La porte de la chambre d’hôtel était entrouverte.
Je suis entré. J’ai fermé la porte derrière moi. Il faisait nuit noire.
Il y avait juste le bruit de l’eau qui coulait sous la douche.
À tâtons, je me suis dirigé vers le bruit, sans doute la salle de bains.
Et j’ai entendu sa respiration
Je me suis déshabillé rapidement, laissant mes fringues où elles tombaient.
J’ai avancé ma main et j’ai senti sa peau. Je bandais déjà.
J’ai cherché son épaule et, de là, j’ai caressé son cou. Je suis descendu vers le torse. Légèrement velu. J’ai senti son téton sous mon doigt. Il pointait en avant, tout dressé. Il ne m’avait pas trompé : il avait bien de gros tétons sensibles. J’ai commencé à le caresser en passant doucement ma main à plat. Le téton s’est encore durci. Alors, je l’ai pris entre 2 doigts et je l’ai légèrement pincé : mon partenaire a émis un petit râle de plaisir.

Mon autre main a cherché sa queue. Mais il m’en a empêché. J’ai pensé qu’il ne voulait pas que les choses aillent trop vite.
Tout en lui titillant le téton, j’ai approché ma tête de la siennes. Ma bouche a fleuré sa joue. Je l’ai faite glisser vers sa bouche. Il a répondu à mon attente : on s’est roulé une pelle, légère d’abord puis de plus en plus passionnée. Long, long baiser en se caressant mutuellement.
Tout en gardant sa bouche collée à la mienne, il s’est légèrement tourné, se positionnant face à moi. Il a pris mes 2 tétons et il les a doucement pincés. J’ai fait de même, tandis que nos bouches ne se lâchaient pas.
Je me suis avancé, et je l’ai plaqué contre la paroi. Nos queues se touchaient. Il s’est un peu dandiné, nos queues se frottaient. Je les ai prises dans ma main, l’une contre l’autre, têtebêche, et j’ai commencé à les branler…
Au bout d’un moment, je me suis accroupi et j’ai pris sa queue dans ma bouche : une pipe lente, voluptueuse. Il accompagnait mon mouvement en prenant ma tête dans ses mains. ...

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