Vous souvenez vous de cette « première fois » que je vous ai raconté ? Comme je l’ai dit précédemment j’avais eu la satisfaction de donner du plaisir sans pour autant avoir connu la jouissance que j’espérais atteindre. C’est pourquoi j’étais, un peu, désabusé, comme frustré, et pas vraiment prêt à récidiver. Pourtant au fond de moi l’envie et le désir me titillait toujours de temps à autre.
Christian, c’était son nom, vous vous souvenez de ce petit homme charmant à la voix douce, aux mains caressantes et au cheveux plus sel que poivre qui m’avait initié dans les bois. A cette occasion il m’avait laissé ces coordonnées afin que je vienne le rejoindre chez lui. Cela faisait déjà quelques temps et bien que la tentation me tenaillât j’hésitais à le contacter.
Il m’arrivait, quand je pensais à lui, de me masturber doucement en me caressant l’anus d’un doigt inquisiteur ; quand la jouissance s’annonçait alors je laissais mon doigt vagabond me pénétrer et je sentais mon anus se contracter autour au moment ou j’éjaculais. Après ce moment d’évasion je revenais sur terre et me disais que ce serait certainement beaucoup mieux si je me livrais au savoir-faire de Christian.
Un jour, n’y tenant plus je lui ai téléphoné et qu’elle ne fut pas ma surprise quand il m’annonça que non seulement il ne m’avait pas oublié mais que de surcroit il nourrissait l’espoir de me revoir. Confronter à un tel engouement je ne pouvais qu’accepter de le revoir surtout que je dois l’avouer aujourd’hui j’en avais également très envie sans vouloir le reconnaitre certainement dû à mon éducation.
Nous avons pris rendez-vous pour la semaine suivante. Je dois dire que cette semaine d’attente m’a paru bien longue et chaque jour mon imagination m’offrait un nouveau scénario de notre future rencontre. Vint enfin le jour des retrouvailles.
Pour cette occasion je me suis préparé du mieux possible car je voulais découvrir enfin ce que je n’avais pas réussi à avoir quand nous étions dans la forêt. Pour ce faire je me suis administrer un lavement pour être le plus propre possible et j’ai tondu le surplus de toison dont je suis affublé tant au niveau des fesses que du pubis et des bourses.
Christian était gardien d’immeuble, je devrais dire concierge à Paris rue Lauriston dans le 16 ème arrondissement. A mon coup de sonnette il vint m’ouvrir avec un beau sourire me regardant d’une manière attendrie qui me bouleversa. Encore une fois j’étais face un dilemme m’enfuir en pensant que je ne devais pas céder à mes instincts ou rester pour jouir de ce que je désirais. Gentiment il me prit la main et m’introduisit dans sa loge.
-Veux-tu boire quelque chose ?
- Un café s’il te plait
-Assied toi, je te sers tout de suite, juste le temps de fermer la loge.
Il me laissa le temps de mettre le panneau sur sa porte stipulant qu’il était absent.
-Du sucre dans ton café ?
-Non merci.
Je me sentais plus détendu, je l’entendais dans sa cuisine servir le café et quand il revint, une tasse à la main qu’il déposa avec délicatesse devant moi, son regard brillant me déshabillait. Il m’embrassa dans le coup et chercha mes lèvres.
-Non Christian, s’il te plait je ne peux pas embrasser un homme, je suis vraiment désolé.
Je vis que cela le chagrinait aussi je m’empressais d’ajouter :
-Si tu veux je peux me mettre nu pour toi
Avec un sourire radieux il accepta et m’aida même à quitter mes vêtements sans oublier au passage de déposer quelques baisers sur mes épaules, mon torse, mes fesses, mes cuisses en évitant mon sexe qui, de son coté montrait son contentement en ayant en forte érection. Je ne sais pas si c’était le café ou les baisers de Christian mais je sentais des papillons dans mon ventre et des frissons au creux des reins. Mon ...
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