Je l'ai fait nu bien sûr, sauf pour la course que j'ai faite avec un short en flanelle et des baskets. Cela n'aurait pas vraiment eu d'importance de toute façon, il n'y avait jamais personne sur le circuit à travers les bois et les landes.
Je me sens toujours bien après ma routine quotidienne suivie d'une bonne douche chaude, mais aujourd'hui c'était légèrement différent dans la mesure où mon temps sous la douche a été consacré à me raser et à me nettoyer à l'intérieur et à l'extérieur, ce qui a pris le reste de mon temps.
Le temps est écoulé et je suis prêt dans ma cellule HOME, allongé, regardant à travers le plafond de verre, réfléchissant à ma situation après avoir récupéré de ma dépression générale pendant mes premières 24 heures d'esclavage. Bien que cela ait été difficile par moments et douloureux par d'autres, il n'y avait rien que je n'étais pas capable de supporter et j'avais beaucoup appris sur moi-même et sur les limites que j'allais atteindre. Il était 10 heures du matin, mes tatouages ​​​​étaient meilleurs et mon corps nu était parfaitement taillé. Je crois que je commence à m'ennuyer, pensais-je.
Monsieur John me regardait d’en haut, traversant de temps en temps le sol en verre pour me surveiller. Je m’assoupis un moment et me réveille en entendant John entrer dans l’atelier, vêtu de son pantalon jaune moulant et fin qui moulait si bien son corps sensuel et dévoilait son sexe bombé comme s’il était transparent, modelant si bien sa tête de cloche à mi-hauteur de sa cuisse, puis ce minuscule débardeur rouge qui révélait sa taille et son nombril, « Monsieur John, vous êtes si beau, s’il vous plaît, puis-je sucer votre bite, s’il vous plaît, laissez-moi avoir votre jus ? » J’ai supplié, « Non, Fay, je sors maintenant pour rejoindre votre mère et récupérer vos affaires, pendant mon absence, vous travaillerez sur votre chatte avec ce plug anal », il m’a tendu un long et gros plug anal en caoutchouc noir beaucoup plus gros que le précédent puis a ajouté, « assurez-vous qu’il soit en place à mon retour. » Il s'est dirigé vers la petite cuisine et a ouvert et vidé une canette dans un bol en acier inoxydable et a pris un pack de six grandes bières dans le réfrigérateur, puis m'a apporté le tout, glissant le bol sous la porte et la canette de bière qu'il a roulée sous la porte l'une après l'autre. « Finis tout ça et nettoie-le, et travaille aussi tes tétons, salope, la bite est pour le dessert après une bonne fessée que tu mérites, maintenant embrasse mes pieds, esclave. » Il a enlevé ses sandales et j'ai sucé chaque orteil individuellement comme s'il s'agissait de sa bite. Au bout de 5 minutes, il a pris la clé de mon portable de son crochet sur le mur et s'est éloigné, puis je l'ai entendu monter dans la voiture et partir. J'avais de la nourriture qu'il m'avait laissée dans une gamelle pour chien, de simples haricots verts froids et j'avais du mal à finir les six grandes bières brunes qu'il avait laissées et je me sentais ballonnée et ivre au moment où j'avais fini, pissant régulièrement et trébuchant dans ma cellule dans une stupeur ivre avant de m'effondrer sur mon lit pendant quelques heures.
Je n'ai pas revu John avant le début de la soirée, juste au moment où le soleil se couchait et il m'a invité à monter à l'étage pour le rejoindre avec la canne. J'étais toujours dans un état de transe alcoolique alors que je me penchais pour me mettre en position, mais cela s'avérait plus difficile que je ne le pensais. Saisir mes chevilles et rester immobile sans bouger était un vrai défi et John perdait patience. J'ai reçu mon premier ...

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