L'apprentissage d'un garçon déluré 3: L'heure de la tétée & A la vue de tous 

Toujours en perpétuel quête de queues, je poursuivais ma formation de bonne petite salope en compagnie d'un mec que j'avais connu sur un site de rencontre gay. Jean-Michel avait presque deux fois mon âge mais il était devenu pour ainsi dire mon petit ami ou du moins mon sexfriend attitré depuis quelque temps. Il vivait actuellement chez une amie à lui qui le loger à titre gratuit tandis que moi j'étais toujours chez mes parents, tardant à quitter le nid douillet familial. Dès notre premier rencard, Jean-Michel me fit découvrir les plaisirs de la chair entre mâle en pleine nature en me sodomisant contre un arbre à l'orée d'un bois (lire: S'envoyer en l'air à l'aérodrome).
Sachant qu'il n'avait pas les moyens, c'est souvent moi qui payait nos sorties dans les sex-shops ou les bars homos avec l'argent de poche de papa-maman. Vêtu d'une petite chemisette rose et blanche nouée au dessus de mon nombril et d'un jean moulant taille basse, je me pavanais avec mon "petit ami" qui aurait pu être mon oncle, en direction du sex-shop pour une après-midi libertine.
Au fil de nos virées licencieuses, je découvris un autre versant de Jean-Michel en matière de sexe. Bien qu'il se comportait comme un vrai mâle alpha avec moi, il appréciait aussi faire sa lopette soumise.
Dans la salle "Trans", mon chéri à quatre pattes dans une banquette s'occupait de pomper l'énorme braquemart d'un superbe jeune métis à la beauté stupéfiante. Assis, j'admirais d'un air médusé mon mec en train de tailler une pipe à cet apollon sur-membré à la peau d'ébène. Ce spectacle de le voir ainsi, dans une telle situation m’excitait énormément. Sur l'écran de télévision, un transsexuel d'origine sud américaine se faisait prendre par un mec bodybuildé. Je ne savais plus où regarder pour contenir mon désir de bites. Le jeune métis au sourire charmant remarqua mon intérêt m'invita à les rejoindre d'un clin d'œil et d'un petit signe de tête. Sans doute voulait-il me faire profiter de son gigantesque sucre d'orge.
Mais voilà qu'un nouvel arrivant déballait son artillerie sous mon nez en espérant une gâterie ! Comment pouvait-il croire que j'étais ce genre de garçon ?! Le quidam gonfla sa joue avec sa langue en me lançant un regard impatient qui voulait tout dire!
Ne pouvant résister à cette invitation dans cette atmosphère de débauche, j'accueuillis ce présent entre mes grosses lippes épaisses. Tout en ce faisant sucer par mon chéri, le beau métis me regardait en train de pomper cet audacieux inconnu et semblait ravie pour moi. Jean-Michel avait bien du mal à engloutir un tel morceau pendant qu'il lui appuyait sur la tête pour aller jusqu'au fond de sa gorge. Mon chéri allait finir par s'étouffer avec ce pilon monstrueux. J'avais vraiment de la peine pour lui . Plus jamais il ne serait pour moi la vision parfaite du mâle dominant après avoir assisté à ça. Avec un savoir-faire dont je ne lui connaissais pas, Jean-Michel vient à bout de la résistance de cette gigantesque courge exotique. A coup de langue experte et de savoureuses sussions, il tira son lait tel un expert en la matière jusqu'à la rasade finale qu'il avala sans broncher n'étant pas le moins du monde dégoûté. J'avais peine à croire que cette lopette avait été mon maître étalon durant ses dernières semaines. Le beau métis se reboutonna et sorti en me souriant d'un air entendu. Sans doute avait-il deviné que le Jean-Michel était avec moi et qu'il en avait bien profité.
Trop occupé à récolter le nectar de ce premier partenaire directement dans ma bouche, je ne remarquait pas l'absence de mon chéri. Jean-Michel était parti sans que je m'en aperçoive. Je quittais moi aussi la salle trans en espérant le retrouver dans la salle gay. Peut-être était-il en train de sucer une autre queue ?
Malgré l'étroitesse de la pièce, il y avait pas mal de monde en ce vendredi après-midi. Certains se masturbaient en regardant le film pornographique sur l'écran au dessus d'une large banquette. Jean-Michel était présent lui aussi, posté dans l'encadrement de la porte, la queue à la main.
"_Alors, elle était bonne? Me demanda t-il en remarquant m'a présence à ses côtés sans dévier son regard de l'écran. 
_Oui, et la tienne ?
_Super bonne. Il aurait voulu me la mettre dans le cul. Mais elle était beaucoup trop grosse, j'ai refusé.
_J'aurais bien aimé le goûter !
_Je me doute, salope comme tu es! Mais maintenant c'est mon tour!"
Jean-michel me prit le bras et m'emmena vers la banquette, me fit m'asseoir et commença à déboutonner ma chemisette.
"_Attend, tu veux le faire ici? Mais il y a du monde!
_et alors, c'est pas la première fois qu'on te baise en public, non?"
Jean-michel retira mon pantalon, mon slip et me bascula vers l'arrière. Couché sur la banquette, cuisses écartées, uniquement vêtu de ma paire de socquettes, il allait me baiser devant tout ces voyeurs. A bonne hauteur, il s’enfonça en moi et commença à me limer sans vergogne. Plusieurs curieux s'agglutinèrent autour de nous pour profiter du spectacle. Leurs regards lubriques me dévisagèrent, certains exprimaient une excitation primaire, sournoise. D'autres semblaient s'indigner d'assister à mon infortune . Comment ce jeune homme pouvait-il s'offrir ainsi devant tout ces hommes? Leurs commentaires graveleux me parvenaient aux oreilles accentuant encore un peu plus mon humiliation: elle aime ça cette salope ! Défonce le cul de ce petit pédé! Quelle chienne !  Parmi ces voyeurs, un en particulier croisa mon regard et je ne pus deviner exactement à quoi il pensait. Son visage exprimait à la fois de l'excitation mais aussi quelque chose de plus malsain, comme du dégoût envers moi. Pour ne plus a devoir supporter ces jugements implicites, je fixais l'écran au dessus de moi tout en m'ouvrant encore plus en tirant sur l'arrière de mes cuisses. Tout en me faisant sodomiser au milieu d'inconnus, je couinais de plaisir la tête rejetée en arrière. Parfois mes yeux verts plongeaient dans ceux de mon amant. Trop honteux, j’évitais le regard des autres, me focalisant sur la bite entrant et sortant dans mon cul. Jean-Michel ne laissa pas sa place à un autre et me ramona énergiquement jusqu'à ce qu'il prit son plaisir. 
Après un léger temps de récupération, nous nous rhabillions maladroitement encore un peu engourdis par nos ébats. La représentation était terminé. Sauf que je sentis une main sur mes fesses après avoir remonter mon jean moulant. C'était le mec au regard bizarre. Il avait toujours cette étrange expression sur son visage.
"_Tu m'as excité, mon mignon. Ça te dirait de venir en haut avec moi."
Il devait avoir la quarantaine, cheveux n ...

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