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Les vendanges avec Tonton !

Publié par : routiers76 le 21/05/2025
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Les vendanges avec Tonton.

Août 1980, libéré du service militaire et à la recherche d’un travail, mon oncle Albert a proposé à mes parents que j’aille faire les vendanges avec lui à Libourne en Septembre.
Il connaît bien les exploitants, et c’est sans difficultés qu’ils ont accepté. Forcément, mes parents étaient satisfais, plutôt que de me voir glander à la maison.
Nous partons donc le Samedi matin, car il préfère faire la route tranquillement en deux fois.
Il a prévu un petit hôtel à Nantes et forcément, comme on prend les Nationales, c’est long.
Albert est âgé de 62 ans. Bien conservé, il n’a jamais été marié
Lorsqu’il est venu me chercher, il a été étonne en me voyant !
« T’aurait pu te mettre en short, tu vas avoir chaud en jeans ! «
Sur le moment, cela m’a fait rire, mais maintenant que nous roulons, je pense qu’il avait raison. Lui est en short ample. C’est marrant, il n’a pas de poils. Ses jambes sont bien bronzées.
Au niveau de Caen, j’ose lui demander de faire un arrêt pour que je puisse passer un short.
Il rigole et content me dit :
« Alors tu vois, Tonton a toujours raison ! Dès que je le peux, je m’arrête ! «
Après avoir passé Caen, il prend une Départementale et va se stationner à l’orée d’un petit bois.
« Super, je vais en profiter pour prendre un café, tu en veux un ? «
« Non merci Tonton, je me change ! «
Albert a empoigné le thermos à café et se sert. J’ai reculé le siège avant au maximum et je descends mon jeans.
En baissant mon pantalon, je m’aperçois que mon sexe est en érection. Mon gland passe à travers l’ouverture de mon caleçon. Je suis gêné et fais en sorte de le cacher rapidement. Mais tonton a déjà capté, et son regard est resté fixé sur mon entrejambe.
« Tu ne vas pas garder ton caleçon sous un short, cela risque de te gêner de la façon dont tu es monter ! «
« Je baisse la tête et enlève mon caleçon pour remettre rapidement mon short sous le regard de d’Albert . Tout en me regardant discrètement, je le vois qui se malaxe au niveau de son entrejambe. Il est bizarre le tonton !
Une fois mon short remis, il passe sa main sur mes cuisses, et me dit :
« Tu dois avoir du succès avec les filles avec un engin comme ça ? »
« Non, pas vraiment, et cela ne intéresse pas ! «
« Ah bon, tu es gay ? «
« Non, mais j’ai pas trouvé de copine ! «
« T’inquiètes pas, avec ce séjour, on va s’amuser, tu vas pas le regretter ! «
« J’espère, car après les parents ne vont pas me lâcher pour que je bosse ! «
« Normal ! Pourtant à ton âge, ta mère elle en profitait la coquine ! «
« Ah bon, tu veux dire quoi ? «
« Elle sortait avec nous dans la bande, et à chaque bal, elle prenait chère, et pas qu’un seul ! «
Les indiscrétions de mon oncle me laisse rêveur, et mon sexe en a repris de la raideur. Sa main est toujours sur ma cuisse nu, elle est chaude, je ne dis rien, j’aime cela !
La route se poursuit sans encombre ou fait notable. Nous arrivons vers 19 H 00 à l’hôtel réservé par tonton. C’est pas un 3ème étoile, mais un petit routier qui fait restaurant.
A l’accueil qui fait bar également, une femme âgée de la cinquantaine nous reçoit. Blonde décolorée avec une poitrine pulpeuse de 115 B, qu’elle met en valeur avec sa robe offrant un super décolleté.
Forcément, je laisse Albert parler et je matte au maximum ce superbe panorama.
Suite à la demande de mon oncle concernant la réservation, la patronne après consultation de son cahier confirme.
« Oui, effectivement, j’ai une chambre de réservée, mais avec un seul lit de deux personnes ! «
« Oh, zut, je pensais avoir précisé deux lits, on peut encore changer ? «
« Non, malheureusement l’hôtel est complet, pas possible ! «
En me regardant, tonton répond en souriant :
« C’est pas grave, il a fait l’armée, il peut dormir avec son oncle ! «
La patronne rigole de bon cœur avec mon oncle.
Celui-ci en profite pour réserver deux places pour le dîner. Nous montons à la chambre.
« Tu veux prendre une douche avant d’aller dîner ?
" J’irai après toi ! «
« Oui, je veux bien, cela va me délasser ! «
Albert c’est assis le le bord du lit. Je vois bien qu’il m’observe alors que je me déshabille. Je me tourne pour lui laisser le loisir d’observer mon derrière, et je m’enroule dans une serviette.
Je prends ma douche, cela me fait un bien immense, j’ai envie de me branler, mais la présence proche de tonton m’en empêche. Je reviens à la chambre, une serviette autour de la taille. Tonton est déjà à poils et en souriant me demande :
« C’est bon, je peux y aller ? «
« Oui, j’ai fini ! «
« Nickel, j’y file
J’en profite pour passer un caleçon et mon jeans dessus. Un polo manches courtes suffira, il fait chaud !
Le dîner se déroule bien tonton me paye l’apéro, un Ricard et prend un bouteille de Bordeaux que nous buvons à deux.
J’ai pas trop l’habitude de boire de l’alcool, je suis gai !
Le dîner terminé, nous montons, la journée a été longue, je suis fatigué !
Arrivés dans la chambre, tonton Albert me dit :
« J’ai l’habitude de dormir nu, surtout par ce temps là ! Cela ne te dérange pas François ? «
« Non tonton, c’est vrai que l’on devait avoir chacun son lit, c’est juste pour une nuit ! «
J’ enlève mon jeans et reste torse nu en caleçon. Le problème, c’est qu’il est ouvert sur le devant, et je bande un peu ! Je m’empresse de me mettre sous les draps pour cacher mon état .
« Bien alors François, tu ne vas pas dormir sous les draps avec cette chaleur ? «
« Ah, je ne savais pas tonton si tu te mettais sous les draps ! Non bien sur ! «
Sans me le demander, Albert soulève les draps et se couche à ma gauche. Il éteint la lampe de chevet, mais le volet laisse passer une légère clarté qui illumine un peu la chambre.
Dans l’immédiat, je suis sur le dos. Guettant les mouvement et la réaction d’Albert. Sa respiration est lente et saccadée. Il est maintenant tourné vers moi. Sans faire de bruit, je me tourne vers lui, je voudrai voir son sexe.
Son sexe est bandé, il est long, son gland est décalotté.
J’ose avancer timidement ma main vers son membre. Ma respiration s’accélère. Mes doigts sont à ma limite de le toucher. J’ attends, je bande comme un cerf ! Mais cela est trop fort, je dois le toucher !
Mes doigts prennent contact avec son sexe. ! Il ne bouge pas. Son sexe est doux et épilé, cela me fait frissonner. Je m’immobilise et profite de l’instant.
En ...

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