Jules et Florent ont travaillé toute la matinée dans la mesure où il y avait pas mal de taf à faire et Florent ne voulait pas recevoir quelques nouvelles punitions si Didier s’apercevait au retour du marché qu’il avait encore tiré au flanc. Les garçons ont déjeuné rapidement près de la piscine mais ont tout de même profité de la pause pour se détendre. Jules a vite montré de l’intérêt pour le joli cul rebondi de Florent et n’a pas hésité à lui passer la main sur chacun des globes charnus.
- T’as encore envie de mon cul ?
- Ne me dis pas que ça ne te plait pas quand je m’en occupe ! Tu as bien couiné ce matin quand je m’en suis occupé.
Très rapidement, Jules baisse les deux zips à l’arrière de la cotte de Florent mettant ses fesses à l’air et lui demande de se pencher en avant. Il écarte les fesses et avance son visage contre la raie du jeune homme. Sa langue se met alors à fouiller le petit trou humide, à rentrer de plus en plus à l’intérieur puis à jouer avec la corolle tout autour et avec les quelques poils qui s’y trouvent autour. Difficile de résister à cette caresse intime et Florent bande aussitôt. Jules sait comment le chauffer.
- Ouvre ta cotte devant, le veux sentir ta queue.
Florent obéit et ouvre la devant de sa cotte laissant apparaître son jockstrap archi tendu par la bite toute dure. Jules s’en saisit à travers le tissu et la masse tout en continuant à lui bouffer le cul. Florent mouille et le tissu est de plus en plus mouillé. Jules le retourne et commence à lécher l’énorme bosse que forme maintenant le tissu tout en lui doigtant le cul. Il dégage le queue de Florent et commence une pipe magistrale jouant avec le gland et le méat du bout de langue et avalant la mouille que le garçon produit en abondance. Il s’active tout le long de la queue et s’attarde sur les couilles. Florent gémit de plaisir avec maintenant trois doigts dans le cul. Jules a aussi descendu les fermetures éclair de sa cotte pour dégager sa propre bite qui bande dur. Le spectacle de ces deux jeunes gens est excitant et ils ne se rendent pas compte qu’ils sont observés depuis quelques minutes.
Didier est rentré avec Ben du marché et observe d’un air mécontent son fils et leur invité en pleine action.
- Alors c’est comme ça que vous bossez ? Avec tout le travail qu’il y a à faire, tu ne trouves rien de mieux à faire que de lui tailler une pipe et de le doigter ? En plus l’un de vous a laissé la barrière ouverte et des bêtes se sont échappées. Je viens de dire à Ben d’aller les chercher !
Les garçons, surpris, sont interrompus en pleine action. Jules retire aussitôt ses doigts du cul de Florent et lâche sa queue.
- On a dû mal la refermer, je suis désolé.
- Bien sûr, vous aviez mieux à faire, vous étiez trop en chaleur pour attendre ! Je vais vous faire comprendre qu’il faut faire attention quand on a un travail à faire et qu’il faut le faire comme il faut.
Didier attrape son fils et Florent par le bras et sans ménagement, les amène dans la grange. Là, il attache leurs mains et les suspend par les bras à une poutre. Les deux garçons lui tournent le dos. Florent avait déjà l’arrière de la cotte ouvert avec ses fesses offertes. Il fait de même pour Jules. Didier commence par une dizaine de claques sur les fesses de chacun et passe de l’un à l’autre. Il frappe un peu plus fort tandis que les fesses commencent à rougir.
- Je vais vous apprendre à bien fermer les barrières et à faire attention aux bêtes !
Il attrape un petit fouet accroché au mur et donne quelques coups sur les deux postérieurs. Cette fois, les garçons qui avaient assez bien encaissé la fessée, se tortillent sous les coups.
- Aïe, aïe, pitié, on fera attention la prochaine fois. Les garçons laissent échapper quelques larmes.
- C’est sûr, vous allez faire attention après ça ! Didier assène quelques coups de plus qui viennent zébrer les fesses des deux jeunes gens.
Cette punition n’est pas sans l’avoir excité et si les gars avaient pu le voir, ils auraient constaté l’énorme bosse qui déforme son pantalon et qu’il palpe régulièrement entre les coups. Il finit par s’arrêter et s’approche des deux postérieurs rougis et zébrés. Il caresse les deux paires de fesses qui frémissent. Dans la foulée, il insère un doigt dans chacun de petit trou et constate qu’ils sont humides et continue à jouer avec. Il rentre puis ressort le doigt tandis que Jules et Florent tendent leurs culs vers lui et apprécient la caressent.
- On dirait que ça vous plait davantage ça hein ! Vous n’êtes que deux petites salopes en chaleur qui ne pensent qu’à se faire prendre ! C’est ça que vous voulez hein !
Didier accélère ses mouvements dans les deux culs, puis se retire et prend un pot de graisse sur une étagère. Il enduit ses doigts, puis chacun des trous et recommence à les travailler avec un, puis deux et enfin trois doigts. Les garçons gémissent de plus en plus fort. Didier déboutonne son pantalon, sort sa bite complètement dure et l’enfonce sans ménagement dans le cul de Jules qui encaisse l’assaut de cette bite énorme. Didier commence des vas-et-viens tout en continuant à doigter Florent. Après quelques vigoureux coups dans son cul, il se retire et vient se placer derrière celui de Florent. Il le pénètre tout aussi brutalement et le tenant par les hanches, il le baise avec force en le faisant crier. Là encore après quelques allers-retours il change pour le cul de Jules. C’est alors que Ben débarque. Il a réussi à ramener les bêtes échappées et a voulu voir ce qui se passe dans la grange, en entendant les cris. Il découvre avec plaisir son père en train de limer vigoureusement Jules qui commence à gémir de plaisir sous l’assaut. Evidemment, la vision de Jules et de Florent, attachés, les bras en l’air en train de se faire baiser par son père ne peut que l’exciter et le faire bander aussitôt.
- Je peux participer ? Demande-t-il avec un grand sourire. Didier, un peu surpris, se retourne.
- Vas-y ! Je suis sûr qu’ils ne demandent que ça ! De toute façon, ils n’ont pas le choix.
Ben enlève son short, son slip et avance vers le cul de Flor ...

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