Jules nous organise des vacances au soleil. Il me promet une aventure inoubliable sans m’informer du moindre détail. Je peux deviner à ses consignes pour faire ma valise que la destination n’est pas le ski à la montagne mais plutôt chaleur et plages de sable blanc. Avant de partir, il n’oublie pas de vérifier ma valise et me recommande d’y ajouter un large bandeau pour les yeux afin de mieux dormir dans l’avion et dans la chambre d’hôtel s’il n’y fait pas nuit noire. Il m’indique également d’ajouter plus de préservatifs et plus de lubrifiant ! Je devine qu’il a déjà prévu certaines rencontres.
Arrivés à l’hôtel, nous sommes conduits dans notre bungalow et je remarque que Jules a regardé avec insistance le bungalow voisin (numéro 99 mais bizarrement le premier 9 est plus bas que le second). Notre numéro est le 68 (avec les deux chiffres à la même hauteur). Nous nous installons rapidement et décidons d’aller nous rafraîchir au bord de la piscine où on peut siroter des boissons en tout genre. Nous sommes en fin d’après-midi et je commande un de leurs cocktails sensé être rafraîchissant. Heureusement qu’il y a des glaçons car c’est très sucré. Je décide donc de me plonger dans la piscine en attendant que les glaçons ne fondent. L’eau est à une température très agréable : pas trop froide mais son contact est rafraîchissant. Peu de personnes sont présentes et je fais quelques longueurs de bassin tout en observant tout autour de moi. C’est une piscine à débordement et la vue sur la mer est magnifique.
Jules a déjà entamé la conversation avec deux hommes, deux papys devrais-je dire et ils semblent bien s’entendre puisque je les entends rire avec force. Ils sont installés au bar, à l’ombre. Jules me demande si je souhaite me joindre à eux. Je comprends vite qu’ils sont en couple et nous échangeons les banalités d’usage. Ils sont de Charente maritime et habitent un appartement dans une copropriété avec installations sportives dont court de tennis, salle de muscu, piscine… Ils sont effectivement bien bronzés et ils ont l’air de bien entretenir leurs corps. Ils sont joueurs et nous proposent une partie de carte et entre belote (avec un b et non un p) et tarot, nous choisissons la belote. Ce sont deux coquins et la partie est fine entre les passes, les défausses et je crois aussi quelques petites tricheries entre la position des mains, les regards et clins d’œil et les petits mots de plaisanterie du genre « tu me fends le cœur ! Nous rions et les scores sont équilibrés malgré tout. Nous ne jouons pas la tournée de boissons car nous avons notre bracelet de clients premium et les verres d’alcool se succèdent. L’heure du repas arrive, Jean et Jacques (les deux J, les vrais deux J, je ne trouve plus la blague, il y en avait une pourtant) nous proposent de diner avec eux au restaurant de l’hôtel. Jules et moi échangeons un regard complice et nous acceptons l’invitation.
Champagne à l’apéritif (comme si n’avions encore besoin d’alcool après tous ces verres pris à la belote) et plusieurs bouteilles de vins accompagne une nourriture soignée. Jean propose de prendre une bouteille de cognac au bar et de nous lancer dans une partie de poker. Les esprits sont chauds et il y a eu bon nombre de débordements sur le sexe entre hommes. Les deux J sont très nature, très vrais et même frais par rapport à tout ce qu’ils ont avalé comme alcool. Jules me regarde et demande quelles seront les mises pour cette partie de poker et Jacques répond qu’au vu du peu de textiles que nous portons, un strip poker ne durerait pas longtemps sauf à y ajouter certaines règles. Je fais directement mon curieux et Jean répond qu’on peut très bien improviser au fur et à mesure. Nous acceptons la proposition et récupérons un jeu de cartes et une bouteille de cognac avec quatre verres avant de nous rendre dans le bungalow des deux J frais coquins.
Arrivés devant la porte de leur bungalow, Jacques tente de redresser le premier chiffre au-dessus de la porte et de le faire tenir la pointe en haut pour former un 69 comme ils aiment et s’arrangent pour avoir comme numéro de chambre quand ils sont à l’hôtel. Il y parvient mais quelques instants après, le numéro bascule de nouveau et nous en rions tous. La partie commence et nous nous retrouvons rapidement en sous-vêtements puis c’est Jules qui se retrouve à poil en premier ; il est en demi-molle. J’en suis surpris. Avec tout cet ...
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