SUITE 3 des diverses rencontres que j’ai fait avec Caroline la femme de Stéphane
Titre précédent : Caroline m’a téléphoné


Comme je vous l’ai précisé précédemment, j’informe mon ami Stéphane de toutes les rencontres que je fais avec sa femme.
Un mois après mes premières rencontres avec Caroline, je bois un verre avec mon ami Stéphane pour lui raconter la dernière rencontre sexuelle avec sa femme Je lui raconte :


Voilà comme je me doutais, ta femme Caroline m’a appelé hier pour me dire que depuis notre «rencontre première» puis celle la vrai initiation, elle ne pense plus qu’à cela, qu’elle a un peu honte de se dépraver, mais qu’elle veut en parler. J’ai accepté pour demain matin, je lui ai donné rendez-vous dans la villa d’une amie, dont j’ai la clé.
Je retrouve Caroline à la villa, on s’embrasse tendrement, je lui offre un café, nous nous asseyons sur le canapé.
Elle est habillée avec une jupe et un joli corsage légèrement transparent, je remarque qu’elle n’a pas de soutien-gorge, tant mieux c’est un signe de provocation !
J’aime ses seins libres car je vois ses bouts pointer en dessous au milieu de ses belles aréoles brunes. Pour l’aider à démarrer la discussion, je lui demande brutalement,

- Alors putain dis moi ce que tu penses de notre dernier moment de plaisir,

Pour toute réponse elle se lève souriante, vient se placer devant moi, se penche pour m’embrasser goulument, je sens sa langue dure fouiller ma bouche avec avidité, une de ses mains s’égare sur ma braguette, puis elle se redresse, et reste là devant moi sans un mot … alors lentement elle commence à relever sa jupe sur sa taille, et je vois qu’elle n’a pas de culotte, elle me dit,

- Glissez vos doigts Maître sur et dans ma chatte !

Voilà nous y sommes, je m’exécute…
mes doigts glissent sur sa chatte lisse et ses lèvres généreuses... La salope !!! elle est trempée, prête à être baiser, à recevoir ma queue, immédiatement je la bascule sur le canapé, lui écarte les jambes et brutalement la pénètre, elle pousse un cri, ma queue glisse sans problème, alors je la martèle de coups de reins rapides et forts … Elle se tend, glapie de plaisir, se raidie, c’est une furie... La pute elle est chaude ! elle aime la queue, excité rapidement j’éjacule dans sa chatte, je sens mon sperme s’écouler en elle.

Je me redresse, elle sourit, je la gifle pour me faire plaisir, et lui fourre ma queue couverte de sperme et de son jus dans la bouche. Elle me nettoie bien la queue, puis elle se lève et je vois mon sperme qui coule entre ses cuisses, elle tiens d’une main sa jupe relevée, glisse sa main entre ses cuisses et récupère ce qui coule et ensuite lèche sa main … oui, oui, une vrai putain cette Caroline.

- J’ai réfléchi Maître, me dit-elle, oui je veux encore jouir avec vous d’être votre soumise, cela m’a beaucoup excitée et de vous obéir malgré les gifles, le fouet et la honte, je veux bien vous obéir et vous faire confiance pour mon initiation, même si je ne sais pas ce que cela veut vraiment dire et surtout à quoi m’attendre dans nos rencontres, sauf, que moi je veux être obéissante mais être aussi punie, humiliée, j’accepte que vous me malmeniez, sans trop de violence.

Pour toute réponse je la gifle, elle sursaute, yeux ébahis.

- Mets toi à poil salope… Je vais t’expliquer pourquoi je te gifle… Parce que c’est moi le Maître qui décide de ce que je vais faire de toi, chienne, mais aussi de ton corps … J’en décide !!!Ta chatte, ton cul, ta bouche, tes seins sont des objets et jouets de mes plaisirs, toi tu m’appelles Maître et me vouvoies, c’est sans discussion !!! Pour tout le reste je te baise comme je veux et tu subies ce que je veux … Alors d’accord ? Ta réponse sera définitive et t’engage pour longtemps, sale traînée !!!

- oui Maître je suis à vous, me répond-t-elle en baissant la tête.

Aussitôt, je la retourne, la fait se pencher en avant et l’encule sauvagement, facilement car du sperme a coulé sur sa raie du cul, c’est tout ce qu’elle mérite, ta salope de femme. Étonnant mais cette pute … elle me fait jouir encore une fois et j’explose cette fois dans son cul dépucelé de putain.
A nouveau je la retourne de face, et l’oblige à sucer ma queue qui vient de sortir de son cul, tant pis pour elle, si elle s’est mal lavée et nettoyée … elle hésite, je la tire violemment par les cheveux, et elle suce maintenant en gorge profonde, je la sens tendue, peut-être écœurée, puis sensiblement elle joue avec ma queue, avec sa langue finalement et sans la prévenir je lui pisse dans la bouche, elle hoquette, elle crache, elle prend deux gifles et je continue de l’arroser, mais cette fois c’est son visage, ses cheveux et son corsage mouillé, collé à sa peau, laisse voir ses seins parce qu’elle a bougé.

- n’oublie pas je décide … tu subis en silence … t’est maintenant qu’une pute dépravée à mes ordres.

Et là on frappe à la porte, elle sursaute, je vois dans son regard comme une crainte, par réflexe elle couvre ses seins de ses deux bras, quelle salope à faire sa pudique, immédiatement je vais ouvrir, c’est un ami que j’avais prévenu, Patrick, grand et costaud (96 kg) il entre et voit Caroline debout et entièrement nue, je lui dis,

- tu vois c’est cette pute à baiser, elle aime la queue, vas y, mais Caroline recule ... je crois réflexe ... mais ne dis rien malgré tout, je la prends par le bras, la pousse vers lui, et dis à mon ami,

- elle est à toi, fais ce que tu veux avec elle.

Aussitôt, il lui fait baisser les bras de ses seins qu’elle cachait, il les lui caresse, et sans prévenir lui pince les tétons fortement, elle crie, il tire plus fort, moi je regarde et prends plaisir à la voir ainsi en souffrance, et incapable de dire quelque chose tellement elle est surprise et honteuse,
Puis il la prends par les cheveux et l’attire à lui pour qu’elle l’embrasse, elle garde les lèvres serrées, il lui pince le nez, elle ouvre la bouche, il enfile sa langue dedans. Puis il lui intime:

- salope allonge toi sur le canapé, je vais te baiser comme la pute que tu es, écarte aussi largement tes cuisses,

elle ne réagit pas, elle est tétanisée, silencieuse, j’interviens pendant qu’il se met lui aussi à poil et dégage sa grosse queue large,

- tu veux être soumise, alors obéi, et c’est pas ta dernière expérience de pute, obéi sinon je te donne du martinet,

Je sens qu’elle hésite de se faire baiser par n’importe qui, un homme qu’elle ne connaît pas, offrir sa chatte, et se faire insulter par cet homme ! ...

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