La Mère à Martine !


A près mon service militaire, ayant eu une éducation sévère par ma mère, je recherchais l’âme soeur. Chaque Week-end avec un copain, nous écumions les bals de campagne.

Comme dans les contes, j’ai pensé au début que j’inviterai une belle femme à danser, et qu’après un slow langoureux, je lui dévorai la bouche, que nous nous marions et qu’une petite famille se formait !

Malheureusement la réalité était autre ! La plus part du temps, le refus était net ! Je m’avançais vers ces rosières le cul scotché sur leur siège, leur demandais :

« Dansez vous mademoiselle « et sans ménagement elle me répondait négativement . A la 3ème bière, en général cela finissait par :

« Je suppose que tu ne suces pas non plus ! »
Voilà, cela à duré quelques temps, surtout les hivers, le reste de l’année, j’occupais mes loisirs par un sport de compétition.
Par la suite, j’ai connu Martine, elle est plus jeune que moi de 7 ans.
Cela a été aussitôt le cou de foudre au grand dam de ma mère.
Martine et moi ne nous lâchions plus. Au bout de deux mois, elle me présenta à ses parents. Le père, Pierre un homme agréable qui travaillait encore comme routier. La mère, Gisèle plus serrée du cul, belle femme qui se donne un style de bourgeoise. Toujours bien habillée.
J’essayais d’avoir les meilleurs contacts avec eux pour nous faciliter la vie.
Nous avons rapidement projeté de nous marier, cela commencer pour moi par un changement de travail, quittant mon emploi précaire pour une situation stable.
Par ce fait, le Week-end, je dormais chez mes futurs beau Parents. Mais bien sûr pas avec Martine, je dormais dans une autre chambre. Dès que nous pouvions, nous nous évadions. En forêt, tranquille, Martine pouvait me sucer et moi la tripoter à ma guise.
Je travaillais en équipe, et il m’arrivait que le lundi, je me retrouve seul avec Gisèle qui elle travaillait dans le commerce. Pierre parti de bonne heure et Martine tôt le matin. Je trainais donc au lit.
Gisèle en profitait pour squatter la salle de bain.
Ce lundi là, j’entendais le son de la petite radio dans la salle d’eau.
Par curiosité, l’envie me prit d’essayer de mater la belle mère.
Doucement, pieds nus en caleçon, je m’avance vers la porte de la salle de bain. Elle est entrouverte, assez pour avoir une vue sur le fond de la pièce.
Elle est là, en culotte de soie chair torse nu, un pied sur le rebord de la baignoire. Elle passe du vernis à ongle à ses doigts de pieds.
Je ne l’avais jamais imaginé à poils, mais mà, je ne suis pas déçu !
Un corps bien proportionné, un cul royal, et des jambes bien fuselés, il a dû bien s’éclater le Pierre !
Je continue à mater son cul, sa position me permet de voir l’arrière de son abricot, hum, je lui boufferai bien, j’adore les abricots ! Machinalement, je presse ma bite !
Gisèle à finit de colorer ses ongles, elle baisse sa culotte, et par l’intermédiaire de la glace, je peux voir sa chatte. Quelle surprise elle est poilue et pas qu’un peu, une vraie forêt !
Elle attrape le gant de toilette et se savonne à fond la chatte en chantonnant. Après s’être rincée, elle enfile un porte-jarretelles noir. Puis méticuleusement elle passe ses bas chair à couture.
Oh, merde, je vais craquer, elle est trop bonne la garce, un vrai pute, comme dans mes phantasmes ! Elle chantonne, il faut que je prenne contact.
Je repars à reculons dans ma chambre, je prends mon souffle et décide d’y aller !
Je sors brusquement de la chambre et à grandes enjambées me dirige vers la salle de bain. J’y arrive, pousse la porte et fais semblant d’être surpris par la présence de ma belle mère.
Elle se tourne vers moi, elle est en bas porte-jarretelles, n’a pas eu le temps de mettre une culotte et a les seins à l’air !
« Oh pardon, je ne savais pas qu’il y avait du monde ! « m’exclamais je

Sans se démonter, Gisèle se couvre les seins avec une serviette, laissant sa chatte à l’air.

Elle jette quant même un regard sur mon érection et me répond en souriant :
«
Ce n’est pas grave, c’est ma faute, je n’avais pas fermé la porte ! Si vous voulez utiliser la douche, ne vous gênez pas ! «

Profitant de l’occasion de m’exhiber, j'acquiesce me dirige vers la douche, enlève mon caleçon, et. le sexe sexe tendu, rentre dans le boxe. Gisèle m’observe du coin de l’oeil, elle a l’air d’apprécier !

L’eau tiède s’écoule sur mon corps, je me savonne et m’astique la queue me mettant de face pour ne pas que ma belle mère en perde une miette !

J’aurai bien envie d’aller jusqu’à l’éjaculation, mais on ne sait jamais !

Gisèle a passée son soutien-gorge et enfilée sa culotte.
Je m’essuie et sors de la douche, je reste nu. Je me sèche les cheveux à côté d’elle. Elle se maquille, Une belle morue la Gisèle !
Elle me regarde par en dessous dans son miroir.
Je pars dans la chambre m’habiller, le contact est noué.
Quelques minutes après, Gisèle viens frapper à ma porte et me dit :
« Je vais faire quelques courses, je reviens pour manger, nous déjeunerons ensemble si tu le veux. «
Je réponds positivement à sa demande. Elle me sourit et s’en va.
Elle est super canon dans son tailleur vert et ses haut talon vernis. J’ai hâte qu’elle revienne ! J’ai deux heures avant son retour, je vais en profiter !
Mes futur beau parent habitent dans un petit immeuble à Darnétal. Leur appartement est un type 4 , comme on dit. Pierre ne dort plus avec Gisèle, vu ses horaires matinaux, il dort seul dans sa petite chambre. Laissant le grand lit à la voluptueuse Gisèle.
Je vais donc directement dans l’ancienne chambre familiale. Un grand lit trône au milieu de la pièce. Un grande armoire sur la droite, et une commode sur la gauche. Rien qu’à l’idée de fouiller les affaires de la belle doche, je bande ! Je m’attaque à l’armoire, des manteaux, des robes classiques, des jupes et le bas rempli de chaussures, bottes ! rien de spécial.
Je me dirige donc vers la commode. A l’intérieur du tiroir du haut, c’est les culottes, il y en a de toutes les couleurs, des hautes ,des brésiliennes, des tanguas, des strings, des shorty ...

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