Martin m’appela en début d’après midi et je me rendis chez lui, avec impatience. Je n’allais pas être déçu du programme concocté. Je refermai la porte de son antre, me déshabillai en hâte et, dans la salle de bains, me maintins nu devant lui, les yeux brillants de l’excitation grandissante à chaque rendez-vous. Le jet d’eau dont il m’aspergea n’avait jamais été aussi violent et aussi chaud. Mon premier réflexe fut de m’en protéger en lui tournant le dos. Après m’avoir malaxé le dos et les jambes, il s’attarda sur mes fesses qui ne purent résister longtemps et s’amollirent, le jet put alors monter et descendre le long de la raie. Il avait atteint son cœur de cible, mon oignon s’ouvrit et je sentis mon ventre se remplir d’eau. Je fus bientôt pleine comme une femme enceinte. Il détourna, un moment, sa lance, toujours jaillissante, et me prenant par la main, il me fit tourner sur moi même. Il flatta mon abdomen, fier de son œuvre et appuya dessus : je me vidai aussitôt des litres d’eau qui m’avaient rempli. Martin reprit son travail sur le devant de mon corps, sculptant mes seins, je crus qu’ils gonflèrent mais ce sont surtout mes tétons qui furent sensibles à ce jeu : rouge, excités, élargis, je ne les jamais vus ainsi. Ensuite, ce fut mon sexe qu’il travailla, il décalotta mon gland, arpenta ma verge et s’occupa de chacune mes testicules, la douleur ressentie tout d’abord fut remplacée par la chaleur et j’offrais sans vergogne aucune mon entrejambes à son flux violeur. Il cessa enfin la séance.Telle une carcasse à l’abattoir, mes chairs avaient été débarrassées de toutes leurs scories.
Il m’avait imposé une telle préparation car il avait pris rendez-vous dans un institut de beauté et j’allais subir une épilation totale. Je n’avais pas à refuser ni à m’inquiéter, il resterait près de moi tout au long de l’opération. Je remis mon short et ma chemise, aussi unisexe que possible et nous nous rendîmes dans cet établissement, à priori consacré au corps des femmes. C’est d’ailleurs l’une d’elles qui nous reçut :
- Je vous attendais, messieurs, suivez moi.
- Dominique, tu t’occupes d’eux ?
Gouape ou femdo ? L’un n’empêchant pas l’autre, je ne me sentis pas rassuré d’être livré à ses mains. Mais, en vrai professionnelle, elle m’indiqua la démarche qu’elle allait suivre pour obtenir le résultat demandé par Martin, lorsqu’il avait pris rendez-vous.
Je me déshabillai et m’allongeai. Après un premier passage aux ciseaux, elle me rasa entièrement les jambes. Pour le torse que j’ai naturellement peu poilu, elle utilisa la cire chaude. Puis, sans un certain petit mépris dans l’expression, elle m’annonça qu’elle allait s’occuper de mon sexe, la partie la plus sensible et qu’il me faudrait être patient. Ce fut en effet la partie la plus longue, non pas que je sois particulièrement fourni, mais parce qu’elle s’attaqua à ma verge et à mes testicules à la pince à épiler électrique puis à main pour éliminer les derniers poils. Elle m’enduisit tout le corps d’une crème apaisante, et je me retrouvai rose et luisant comme un bébé Cadum.
- Voilà, c’est fini !
- Si le résultat vous plaît, n’attendez pas trop pour revenir : la pilosité de...monsieur sera plus facile à traiter !
Martin régla la note, me prit la main et m’emmena dans le quartier arabe de la ville. Pas une femme dans la rue, si ce n’est une ou deux en burqa, des hommes jeunes et vieux, assis sur une chaise ou appuyés contre les murs, nous dévisageaient, mi-curieux, mi-haineux. Je ne me sentis pas rassuré et me blottis ...
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