Ce que j'adore ce sont les plans en extérieur, aires de repos, bois, et autres lieux à l'air libre. Un petit tour au sauna n'est pas pour me déplaire de temps en temps mais cela ne vaut pas le grand air.
Mes meilleurs souvenirs sont ceux sur l'aire du Douron.
J'aimais m’y rendre de jour comme de nuit et il y avait toujours du monde, des personnes décidées comme des indécis. Il y avait plusieurs endroits chauds sur cette belle place, les toilettes, le bois derrière les toilettes, le bois au fond de l’aire et celui un peu en contre bas. Les bois derrière les toilette et au fond étaient mes endroits préférés.
Quand j'arrivais, petit tour du parking pour voir s’il y avait du monde, puis petite balade dans les bois pour voir s’il y avait de l'action à laquelle participer tout de suite, sinon attente la queue dressée dans la voiture.
Je mettais souvent ma voiture vers le fond de l'aire, en travers, et attendais à l'intérieur souvent juste vêtu d'un t-shirt et short ample de jour, et entièrement nu de nuit, près à l'action la queue bien en évidence pour attirer du monde. Souvent pour patienter agréablement entre deux coup j'avais avec moi une belle courgette, un concombre
ou mon gros plug rose que je glissais au chaud dans mon cul, quand une queue se présentait j'étais déjà bien ouvert et lubrifié.
À cette époque, il m'est arrivé souvent de me balader nu au fond de l'aire, la nuit, avec juste des chaussures à talon haut et en bas auto fixant le cul rempli d’un gros plug rose. Comme cela quand une voiture venait intentionnellement vers le fond je sortais de derrière ma voiture pour m’exhiber à la lumière des phares ce qui ne manquait jamais de provoquer l’intérêt du conducteur.
Que de rencontres, à deux ou à plusieurs, avec des hommes surtout mais aussi des couples à de rares occasions. Certaines soirées /nuits je me suis fait prendre à de multiples reprises toujours protégé et j'ai sucé de nombreuses queues que j'aime à faire gicler sur moi.
Je me faisais surtout prendre dans le petit bois au fond, un chemin de 30 mètres menait à gauche à un tunnel sous les arbres, mon lieu favori. En journée je m'y rendais habillé puis j'y enlevait tous mes vêtements, à travers les arbres on pouvait voir le grand parking et les personnes qui arrivait, quelle excitation à chaque voiture qui arrive vient il vers le fond ? ou est-ce juste une famille qui fait une pause ?
De temps en temps en journée un couple venait, toujours le même, le monsieur amenait sa femme dans le bois elle s’y dénudait et s'y faisait prendre par tout le monde, je la prenais aussi et après je suçais ceux qui attendait leur tour. Moi aussi certains jours j'ai été sailli à de nombreuses reprises par plusieurs mâles en manque, quel plaisir d'avoir une queue qui te défonce le cul pendant que tu en suces d'autres au fur et à mesure des jouissances les types partent d'autres arrivent, un ballet de queue inconnues ou connues car certains qui connaissaient mon véhicule savais que mon cul et ma bouche étaient toujours disponible.
Etonnamment je n’ai fait que très peu de plans avec des routiers, quelques rare camions passaient la nuit à cet endroit, je me rappelle particulièrement d’un routier qui venait de Nancy, il m’avait invité non pas dans la cabine mais dans la remorque. Surprise sa remorque était presque vide et il y avait installé un sling , m’a installé dessus a allumé une lumière , m’a défoncé d’abord avec un gode puis avec sa queue , la lumière a attiré les trois autres personnes présentes sur le parking qui sont aussi montées dans la remorque, ils m’ont tous défoncés et ont fini par me jouir sur la poitrine et le visage , je suis descendu de cette remorque les jambes flageolantes, poitrine et visage pleins de sperme, quel pied !!
Dans le bois derrière les toilettes il y avait des chemins tracés par les pas de « promeneurs », ce coin était fréquenté essentiellement en journée a cause sa pente très raide. Du haut on avait une vue plongeante sur les arrivées et départ du parking et bien a l’abris de la végétation j’y était souvent nu ne laissant pas de doute sur mes intentions. Ce que j’aimais bien à cet endroit c’était me faire prendre ou sucer à quatre pattes directement sur le sol meuble du sous-bois, une année quelqu’un y a même déposé un vieux matelas, vite dé ...

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