Mon Père !

Après le décès prématuré de ma Mère, mon Père a vécu seul deux ans.
Puis, le deuil passé, ma sœur et moi l’avons encouragé à sortir un peu et continuer de vivre sa vie.
Heureux de notre avis, il a commencé à aller dans les après-midi dansants, et c’est devenu une habitude pour lui.
Dans les années 90, il y avait encore des guinguettes et soirées populaires sans problème de sécurité ! C’est bien lointain tout cela !
C’est le W-E, mon Père doit passer à l’apéritif, cela nous fait plaisir car il se fait rare maintenant avec ses sorties régulières.

Dix neuf heure, le carillon retentit, c’est lui. Je m’avance vers la porte d’entrée au bout du couloir pour l’accueillir.
A cette heure, au mois de Juillet, il fait très chaud, l’apéro va nous faire du bien !
J’ouvre la porte, et là surprise !
Mon Père avec à son bras une superbe femme pulpeuse ! C’est un gag ?
« Content de te voir mon Fils, je te présente mon Amie « Chantal «, j’espère que cela ne te dérange pas que je sois venu avec on est inséparable maintenant ! «
Devant moi, mon Père roule une pelle à son Amie! Il est vrai qu’elle est superbe. C’est une femme âgée de la cinquantaine, elle a un corps qui n’a pas subi les outrages de la vie, et une paire de seins impressionnante. Elle est blonde est souriante. Vêtue d’une petite mini jupe en toile, sa poitrine est compressée dans son chemisier blanc.
Bien souriante, elle se penche vers moi et me fait la bise .
« Enchantée François, je suis gênée de débarquer ainsi, mais votre Père tenait absolument que je vienne ! «
Nous nous embrassons, elle sent bon. Je suis presque jaloux de mon Père !
« Suivez moi, Martine va être surprise ! «
Les présentations sont faites. Le courant passe bien avec Martine et Chantal. Et Martine qui avait passé une robe à mailles transparente passe presque inaperçu Nous prenons l’apéro sur la terrasse. Je ne peux m'empêcher de mater l’ Amie à mon Père. Lui, est comme un jeune puceau à bourdonner autour. Il ne manque pas de boire son Whisky.
Chantal ne crache pas dessus non plus. Je suis bien positionné en face d’elle, et comme elle ne serre pas ses jambes, j’ai une vue intéressante sur son entrejambe.
Je pense qu’elle ne porte pas de culotte, je continue à mater en faisant attention de ne pas me faire gauler!
Chantal, tout en parlant avec ma femme savoure son verre. Elle s’est aperçu que mon regard ne quitter pas son entrecuisse. Et volontairement elle écarte un peu plus ses jambes.
Putain, elle me fait bander cette salope !
L’apéritif se prolonge par un petit repas froid. A table, elle est assise en face de moi. Rapidement j’ôte mes mocassins, et rapproche mes pieds des siens. Elle me regarde, et soudain, je sens son pied contre le mien. Je ne bouge pas, j’attends.
Comme pour attirer mon attention, elle me sourie sans cesse, et à un moment son pied remonte le long de mes mollets.
Je suis chaud, et réponds à son sourire. Mon père lui continue à boire, il est passé au rosé et sa main enlace la taille de sa compagne. Au moment ou je m’y attends le moins, Martine parle à mon Père et lui dit :
« Nous avons tous bien bu, il serait plus sage que vous passiez la nuit dans la chambre d’ Amis plutôt que de reprendre la route ! «
Immédiatement, je confirme l’avis de Martine en regardant Chantal.
Celle-ci acquiesce immédiatement .
« Oui, cela est raisonnable, en plus je n’aime pas conduire de nuit et Chéri tu as bien vécu ! Puis-je monter à la chambre pour me rafraîchir ? «
« Oui bien sur, François va te montrer le chambre à l’étage et sortir des serviettes, ainsi qu’une de mes nuisettes , on a l’air de faire la même taille ! «
J’accompagne donc Chantal dans la chambre, à peine dans celle-ci, elle me saute au cou et m’embrasse. Moi, je me contente dans un premier temps de subir, puis mes mains courent sur son corps, elle est bien chaude !
Je ne suis pas en reste, ma main est déjà sous sa jupe et découvre sa petite chatte bien épilée et baveuse ! Mes doigts passent sur ses lèvres bien ouvertes déjà, elle soupire !
Elle m’a ouvert ma braguette et sorti le sexe, et sans préambule se baisse pour le sucer.
Je lui tiens la tête et donne la cadence de succion. C’est bien une gourmande, une salope, c’est elle qui m’a cherché même si j’en mourrai d’envie ! Je la retourne et retrousse sa jupe, elle n'a pas de culotte, cela me donne l’accès à son cul. Ses fesses sont bien bronzes, elle doit faire du nudisme !

Mon envie se porte sur son œillet, il est bien épilé et fripé. Ma langue le caresse, j’écarte ses fesses pour pouvoir enfoncer ma langue au plus loin. Ma main gauche va chercher entre ses jambes son clitoris. Il est bien saillant et sensible, il réagit à mon toucher. Chantal se contorsionne et pousse son cul au plus fort vers moi comme pour que je l’a pénètre plus loin avec ma langue !
Elle roule du cul, elle est bien excitée ! Comment mon père peut y arriver avec une salope comme cela ?
Soudain, j’entends Martine qui s’inquiète de notre absence :
« Tu trouves François, tu veux que je monte t’aider ? «
Juste le temps de lécher une dernière fois son œillet, et je lui réponds :
« Non Chérie, occupes toi de mon père, j’ai trouvé, on arrive ! «
Je prends la première nuisette posée sur le haut de l’étagère, une serviette et je le donne Chantal. Elle me pelote une dernière fois mon sexe et remet convenablement sa jupe.
Nous descendons tranquillement et retrouvons installés dans le salon nos moitiés.
Chantal s’assied aux côtés de mon père.
J’en profite pour mettre la chaîne e ...

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