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Laurent dans tous ses états

Publié par : virgile30 le 20/11/2020

Laurent dans tous ses états

Encore des semaines de soltude pendant le séjour lointain d'Adèle ! Je jouis des libertés qu 'elle a prises et qu'elle m'a contées. L'excitation m'a saisi et ne me quitte plus. Adèle a laissé dans le tiroir de sa commode quelques uns de ses dessous sexy, ténus, affriolants : des strings transparents minuscules, des soutiens-gorges qui ne cachent rien des pointes érigées de ses seins, des porte-jarretelles et des bas noirs très fins aux liserés de dentelle noire. Souvent en pensant à elle, j'essaie cette lingerie érotique devant un miroir et cela me procure une excitation perverse, comme un désir de féminité enfoui au fond de moi. Ce désir d'androgynie qui fait aimer les transsexuelles, femmes accomplies munies d'un sexe d'homme. Ces êtres sublimes symboles de la beauté parfaite aux yeux des sculpteurs grec, hélas souvent artefacts de cette ambiguïté sexuelle qui les placent aux confins de l'érotisme.Je me jure de les découvrir bientôt. Pour l'heure j'ai envie d'être cet artefact aux yeux d'un homme qui me tiendrait pour femme. Je vais donc sur internet à la recherche d'un partenaire amateur de travestissement.

La chance me sourit, près de chez moi je découvre un bel homme bissexuel bien doté si l'on en croit la photo. Il me le prouve en mettant sa caméra en même temps que j'ouvre la mienne.
Je lui propose un rendez-vous l'après-midi même en le recevant seulement vêtu des dessous sexy de ma femme, bas jarretières noirs, mini string de dentelle et nuisette transparente. Il me dit que ça l'excite et nous nous caressons devant la caméra... Il a vraiment un sexe superbe, long avec un gland bien dessiné et lourd. De surcroît il me semble sensuel, raffiné, sensible à mon fantasme et même désireux de le partager.
Je l'attends donc chez moi, tremblant d'impatience, caressant mon sexe sous le tissu qui l'enserre... Le temps me semble long... Pour la première fois, je vais connaître cette perversion du plaisir sexuel où pour un tiers on accepte de montrer ses désirs les plus transgressifs, ceux qu'il est normalement impossible de dire. J'ai revêtu en frissonnant les sous-vêtements très osés d'Adèle et me suis encore et encore contemplé dans le miroir : mon sexe déjà alourdi est à peine contenu dans le string noir et mes testicules débordent de façon lubrique. J'ai enfilé et lissé une paire de bas noirs à couture que j'ai attachés délicatement au porte-jarretelles noir. Une nuisette très courte ne cache rien de mon état. Un peu de rouge à lèvres complète ma nouvelle condition et je me sens femme malgré mes cheveux courts et mon visage trop masculin.
Je m'essaie à marcher sur les hauts talons que j'ai trouvés dans l'armoire à chaussures d'Adèle. Ils me font des jambes élancées assez féminines. Je fais illusion pour peu que celui qui va venir soit troublé par le travestissement et se complaise à explorer un corps d'homme sous un accoutrement féminin. Lui aussi sans doute s'est ému de se travestir en son jeune temps avec les dessous de sa mère qui fut sans doute comme pour moi la plus belle des femmes. En cette attente fièvreuse ma pensée vagabonde jusqu'à l'un des souvenirs les plus indicibles de ma vie.

J'avais dix-huit ans et nous eûmes, ma mère et moi, l'occasion d'aller ensemble à Paris pour que je puisse passer un vague concours d'Ecole de formation d'officiers de la Marine Marchande. Nous prîmes, car nous n'étions pas riches, une chambre unique dans un de ces petits hôtels parisiens, propres mais peu luxueux et désuets. Après un repas rapide, nous allâmes nous coucher de bonne heure car le concours débutait le lendemain à 8h00 non loin de l'hôtel. Dans la chambre un simple lavabo pour nos ablutions. Je me couche le premier puis ma mère procède à sa toilette. J'ose la regarder nue tout en feignant de dormir. Elle est magnifique, ses cheveux chatains-roux tombent sur ses épaules rondes, son corps est pâle comme celui des rousses, ses seins lourds, bombés et fermes ont des aréoles larges et roses et des pointes épaisses, son ventre est splendide orné à la naissance de ses cuisses d'une touffe abondante, rousse, hérissée car en ce temps là les femmes ne les rasaient ni ne les taillaient au ciseau. Le spectacle me rend fou, je bande douloureusement et je me tiens le sexe en le caressant doucement et silencieusement. Bientôt elle enfile sa chemise de nuit, se couche à mes côtés, m'embrasse, m'invite à dormir et éteint la lampe de chevet. Nous sommes dans le noir, je l'entends respirer et j'ai terriblement envie d'elle. Sa chemise est remontée sur son ventre et laisse libre sa touffe et le haut de ses cuisses. Je n'en peux plus de la désirer, je me branle doucement d'une main et de l'autre avec d'infinies précautions je frôle sa touffe inflorescente, je respire l'odeur de son sexe, j'écoute sa respiration régulière mais un peu rauque comme si elle savait. Je suis transi de peur et d'amour, terrorisé à l'idée qu'elle découvre mon infini désir. Ses cuisses se sont écartées et précautionneusement j'ose, oui j'ose et c'est pourtant ma mère, ma main descend vers sa chatte et frôle les lèvres entr'ouvertes, je vais mourir, je n'en peux plus, je serre mon sexe en tirant furieusement sur le gland, je fais un peu de bruit. Soudain maman se tourne vers moi et me dit « tu as mal mon chéri ». Je suis affolé, je ne sais que faire, je lui dis « non maman ». Elle me répond « dors maintenant » et se retourne en me montrant son dos et ses fesses magnifiques. Une dernière secousse et je jouis sur mon ventre et sur le drap qui restera mouillé jusqu'au matin. Toute ma vie, chaque fois que je pense à cette mère merveilleuse qui fut la mienne, je regrette profondément, amèrement, de n'avoir pas dit « oui maman » et de ne pas l'avoir laissée saisir mon sexe brûlant, je sais qu'elle m'aimait au point de le faire et de me conduire à l'orgasme et peut-être même de m'écarter ses cuisses pour la première et la dernière fois, pour qu'il reste à jamais entre nous un secret intime que nul ne connaîtrait et qui serait un beau, un très beau secret dépourvu de toute impureté et de toute souillure. Je ne saurai jamais si elle l'a désiré cette nuit là puisqu'elle a quitté ce monde désormais mais j'aime à le croire.

Soudain la sonnette m'arrache de ma rêverie, c'est lui ! Je vais ouvrir et il se glisse chez moi dans la pénombre que j'ai laissée envahir la pièce pour faire mieux illusion. Nous nous embrassons, nous nous serrons l'un contre l'autre, nous nous découvrons. Il est comme je l'avais vu, poivre et sel, déjà dans une maturité épanouie. Nous sommes émus tous les deux jusqu'à en trembler.

Nous murmurons des mots de bienvenue et de plaisir. L'obscurité rend la situation encore plus troublante. Nous sommes bien vite assis l'un contre l'autre sur le canapé et nous partons sans préambule avec nos mains curieuses à la découverte réciproque de nos corps.
Il me prend aussitôt le sexe qui s'érige, exposant un noeud gonflé de sang tendu et courbé par l'élastique du string qui le retient encore. Je baisse fiévreusement son pantalon. Il est nu dessous et déjà sa queue s'érige elle aussi. Il ôte son tee-shirt et ôte d'un coup de pied ses sandales... moi je me débarrasse de ma nuisette et me voici nu en bas noirs et string transparent ma queue sortie hors du string. On s'enlace, on s'embrasse à langues mêlées, on frotte mutuellement nos sexes raidis, nos ventres, nos poitrines, nos tétons durcis... le désir nous envahit, il a envie de tout et j'ai envie de tout...
Je l'emmène dans ma chambre, je me couche sur le dos et lui ouvre les bras... A part le gode que je m'enfile parfois en cachet ...

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Mots-clés : En partie vraie, Gay, Trav