même ne remit pas la question sur le tapis. Pour me changer les idées, il me parla de ski et de la station de La Clusaz où nous allions. Je l'écoutai et m'intéressai finalement à cette conversation. Nous dînâmes le plus rapidement possible et reprîmes la route en direction de notre hôtel. Nous arrivâmes vers vingt-deux heures à Mâcon et prîmes tout de suite possession de notre chambre d'hôtel. Bien que Claude eut précisé que nous étions un adulte et un enfant, une erreur fit que notre chambre était équipé d'un seul lit double.

- Bon, nous allons devoir dormir ensemble, me dit alors mon parrain, ça ne te gêne pas.
- Non, au contraire, je n'ai pas envie de dormir seul. Par contre, je n'ai pas de pyjama, dis-je en rougissant, à la maison je dors nu.
- Moi aussi, je dors nu d'habitude mais si tu veux, nous garderons nos slips.
- Comme tu veux, répondis-je. Tout ce que j'espère c'est qu'on se fasse un câlin.
- Je t'en ferais un gros ; c'est promis, me dit Claude.

Comme Claude se déshabilla, j'en fis autant et décidai de ne pas garder mon boxer. Mon parrain, en me voyant me mettre nu sous les draps, sembla hésiter et retira son slip. J'en fus ravi et l'accueillis contre moi avec une pointe d'excitation. Nous nous serrâmes l'un contre l'autre et il me prit dans ses bras pour m'of ...

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