Au milieu du mois d’août, j’ai subi une opération qui devait me soulager de douleurs chroniques qui m’handicapaient depuis des mois. Trois jours après l’opération, j’ai été transféré dans un centre de rééducation afin de retrouver ma pleine mobilité. Le personnel était aux petits soins, je passais la plupart du temps dans ma chambre allongé ou assis et à certaines heures, on me faisait faire des exercices.
Un jour, après le repas du midi, servi dans ma chambre, j’aperçus sous le pantalon de Brahim, l’aide-soignant qui m’était affecté, un membre d’un bel aspect, même au repos. Mes yeux ne quittaient plus cet endroit. Brahim s’en aperçut et s’approchant de moi, me dit :
Elle te plaît ? Tu peux la toucher !
Hors de tout contrôle, je portais ma main à son pantalon et commençais à caresser son sexe qui se mit à grossir et à se déployer. Brahim se recula à mon grand dépit mais c’était pour coincer son chariot contre la porte d’entrée. Nous ne pouvions plus être dérangé à l’improviste. Il revint vers moi et sortit son mandrin. Je l’empoignais et fit coulisser ma main de sa base au gland gonflé. En quelques minutes, sa tige durcit et était secoué de mouvements incontrôlés ; Il se rapprocha de moi, me saisit à la nuque et m’ordonna :
Ouvre ta gueule et prends ça !
A peine avais-je posé mes lèvres sur sa hampe qu’un flot de sperme se répandit jusqu’à ma gorge, j’eus du mal à déglutir mais il ne me lâcha pas et j’avalai jusqu’à la dernière goutte sa semence. Il se rhabilla prestement et me lança : T’as aimé ? Je reviendrai, sois prête !
Il tint promesse. Il revint vers 15 h., et sans avoir négligé de gêner l’ouverture de la porte, il sortit son engin déjà dressé et m’intima :
Suce-moi!
J’étais assis dans un fauteuil de relaxation, je me redressai et me mis dans une position confortable pour le satisfaire. Cette fois-ci, il fut plus long à venir, j’en profitai pour le régaler des talents de ma langue, je parcourus sa large surface et le mit progressivement en bouche. Il me laissa faire mais je ne pus avaler plus que son gland, ma bouche était trop petite pour sa grosseur ; à défaut de le sucer, je le branlai à deux mains jusqu’à ce qu’il se répande en moi.
C’est bien ! Je suis content de toi ! Avant ton départ, je vais te prendre ta petite chatte et faire de toi ma petite pute !
Mon serviteur se transformait en mon maître, et j’étais heureux de lui faire plaisir. Il avait senti cette tendance chez moi et accéléra ma formation.
Je sortis rejoindre les autres patients dans le jardin d’agrément. Il avait dû se vanter d’avoir mis à jour mes penchants car ils furent nombreux à mettre leur main dans le pantalon en me croisant. En fin d’après midi, je rejoignis la salle de rééducation pour la séance quotidienne. Il y régnait une ambiance agréable faite de soutien commun jusque là, mais ce jour là, ceux que je prenais pour des amis ne cessèrent de me harceler, qui me palpant les fesses, qui m’empoignant les testicules jusqu’à ce que je lâche :
Laissez moi, j’appartiens à Brahim !
Les hommes se regardèrent et ...

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