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L'histoire d'un garçon déluré 3; Monsieur est servi.

Publié par : boylens le 23/09/2024
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Après la chevauchée sauvage que m'avait fait subir Bruno. Je repris le chemin vers mon domicile dans un état pitoyable, épuisé et tremblant, ma petite culotte trempée de sa semence gluante.
A peine le seuil franchi, une nouvelle déflagration éjecta une rasade de son fluide, inondant encore davantage le fond de mon pantalon qui me collait à la peau. Ça ne s'arrêterait donc jamais ! Comment avait-il osé me monter à cru sans s'être protégé! Dans quel état me trouvais-je maintenant à cause de lui! J'étais honteux d'avoir été souillé de la sorte. Pourtant je restais ainsi, baignant dans son jus poisseux jusqu'à la fin de la journée, me complaisant de ma condition de lopette cuve à jus. Je finis tout de même par prendre une douche presque à contre cœur avant d'aller me coucher pour pouvoir récupérer de cette journée éreintante.
Les jours suivants furent plus calme, bien que je pensais souvent à lui et à ce que j'avais subit et pourtant ce n'était que le prémisse de ce qui allait m'arriver.
Quelques jours plus tard, il me rappela. Le ton de sa voix était toujours aussi chaleureux et agréable. Et bien, que j'avais souhaité impatiemment son appel, je l'avais aussi attendu avec appréhension. Le cratère qu'il m'avait creusé entre les fesses était encore à vif et je n'étais pas certain de pouvoir en supporter autant de si peu. Il me demanda si j'étais disponible cette après-midi, s'il pouvait passer chez moi. Jamais, je n'avais encore reçu un de mes partenaires sexuels. Après avoir hésité quelques secondes, je fis le grand saut en lui donnant mon adresse. Lui précisant tout de même de ne pas être trop en avance pour me laisser le loisir de me préparer.
Je l'attendais nu sous mon tablier de soubrette. Tenue dans laquelle je faisais habituellement mon ménage avec un plugg anal vibrant pour me motiver à astiquer chaque recoin de la maison. Ce petit jeu m'excitait toujours beaucoup surtout qu'une visite improvisée pouvait toujours être envisageable. Mais pour aujourd'hui, j'avais laissé mon petit jouet dans sa boîte car j'avais des ambitions bien plus grande qu'un gadget électronique.
Mon cœur battait la chamade lorsque j'entendis la sonnette de la porte d'entrée. Un bref coup d'œil à la fenêtre et je vis un imposant SUV garé devant chez moi. Ça devait être lui, sans aucun doute. J'allais ouvrir dans cette tenue totalement indécente sans toutefois être persuadé à cent pour cent de l''identité de mon visiteur. Mais ce fût bien lui.
Bruno me sourit lorsqu'il me vit affublé dans ma petite tenue de soubrette noire et blanche qui m'arrivait impudiquement en haut des cuisses. Il n'aurait fallu qu'une légère brise ou un mouvement un peu trop ample de ma part pour dévoiler mes parties intimes. Je le fit entrer prestement pour ne pas me montrer aux voisins ou aux éventuels promeneurs.
"_Tu es très sexy dans cette tenue. Mais je te dérange peut être pendant ton ménage ? Ironisa t-il.
_Euh, non j'avais fini. Je t'ai préparé des cookies. Tu en veux?
_Merci, mais je suis venu ici pour croquer autre chose que des gâteaux."
Devant mon embarra, il me présenta la bouteille qu'il tenait dans ses mains.
"_Un petit cadeau de bienvenue, du champagne que je sers à mon restaurant. J'espère qu'il sera à ton goût."
Devant une si charmante attention, je l'embrassais et lui proposais de le déguster dans ma chambre. Je passais devant, une flûte à Champagne dans chaque main, en lui dévoilant mon dos nu et mon joli postérieur. Une fois dans la chambre, Bruno fit sauter le bouchon de la bouteille d'un geste assuré sans en perdre une goutte et rempli nos coupes du divin nectar. Le miroir de la penderie renvoyait nos reflets pendant que nous dégustions notre luxueuse boisson. Moi, nu sous mon tablier de servante, un peu gêné d'être dans un tel accoutrement. Lui, toujours aussi classe dans sa chemise en soie et son jean noir. Il me porta sa coupe à mes lèvres et me caressa sous mon tablier de bonniche, ses doigts courants le long de mon dos jusqu'à mes fesses. Mon corps s'embrasa se désir immédiatement. Il m'embrassa comme un amant le ferait avec sa maîtresse. Sa langue s'insinuant autour de la mienne dans un contact doux et voluptueux . Ses baisers avaient un goût de champagne et d'interdit . Il me prit mon verre des mains et me fixant intensivement.
"_Je vais te faire goûter autre chose maintenant."
Je m'assis sur le lit et déboutonna son pantalon. Son énorme queue était gorgée d'envie et n'attendait plus que d'être honorée. Tout en en le suçant, je me regardait dans la glace. J'étais une bonne en train de pomper son maître de maison. Ma fellation était parfois entrecoupé d'une rasade de champagne lorsqu'il estimait mon talent de suceur à sa juste valeur. Le goût de son sexe et celui de l'alcool se mélangeait dans ma bouche dans une sensation enivrante. Ma tête commençait a tourner et mon esprit se détacher de plus en plus de la réalité. Je n'avais pas pour habitude de boire et cela entamait ma lucidité.
"_Tu as assez bu comme ça! Mets toi à quatre pattes maintenant. Je vais te sodomiser comme tu le mérites!"
Dans ma confusion, j'oubliais de lui demander de mettre une capote cette fois. Et je senti la chaire nu de sa bite pénétrant mon rectum. Je voulu lui dire non, mais je n'en avait plus la force, ni la conviction. Une sensation froide parcourue la raie de mes fesses. Mon baiseur versait un peu de champagne sur mon cul pour me lubrifier.
"_Tu es déjà bien ouverte mais quand j'en aurais finis avec toi plus jamais tu ne pourras prétendre à quiconque être vierge du cul."
Il me pilonnait sauvagement devant le miroir, moi les fesses en l'air offertes, lui me chevauchant comme une bête en rut.
"_C'est génial d'avoir disposé un miroir devant ton lit. J'adore te voir pendant que je te baise. Je suis sûr que tu dois t'enfoncer tout un tas de choses dans le cul quand tu es seul. Pas vrai, petit coquin?"
Je ne pouvais pas lui répondre. J'étais trop honteux qu'il puisse si facilement me démasquer. En effet, presque tout les jours, je me pavanais dans des tenues affriolantes devant mon miroir en m'introduisant tout un tas d'objets usuel ou non dans l'anus, Je couinais comme la dernière des salopes en train de me faire sodomisé dans ma propre maison par un homme que je n'avais rencontré qu'une fois auparavant .
Il se retira, et j'attendais la suite, le visage enfouis dans la couette, les mains agrippant le bord du lit, le cul en l'air attendant la sentence. Je.senti alors quelque chose de dur et froid s'introduire en moi. C'était gros! Trop gros!
"_Mais que fais-tu ? Demandais-je, en tournant la tête.
Il s'était positionné derrière moi, tenant la bouteille de champagne dans ses mains et l’enfonçait dans mes entrailles!
"_Ne bouge pas, sinon je vais te faire mal.
_Arrête! s'il te plaît !"
C'est alors que je senti le liquide gazeux coulait en moi. Il était en train de vider le reste de la bouteille dans mon petit volcan en éruption. La mousse dégoulinait le long de mes cuisses comme une lave de luxure. La bouteille était rentrée jusqu'au goulot maintenant, inondant mes entrailles du précieux liquide.
Mon tortionnaire continua a me sodomiser avec sa bouteille en de lent va et viens. Le champagne coulait en moi puis s'expulsait en jet d'émulsions tel un geyser. Mon cul était devenu le jouet d'un tortionnaire sadique m'infligeant le supplice de l'eau. Sort qu'on réservé aux êtres impurs et aux hérétiques au Moyen-âge
"_Sert bien ton cul maintenant si tu ne veux pas inonder ton lit. Je ne la tiens plus."
Je serrais mon périnée aussi fort que je pouvais. Bruno passa ...

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