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L'apprentissage d'un garçon déluré 4: toilette intime & en pâture aux cochons.

Publié par : boylens le 10/06/2025
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Je me réveillais avec une irrépressible envie de sexe. Nu sous ma couette, je me carressais lascivement mes parties intimes. Le simple fait d'effleurer mon entrejambe me faisait couiné comme une chatte en chaleur. Mes grosses bourses pleines étaient prêtes à expulser leurs fiels fermentés depuis plusieurs semaines. Ou alors était-ce depuis plusieurs mois? Je n'avais pas fait le décompte. Une chose était certaine, un simple attouchement aussi léger soit-il me ferait cracher à coup sûr. Mes mains évitèrent les zones trop sensible, ne dépassant pas la frontière du bas ventre ou du haut des cuisses. Mon sexe gorgé de sang battait la mesure au rythme de mes pulsations cardiaque. Du bout des doigts, j'effleurais mes énormes prunes prêtes à éclater. Une onde de chaleur parcourus tout mon corps. Un liquide filandreux transparent suintait de ma queue souillant mes draps. Je dû reprimer ma jouissance avec toute la volonté du monde. Non, il fallait que je résiste, encore et toujours. Je devais me garder pour être mesure de vider des mecs aujourd'hui.
   Direction la salle de bain d'une démarche précautionneuse, un filet de bave pendant entre mes jambes. Une fois le lavabo rempli, j'étale la mousse entre mes fesses, m'accrouppis et commence à me raser mes endroits les plus intimes. Un miroir placé entre mes pieds me guide dans ce rituel hygiénique. Une fois lisse, je passe la tondeuse sur mon pubis en laissant un fin sabot. Une fois debroussaillé, je vide et nettoie le lavabo avant de le remplir à nouveau pour la seconde étape...
   Apres m'avoir badigeonné l'anus de crème, j'immerge ma poire dans l'eau tiède pour la remplir avant de me la rentrer dans le cul. Assis sur les toilettes à côté du lavabo pour ne pas en mettre partout, je m'enfonce le plus profondément possible la canule multi-jets dans le rectum avant de compresser la poire. L'eau s'insinut en moi doucement, la sensation de me remplir l'intérieur n'est pas désagréable, c'est même kiffant. je ressort la poire et réitaire l'opération plusieurs fois. J'essaye de ne pas expulser tout de suite, en me retenant au maximum, serrant mon périnée de tout mes forces avant la délivrance salvatrice. Comme une pisseuse, j'écarte les cuisses pour éjecter l'eau purificatrice hors de mon colon. D'ailleurs, je ne pisse jamais debout. Pisser debout est réservé au vrai mec, pas au lopette dans mon genre. Je m'assois toujours comme une bonne femelle pour faire pipi, ma grosse paire de prunes pendantes entre mes jambes.
   La préparation prend un peu de temps mais cela peut en valoir la peine. Lorsque le temps presse, j'utilise plutôt un suppositoire contre la constipation. En moins d'une demi heure, l'effet est garanti. Mais le must reste le lavement à l'eau. Au moyen-âge, ce supplice de l'eau était infligé aux hérétiques, notamment aux sorcières pour les purifier de leurs péchés. Parmi les sept péchés capitaux, c'est sans doute celui de la luxure dont je devais m'absoudre le plus.
   Une fois propre à l'intérieur, je prenais une douche pour être propre à l'extérieur. L'eau chaude ne faisait qu'accentuer mon irrépressible envie de bites. La mousse parfumée relaxante embaumait la pièce d'effluves de jasmin. Debout sous le jet, j'introduisais deux doigts à l'intérieur de mon cul pour vérifier qu'il soit propre et le préparer à ce qui allait suivre, enfin je l'espérais !
   Pas de brossage de dents. Le brossage irrite les gencives qui peuvent saigner et donc favoriser une éventuelle infection. Privilégier un spray ou une pastille au menthol si vous avez mauvaise haleine. (C'était mon petit conseil pratique du jour). Pas besoin non plus de faire des efforts vestimentaires particuliers. Un jean moulant ou un survêtement en nylon en mode "lascars" fait généralement l'affaire.

Quelques instants plus tard...

   Dans la cave du Labyrinthe j'étais à la recherche d'un Minotaure bien membré. La porte du Glory hole était fermé. Quelqu'un m'avait devancé. Faisant le tour pour arriver par derrière, je vis une bouche avide qui passait sa langue par un trou à hauteur de hanche. Je me déboutonnais et sortais ma queue en feu pour la faire goûter à ce goulu. De là où je me trouvais personne ne pouvait me voir, j'étais à l'abri des regards. Sauf qu'un gros monsieur à la curiosité malvenue avait décidé de faire le tour du Glory hole lui aussi. Sans doute a-t-il perçu mes légers soupirs de plaisir. Il faut dire aussi que le suceur de l'autre côté de la parois savait y faire. A tel point que je dû me retirer pour ne pas lâcher la purée trop vite. J'optais pour une autre pratique délectable; j'abaissais mon pantalon devant le gros monsieur qui commençait à bien s'exciter en se branlant (Je note au passage que sa teube est monstrueuse!) Et me tournais en écartant les fesses pour présenter mon œillet plissé au niveau du trou. La langue à disposition commença à me lècher le cul. Mon dieu que c'était bon! Je couinais comme une chienne en me penchant plus en avant. Ce qui a pour effet de rameuter un autre mec mâture, qui se délectais lui aussi de me matter dans cette position plus des plus inconvenantes. Contrairement à l'autre, il était aussi frêle qu'un oisillon. Ce qui ne l'empêcha pas de déballer sa queue toute raide pour se masturber. Sans trop d'espoir, le bibindum me demanda si je serais d'accord de l'accompagner dans une cabine. Il sembla surpris lorsque j'acceptais de le suivre. Le mâture plus mince s'invita en proposant de nous réserver une cabine libre. Je remontais mon pantalon en abandonnant cette délicieuse bouche gourmande anonyme pour accompagner mes acolytes dans la pénombre du sous-sol.
   Dans la cabine, les deux Daddys ouvrirent leurs braguettes et commencèrent à s'astiquer le manche de concert pendant que je me déssapais.
"_Quel joli petit cul! T'es vraiment trop beau. Je croyais pas pouvoir en profiter." S'exclama le père dodu.
    Sa confidence sur son manque de confiance en lui me toucha particulièrement et je comptais lui redonner le goût de l'estime de soi. Pour cela, je lui caressais doucement la verge, m'agenouillais et la pris entre mes lèvres pulpeuses. L'autre Daddy, alluma la lampe torche de son téléphone et pointa la lumière sur moi pour ne rien louper de ma prestation. Les yeux ecarquillés, la main autour de sa queue, il ne devait pas assister à ça tout les jours.
"_Putain, comment il te suce!
_Attend, de voir comment je vais le baiser!"
   A ces paroles, je me relevais, un petit sourire coquin aux lèvres et m'allongeais sur la banquette en écartant les cuisses, offert. Le Daddy ventru retira sa chemise et descendis ...

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