Près d'un an a passé depuis ma folle aventure avec Lucie quand arrive ma deuxième sortie de route d'une vie couple bien rangée.
Au cours d'une de mes nombreuses pérégrinations alcoolisées avec mes potes de biture, nous avons rencontré un groupe de fille qui partageaient notre gout de la musique électronique et des bars Bordelais.
L'une d'elle en particulier m'attirait, mais comme toujours, fidèle à ma réputation de timide, je me contentais de la dévorer des yeux.
Elle ne m'a pas dit son nom (je ne l'ai jamais su au demeurant), elle m'a seulement donné son surnom : "Miette".
Miette, cela ne pouvait mieux la définir, elle était petite (un peu moins d'1m60), ce qui à coté de mes 190 me donnait l'impression d'être un géant. Les cheveux châtains, elle avait les traits fin, un regard à la fois malicieux et innocent, elle illustrait parfaitement l'expression "femme-enfant". Elle avait 20 ans.
Une fois encore, je fut surpris qu'elle me donne son numéro de téléphone au moment de se quitter. Et je rentrais la tête pleine de fantasmes retrouver le lit conjugal.

Une semaine plus tard, je passais la soirée avec deux amis, une soirée "Absinthe", musique agrémentée de quelques joints...
La bouteille au trois quart vidée, les esprits échaudés, nous partions en quête d'horizons plus "féminins". Mes deux amis étaient de vrais "hommes à femmes", le genre de mecs qui trouve toujours une fille pour finir la nuit. Autant dire que la timidité n'était pas au centre de leurs préoccupations.
Après avoir fait la tournées des bars, arrive 2 heures du matin et la fermeture et nous voilà tous les trois dans la rue et toujours entre "couilles" et encore plus bourrés...mais je sens que mes deux compagnons de route de veulent pas en rester là.
C'est alors que je repense à Miette...Elle et ses copines sont aussi des fêtardes, peut-être que nous pourrions les rejoindre quelque part.
C'est donc poussé par mes potes et aidé par l'alcool que je me décide à utiliser le numéro qu'elle m'a donné.
Malgré l'heure, elle répond.
Mais elle n'est pas avec ses copines à faire la fête, elle est chez elle.
Plein de confiance, je lui demande si je peux passer chez elle avec mes deux comparses pour finir le reste d'Absinthe que j'avais dans mon sac.
Elle accepte immédiatement, me donne son adresse et me glisse qu'elle va prendre un bain le temps qu'on arrive avant de raccrocher.
Après avoir résumé notre conversation à mes deux compagnons (sans omettre le petit détail sur le bain), nous nous mettons en route.
Sur le chemin, mes deux collègues y vont chacun de leur idée de la suite : "La salope, elle veut un plan à 4", "Elle va pas comprendre ce qui lui arrive", "Aller les mecs on va bien s'éclater...".
Je suis à la fois enjoué mais aussi un peu vexé... Après tout c'est à moi qu'elle avait donné son numéro...
Nous arrivons enfin, Miette nous accueille avec une petite robe de chambre satinée, on devine aisément qu'elle ne porte pas grand chose dessous.
On s'installe, je prépare les verres d'absinthe et nous discutons, plaisantons...mais elle ne semble pas aussi cochonne que le pensaient mes amis. Et surtout, elle n'a d'yeux que pour moi.
Moi qui pensais ne pas faire le poids face aux deux zigotos qui m'accompagnaient.
Ils l'ont remarqué aussi, et, c'est comme ça que l'on reconnait les amis, ils décident de partir pour nous laisser seuls.
Elle les raccompagne, moi je suis toujours sur son canapé et je commence à sentir l’excitation monter : elle me veut.

Elle revient s'asseoir à coté de moi et très vite nous nous embrassons. Je passe ma main dans ses cheveux puis sur ces épaules, descend sur ses hanches pour finir sur sa cuisse. Le fin morceau ...

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