Quelques années auparavant, accompagnée de ses amis et de son mari Sam, mon amie Saly avait décidé de fêter l’anniversaire de Sam chez moi.
J’ai accepté volontiers de recevoir tout ce beau monde pendant un bon week end estival.
Nous étions une dizaine chez moi. Nous avions passé une très bonne soirée, à boire quelques verres généreux, à souhaiter de bonnes choses à Sam, à plaisanter, à rire, à papoter de tout et de rien.
Et quand le dernier morceau de musique se fut tue, la fatigue se faisant sentir à une heure avancée de la nuit, nos amis se sont comme levés d’un seul geste, à l’unisson pour regagner leurs appartements. Seuls mon amie Saly et son mari étaient restés chez moi car ils avaient prévu de dormir chez moi et de passer le week end à flâner dans les rues de Paris.
Nous avons donc raccompagné nos amis en bas de mon immeuble. Nos amis partis, nous avions décidé, Saly, Sam et moi, de prendre une dernière bouteille de rosé chez l’épicier vers lequel je me suis dirigé tandis que mes deux invités, bien gais, remontaient chez moi.
Bouteille à la main, quelle fut ma surprise lorsque j’ouvris la porte de mon salon ! Ils étaient dans les bras l’un de l’autre, à se « consoler » de je ne sais quelle soudaine tristesse (de celles dues à l’excès antérieure de joie...). Saly embrassait son mari tristounet, sur le cou, et lui caressait la cuisse, sous son bermuda.
Je me suis dirigé vers la cuisine, en prenant soin de faire claquer légèrement la porte derrière moi afin qu’ils prennent conscience de ma présence, en vain, ils se comportaient comme s’ils avaient été seuls. Éberlué ! Simplement étonné de voir ces capricieux prendre leur aise. A l’instant où je repasse devant eux pour me diriger vers ma chambre afin de mettre mon peignoir, je ne savais toujours pas s’ils m’avaient vu. J’avais seulement bu 4 verres de whisky, j’étais donc parfaitement lucide et « à jeun » en le sens où « je tiens relativement bien l’alcool ».
Ayant mis cette mutuelle tendresse publique, que je leur connaissais déjà, sur le compte de leur complicité de toujours, sur le fait qu’ils ne s’étaient pas vus depuis un long moment, pour des raisons professionnelles et surtout sous l’effet des verres chauds et corsés facilitant la perte de l’inhibition, je me suis dirigé vers la douche.
Pendant que je me savonnais, j’entendis quelqu’un entrer dans la salle de bain et actionner le robinet du lavabo (j’ai vu, par la suite, que c’était Saly) : Elle s’est approchée de la cabine de douche, en a ouvert les portières, sans me regarder m’a pris la savonnette des mains et a commencé à me savonner le dos, les fesses puis le pénis. Elle a même pris le soin de me rincer, en mettant de l'eau partout, m’a pris la main pour me faire sortir de la cabine et m’a embrassé sur la bouche. Elle s’est assise sur le lavabo, a pris mon pénis et l'a frotté contre son sexe (elle était nue sous sa légère et large jupette), mon cœur s'est emballé.
Elle se relève et me dirige vers le salon. Son mari était allongé sur le clic-clac déplié, couvert du drap initialement rangé sous le sommier du clic-clac. J’ai voulu aller dans ma chambre, mais mon amie Saly m’en a délicatement empêché. Elle m’a enjoins de m’allonger sur le clic clac entre son mari et elle. Je me suis exécuté, le cœur battant la chamade, curieux, excité et sous l’emprise de l’audace, du tact de cette amie, charmeuse et angélique, dont le souvenir d’enfance d’une jeune fille timide et réservée remonta soudainement à la surface de ma mémoire. J’étais à la fois interdit et enfoncé dans un acte de sédition charnelle. Le tabou d’être nu entre elle et son mari s’est transformé en acte de tendresse, en un privilège de liberté, une complicité entre personnes amoureuses de la vie, de ses pures et délicieuses possibilités. Moi entre eux, j’étais ébahi et même émerveillé de constater qu’une femme, que l’on croit prisonnière des verres ingurgités et de leur effet, pouvait paraître extrêmement lucide et réfléchie. Pendant que son mari Sam me tournait sournoisement le dos, Saly tout en me caressant le torse me souffle à l’oreille qu’ils avaient convenu, (alors que j’étais en mission chez l’épicier), de boire cette ultime bouteille de rosé au lit, bien allongés et posés confortablement et que son mari ne voyait aucun inconvénient à ce que je me joigne à eux, à lui. Selon ses chuchotements, toujours déployés au fond de mon oreille gauche, entre deux bisous sur la nuque et le torse, ils étaient fatigués et sentaient le besoin que nous soyons tous allongés, proches, collés les uns aux autres : ils voulaient qu’on partage une nuit à trois. Mon cœur s’est mis à palpiter encore plus fort car j’ai vu s’ouvrir devant moi, matérialisée par les fesses rondes de son mari, une autre possibilité charnelle : la chaleur d’un homme.
J’ai proposé d’aller en cuisine afin d’ouvrir le rosé, ce qui a été l’occasion pour moi de me calmer un peu et d’analyser la situation. Si je retournais sous la couette, une tendresse palpable avec son mari était techniquement inéluctable. Sam, qui maintenant parait plus calme et moins "agitée" qu’il y a une heure, est-il vraiment consentant à propos de cette complicité ? Sa femme ne voulait-elle pas forcer les choses ? Sam avait certes les fesses à l’air mais n’est-il pas, lui aussi, engagé, embourbé dans ce complot ourdi par sa maligne de femme... A-t-il vraiment échangé avec sa femme à propos du fait qu’ils ne voyaient aucun inconvénient à ce que je partage le rosé, au lit, avec eux…cette femme diablotine disait-elle vrai ou bien suis-je tout simplement en train de ressentir naturellement les frissons d’une situation nouvellement exceptionnelle...
Finalement je décide de retourner au salon et de me glisser non pas entre eux mais à l’extrémité du clic clac. Je « pousse » Sam entre sa femme et moi, prétextant que je doive nous servir le rosé. Nous sommes restés ainsi, la télé allumée, à siroter nos verres devant « boulevard des clips ».
Des instants plus tard, après forces bavardages et mains perdues, la bouteille achevée, je me lève afin de me brosser les dents. Je me suis attardé dans la salle de bain à réfléchir et à cogiter ; Je n’étais pas grisé ni saoul, aucun d’entre nous ne l’était d’ailleurs. Nous étions seulement sous l’effet d’une doucereuse fatigue, tous vidés et proches, en attente, excités silencieusement, discrètement en envie.
A mon retour dans le salon, je constate que la lumière et la télévision étaient éteintes. En me heurtant à des vêtements étalés sur le sol, je me déshabille et regagne ma place, près de Sam…de de Sam?! Oui, lui-même, Sam, le mari de mon amie, je ne rêve pas! Il avait la main sur mon ventre, mon pubis, mon sexe ! Le temps de quelques bisous, de quelques caresses au ventre, sur les tétons…et voilà que mes mains palpent les fesses de cet homme chaud…oui ses bonnes fesses étaient bien cambrées. Nous étions exaltés, alliés dans le charnel. La fatigue et l’excitation ont achevé de me rendre calme et d’éteindre mes lourdes émotions, reflets de mes précédentes cogitations.
S’il était là, à cette place et qu’il se laissait caresser les fesses, le pénis, c’est qu’il était consentant pour aller plus avant, entrer dans de nouvelles perspectives, aller plus profond et qu’il prenait du plaisir et en voulait plus encore. Il cambra encore plus les fesses, c’était là le signal non voilé que je pouvais disposer de lui et que j’avais sa bénédiction, de plus il se mit lui aussi par me caresser le pénis plus rapidement, par me caresser partout.
Il s’est enfoui, plus bas sous les draps et j’ai senti sa bouche chaude me caresser le torse, le ventre, les cuisses et la verge. J’étais tout simplement dans les bras de la fatalité du plaisir. Sa femme s’est levée, s'en est allé aux toilettes puis a rejoint l ...
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