Mes dernières aventures sexuelles me donnent envie de vous parler de mes 15 ans et la manière dont j’ai perdu ma virginité avec deux demi-frères quadragénaires, Eddy et Charles, pendant les vacances. Cette expérience sexuelle, cette puberté qui éclate pendant les vacances au camping, entouré d’hommes plus vieux que moi, vont fortement influencer mes goûts et pratiques sexuelles tout le reste de ma vie.
Je viens tout juste d’avoir 15 ans, un beau jeune homme doux, gentil et charmant. Je suis rondelet mais grand, les traits du visage assez fins et légèrement efféminé dans la façon de me mouvoir, je ne se fait pas encore à l’idée d’être homosexuel, mais je sais déjà que j’ai une attirance pour les hommes car c’est à eux, leur corps et leur sexe que je pense en permanence.
Au camping à la campagne, dans le Gard avec ma famille comme chaque année tout le mois de juillet ; pas d’ado, que des gamins ou des adultes, je me plonge dans mes livres ou passe mon temps à me balader à vélo.
Mes parents s’étaient liés d’amitié depuis quelques années, avec deux demi-frères de la région mais originaires du Nord, au parcours de vie tourmenté à qu’ils sont venus en aide, y compris financièrement. Cette année ils étaient ravis de savoir qu’ils venaient tous le deux, de trouver une petite maison certes décrépie, mais à quelques kilomètres du camping et avec un grand terrain. Ils étaient complètement isolés en pleine campagne et vivaient à deux en célibataires endurcis.
On avait tous compris que durant le mois de vacances, les soirées s’enchaineraient au camping ou chez « les deux frangins » avec la bande de potes habituelle des parents.
Les deux demi-frères quadra, ne se ressemblaient absolument pas. Eddy était très bronzé, les bras musclés avec une jolie bedaine, les cheveux mi-longs, de beaux yeux bleus, une barbe de 3 jours et passait son temps à torse nu avec ses mini shorts des années 80. Charles était un ourson rond, barbu et brun aux yeux noisette, de la même taille que son frère et un peu plus jeune. Lui se baladait toujours avec des chemises larges à motifs.
C’est une période difficile pour moi qui passe mon temps à m’enfoncer des objets dans l’anus et me masturber sous la douche pour éviter les érections spontanées : la folie de la puberté, la solitude du jeune gay puceau et tous ces hommes à torse nu et en shorts à mater. Même leurs pieds en tongs m’excitent terriblement.
Début des vacances, c’est la 3ème soirée de suite, sous la chaleur dans le jardin des deux frangins. Tout le monde commence à avoir un coup dans le nez, je m’ennuie un peu.
Je rentre dans la maison et file aux toilettes de la salle de bain se trouvant en face de la cuisine au rez-de-chaussée ; je réfléchi à l’idée de me masturber pour la 3ème fois de la journée, rapidement, car durant la soirée, je me suis retrouvé plusieurs fois en érection et j’ai peur d’un accident.
La corbeille de linge sale était une aubaine… Différents dans leurs styles, les deux frères faisaient partie des hommes qui m’attiraient et auxquels je pensais souvent lors de mes séances de masturbation. C’est donc en fouillant dans la pile de vêtement sales que j’entrepris de renifler et se masturber dans un slip bleu marine contenant une légère trace d’humidité séchée sur la bosse du devant et à l’odeur exquise d’homme viril.
Je ne savais pas si c’était le slip d’Eddy ou de Charles, mais après avoir sniffé l’odeur, j’ai entouré mon jeune sexe et je me suis masturbé dedans. Je ne sais pas trop ce qui m’est passé par la tête, mais sans pouvoir me contrôler, peut-être aussi par crainte de ne pas réussir à diriger mes jets de sperme dans la cuvette des toilettes, c’est à l’intérieur du slip de l’un des deux frangins que je jouis.
Soulagé, je m’essuie avec du papier toilette, plie et remets le slip souillé dans le panier à linge.
La soirée se termine normalement, c’est-à-dire, tous les adultes saouls.
Le surlendemain, il est 14h, mes parents me demandent de passer en vélo chez les deux frangins pour leur déposer une enveloppe avec de l’espèce pour payer la nourriture pour la soirée.
« ils n’ont pas beaucoup de sous, tu sais… Tu dis que ça vient des campeurs, mais tu ne dis pas qui a donné l’enveloppe. » me dit ma mère.
Arrivé sur place, Charles seul, m’accueille, me demande ce que je fais là et m’offre une limonade bien fraiche. Je lui donne l’enveloppe, il essaie de me soutirer des informations mais je ne dis rien.
Etrangement et contrairement à l’habitude c’est la première fois que Charles discute réellement avec moi… La conversation est fluide et naturelle jusqu’au moment où Charles dérive sur mes amours de jeunesse (inexistants), la puberté (non sans maladresse) et finit par me dire : « tu sais, je sais ce que tu as fait l’autre soir dans la salle de bain ».
Là, c’est la panique totale. Je ressens un malaise terrible, mon cœur s’emballe et va exploser dans ma poitrine… Je deviens rouge comme jamais des gouttes de sueur froide me coulent sur les tempes pendant que je fais semblant de ne pas comprendre.
Charles essaie de me rassurer, me rappelle que je suis le seul ado donc cela ne pouvait être que moi mais prend un ton très doux pour me dire tout bas : « tu sais, tu en as mis partout, mais ça me dérange pas du tout… J’espère que ça t’a plu ? ».
Silence. Je ne sais pas quoi dire, mais mon cœur ralentit.
« Tu peux y retourner et recommencer si tu veux ». « Je peux même venir avec toi ? »
Encore un sentiment d’angoisse immense qui me parcoure mais plus le même. Mon cœur risque encore d’éclater mais une légère envie, une excitation monte également en moi.
Charles avait compris que quelle que soit ma réaction, quelle que soit la suite de l’après-midi, je resterai muet face à lui et que jamais je ne raconterais quoi que ce soit à mes parents car il m’avait pris, presque en flagrant délit à m’être branlé dans son slip.
Apres quelques dizaines de secondes qui m’ont parues être une éternité, Charles à 1 mètre de moi se mit à desserrer sa ceinture, ouvrir sa braguette et me montra son slip : « il te plait celui-là ? », me dit-il en se caressant la verge par-dessus le tissu.
Tétanisé, je ne dis rien et ne bouge pas, mais le spectacle me fascine. Charles s’approche de moi, m’attrape la main et la pose sur sa bosse qui commençait à grossir. Je n’avais jamais eu de contact sexuel ou amoureux avec qui que ce soit, je passe mon temps à fantasmer sur les hommes matures et virils comme lui et me retrouve dans une situation absolument stupéfiante, la main sur le sexe d’un homme.
La situation est terrifiante car c’est un ami de mes parents ; j’ai peur qu’il raconte que je me suis branlé dans son slip. Ça serait la fin de ma vie, une catastrophe. Je me laisse donc faire.
Je me laisse faire et la terreur commence à s’estomper devant la douceur des gestes de Charles et l’excitation naissante ce paquet dans la main.
« Tu peux la caresser » me dit-il.
« Tu peux la sortir du pantalon si tu veux… ». C’est une verge d’un bon gabarit mais pas trop énorme qui se retrouve dans mes mains. Je la masturbe timidement.
« Ça te plait ? ». Oh que oui ça me plait, ça me plait terriblement, même si je n’arrive pas à sortir un seul mot. Je le masturbe de plus en plus sensuellement et y prend beaucoup de plaisir et moi aussi je bande à fond.
Je me dis que si je le branle sans salive, il va peut-être avoir mal, comme moi lorsque je me masturbe ? Mon instinct me donne envie dans un premier temps de mettre de la salive sur mes mains pour le branler mais également l’envie de me mettre à genoux pour arriver face à ma toute première verge et la mettre dans ma bouche. Je que fis.
Je tiens sa queue d’une main, je me mets à croupis et passe des coups de langue sur son gland, comme si je léchais un cornet de glace. Charles, gémit de plaisir en sur jouant un peu pour m’encourager. « Vas-y, met la dans ta bouche ».
Je m’exécute et découvre une sensation incroyable, un plaisir que je rechercherais toute sa vie : avoir le sexe d’un homme dans la bouche. je reconnais l’odeur du slip que j’avais sniffé et commence à faire des vas et viens sur son gland et le haut de sa queue.
« Vas y, c’est bon, continue mais fait attention de ne pas mettre un coup de dent ». Je m’applique et mouille à flot dans mon caleçon. Charles m’attrape le bras et me relève : « viens, on va aller dans ma chambre, on sera mieux ?! »
« ok ».
Ca y est, mes premiers mots. Charles m’emboite le pas, on monte à l’étage et il se met n ...
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