Ce récit a été noté : 4.0 / 4

 
( 0 = histoire nulle   4 = histoire TOP )


Ajouter à ma liste
Grosse nuit de baise à Kéroual à Brest.

Publié par : travnicole le 23/07/2025

CHAPITRE 9

Résumé du chapitre 8 «Mise à la disposition de tous dans un club à Guingamp » :

Un couple dominateur a contacté mon Maître Alain afin qu’il leur prête la petite pute travesti, à savoir moi, pour une soirée SM dans un club à Guingamp. Durant une bonne partie de la nuit, j’ai été attachée et j’ai du subir les sévices de plusieurs personnes présentes : être attachée, recevoir la fessée, la cravache, les pinces. J’ai aussi été posée par Madame Françoise sur une machine à baiser dont le gode m’a limer une bonne partie de la nuit. J’ai fini la nuit sous la table où j’ai du lécher le sexe de Madame Françoise et sucer la bite de son mari Louis. Après cette soirée SM en club, j’ai aussitôt fait un rapport détaillé écrit à mon Maître.

Une année entière a passé, j’ai maintenant vingt-et-un ans, j’ai réussi mon diplôme de fin d’études, ça n’a pas été facile j’ai du jongler avec mes études et les nombreuses sollicitations de mon Maître Alain. Un relation de dépendance totale s’est instaurée, il a réussi à prendre entièrement possession de ma vie. Bien sur, il y a eu quelques rates et il m’a corrigé aussitôt. Durant cette année, j’ai très souvent été mise à la disposition des hommes à l’hôtel, en sex-shop, dans le parc où j’avais rencontré mon Maître, dans un petit chemin discret, dans des soirées privées aussi. Madame Françoise a plusieurs fois sollicité mes services pour des soirées entre amis ou juste pour elle et son mari Louis. Cela fait maintenant trois ans que Maître Alain m’a pris à son service, trois ans que je suis vraiment devenue une pute travestie totalement accro à la bite des hommes, j’en ai sucé et pris des centaines dans le cul et dans la bouche. J’ai une liste de contacts d’hommes qui me baisent régulièrement impressionnante, je dois à chaque fois demander l’autorisation à mon Maître avant de leur fixer rendez-vous, parfois il exige d’être présent, parfois il me laisse aller seule au rendez-vous et je dois bien sur, après, lui faire un rapport détaillé de ce qui s’est passé.

Je ne porte plus de plug, je dois maintenant porter en permanence dans le cul un rosebud en acier avec des cristaux mauves sur le bout. Dés que je sors, mon Maître a exigé que je porte un collier qu’il a fait faire sur lequel il est écrit en grosses lettres le mot « salope ». Je suis très fière quand je le porte.

Un drame que je n’ose même pas imaginer se profile à l’horizon. Après l’obtention de mon diplôme, je passe des concours administratifs et il sera inévitable que je quitte Brest pour la région parisienne dès que j’en aurais réussi un. C’est une hypothèse que je ne veux pas imaginer et pourtant je sais que je n’ai pas le choix. Je ne sais pas du tout comment je vais faire sans mon Maître. Je suis totalement dépendante de lui et surtout, je suis totalement amoureuse de lui, c’est lui qui m’a fait découvrir la vie que je vis aujourd’hui et qui me plaît tant, c’est aussi la deuxième bite que j’ai sucé, c’est le premier homme qui m’a enculé. Je lui ai parlé de ce problème mais il n’y a aucune solution, lui ne peux quitter Brest et son travail et moi je vais devoir partir. Il a pris quelques contacts avec des dominateurs sur la région parisienne mais j’avoue que pour l’instant je ne me sens pas prête à appartenir à un autre homme qu’Alain.

Dans l’attente de cette affreuse nouvelle, Alain me fait de plus en plus tapiner, il organise toujours les soirées à l’hôtel ou parfois dans un garage où il me met à l’abatage et où les hommes paient une participation de dix ou vingt euros pour me baiser. Il a du gagner pas mal d’argent avec ça, ce qui lui permet de m’acheter assez souvent de nouvelles tenues de pute.

Ce soir, il m’a annoncé qu’il m’envoyait m’exhiber et me faire baiser dans le bois de Kéroual à Brest. La plupart du temps c’est lui que me dit comment m’habiller. Pour ce soir il m’a demandé de porter des bas résilles, ma guêpière rouge et noire, un string rouge, mes cuissardes. Il me fait aussi porter une chaîne bijou autour de la taille. Je dois bien sûr mettre mon collier « salope ». Je porte une nouvelle perruque brune qui me tombe sur les épaules. Alain m’a aussi demandé de me maquiller très pute : beaucoup de fond de teint, un rouge à lèvres très vif et persistant pour qu’il ne s’en aille pas quand je suce, du fard à paupière, de longs faux cils, les ongles vernis de rouge vif. Il me fait aussi porter une micro-jupe en vinyle qui m’arrive à peine au-dessous des fesses. Je porte un petit blouson de cuir par dessus. Nous sommes en août, il est vingt-deux heures. Je retrouve mon Maître sur le parking du parc d’exposition de Penfeld, je sors de ma voiture, il sort de la sienne, m’inspecte dans les moindres détails. Il attache une laisse à mon collier puis il écarte mon string et enlève le rosebud en disant :

Il vaut mieux que je te retire ton petit bijou ou bien tu vas le perdre ce soir, ma petite pute, tu vas sûrement prendre pas mal de bites dans le cul.

Oui Maître.

Nous allons aller voir sur le premier parking s’il y a des hommes puis nous irons sur celui d’en haut.

Bien Maître.

Je monte à côté de lui dans la voiture et nous nous dirigeons vers le premier parking, il y a cinq ou six voiture garées. Nous sortons de la voiture, Alain prend l’extrémité de la laisse et me conduit dans les premières allées du bois. Après quelques mètres, nous passons à côté d’un homme arrêté sur le bord du chemin. Il nous voit passer, mon Maître quelques centimètres devant moi et moi qui suis tirée par la laisse. Cette vue doit beaucoup lui plaire, il nous suit. Nous faisons quelques mètres et Alain ne se donne même pas la peine de chercher un endroit discret, il s’arrête sur une zone d’herbe sur le bord du chemin, l’homme nous rejoins, Alain s’adresse à moi puis à l’homme:

A genoux, salope.

Oui Maître.

Salut.

Salut.

Tu mets cette chienne à notre disposition ?

Oui, elle adore la bite, tu peux y aller, elle suce sans préservatif et avale, elle adore ça, par contre, si tu l’encules c’est avec capote.

Oui bien sûr.

L’homme se met face à moi, sa braguette tombe juste à hauteur de ma bouche, il défait sa ceinture, baisse son pantalon et son slip. Alain me tient toujours par la laisse, je sais tout-de-suite bien sûr ce que j’ai à faire, je prends sa bite dans ma bouche afin de la faire durcir très vite. Elle prend rapidement une belle taille. Je continue mon travail de suceuse en remuant bien ma langue tout autour du gland tout en pratiquant de longs va-et-vient. Il est maintenant très dur. Pendant que je le suce, deux autres hommes passent sur le chemin, ils ne peuvent pas me rater. Ils s’arrêtent pour mater. Les deux hommes commencent à se caresser à travers leur pantalon, puis ils baissent leur pantalon et leur slip, ils sont en érection. Ils s’approchent alors de l’homme que je suce et ils prennent à tour de rôle possession de ma bouche. Je suce ces trois queues pendant plusieurs minutes, c’est un plaisir de passer de l’une à l’autre, elles n’ont pas toutes la même taille ou le même goût. A ce moment, l’un des deux hommes arrivés après demande ^Alain :

Est-ce qu’on peut la baiser cette pute ?

Oui, bien sûr, je l’ai amené ici pour ça, elle veut toujours plus de bites, elle est complètement accro à la bite.

Est-ce qu’elle pend le jus dans la bouche ?

Oui, oui.

Elle avale ?

Oui, oui, pas de problèmes.

Super, on peut aller dans un coin plus discret ?

Oui, pas de soucis, on peut aller là-bas, sous les arbres.

Suis nous à quatre pattes salope.

Oui Maître.

Nous faisons quelques mètres, je suis mon maître à quatre pattes, de temps en temps l’un des hommes me met une claque sur les fesses. Nous arrivons sous les arbres. Alain me fait rester à quatre pattes. Les trois hommes se replacent devant moi, je lève un peu la tête pour attraper leur bite et je recommence à les sucer l’un après l’autre. Puis l’un des hommes passe derrière moi, il relève ma jupe, écarte mon string, enfile une capote et présente sa bite à l’entrée de mon cul. Il y a bien longtemps que je n’ai plus besoin de mettre de lubrifiant, je remue un peu mon cul pour l’exciter et pour bien lui montrer que j’attends sa queue avec impatience. Il m’enfile doucement, sa bite rentre toute seule et bien au fond. Il commence à me pilonner en me prenant les hanches, je suis secouée par les coups de bite et à chaque coup vers l’avant la bite que j’ai dans la bouche entre profondément. Les deux hommes baisent tour à tour ma bouche pendant que le troisième m’encule maintenant vigoureusement. Je me sens si bien dans cette position, j’apprécie autant la bite dans mon cul que celles qui passent dans ma bouche. De temps en temps l’homme qui m’encule me donne des tapes sur les fesses, j’adore. Les deux hommes s’agitent vraiment fort dans ma bouche et mon cul et les deux jouissent à peu près en même temps dans des râles assez bruyants. Ils se retirent et, comme d’habitude, je garde le sperme quelques secondes dans ma bouche pour apprécier avant de l’avaler. Le troisième homme prend alors position derrière moi et m’encule à son tour, sa bite et longue et fine, c’est très agréable, il me lime comme ça une dizaine de minutes et jouit à son tour dans mon cul dans le préservatif. Je me fais toujours baiser avec capote, beaucoup d’homme ont demandé à mon Maître de pouvoir me baiser sans capote, il a toujour ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite


Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay, Fellation, Sodomie, Soumission/domination, Fétichisme, Sado Maso, Européen(s), Trav, A plusieurs