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Le garçon accro aux effluves de mâle - 10

Publié par : jeune48000 le 07/04/2025
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L’hiver tirait doucement sa révérence pour laisser sa place à la douce chaleur du printemps. Chaleur salvatrice pour quelqu’un comme moi qui exècre l’hiver, j’étais content, et de très bonne humeur malgré le travail considérable que me demandait ce second semestre.

Plus d’un mois était passée depuis ma dernière frasque, et entre temps… plus rien. Ma libido s’était mise en pause pour me laisser me re concentrer sur les cours, et il ne s’était rien passé depuis. Alain avait bien essayé de me contacter, mais soit je l’ignorais, soit je lui répondais vaguement, je pense qu’il avait compris, je ne voulais pas être la troisième roue du carrosse, ça ne m’intéressait pas. Et quand à Brice, je ne l’avais pas revu malgré mes allées et venues régulières au local, peut-être avait-il peur aussi de me revoir vu notre dernière rencontre.

Mais à vrai dire, je m’en moquais. Je vivais ma vie sans trop me prendre la tête, et mon implication dans l’association m’avait permis de m’assumer, de m’accepter et d’être en paix avec ma sexualité. C’était cool, je m’étais fais des potes de mon âge et on allait parfois boire des verres sans aucune ambiguïté, je pensais à autre chose, et ça m’empêchait aussi de finir en burn-out à cause des cours.

Un vendredi soir, j’étais à l’asso car nous avions une manifestation à préparer pour le week-end, concernant la protection des droits LGBT, et en étant honnête cette réunion était chiante, beaucoup de prise de parole, c’était long, et je voulais rentrer chez moi. Heureusement la réunion s’acheva peu après et pendant que je filais à l’étage récupérer mon téléphone qui chargeait, les autres eurent la bonne idée de sortir du local en fermant la porte. Super génial, j’étais enfermé comme un con dedans et agacé par cette situation.

J’allais appeler un pote pour qu’il vienne m’ouvrir quand j’entendis du bruit provenant du bureau de Brice. Il était toujours là donc, et il avait certainement la clé. Je me dirigeai donc vers la porte de son bureau pour toquer et entrer. Une fois la porte ouverte, une odeur de mec envahit mes narines, on aurait dit qu’il avait hiberné dans son bureau, ça sentait la sueur de mec :

« Salut Brice, désolé mais les gars sont partis sans m’attendre, la porte du local est fermée de l’extérieur. Tu peux m’ouvrir ?
- Pas de soucis Thomas, je te donne la clé. »

Il trifouillait dans ses poches avant de sortir un vieux trousseau. Il allait pour me le donner quand il s’arrêta subitement :

« Tu as deux minutes ? J’aimerai bien qu’on discute. »

Eh merde. J’avais pas le choix, j’accepte donc sa proposition. Je pris place en face de lui, avec le bureau entre nous.

« Tu… tu sais par rapport à ce qu’il s’est passé la dernière fois ?
- Oui ? Répondis-je de manière désinvolte.
- Bah voilà je me sentais honteux, de t’avoir parlé comme ça d’Alain, et puis ensuite…
- Ensuite ?
- Le fait d’avoir, fin tu sais quoi..
- Jouis dans ma bouche en deux minutes chrono ? »

J’étais volontairement provocateur. Cette odeur de bear en chaleur avait fait remonter ma libido en flèche. J’avais envie de le chauffer, de voir à quel point ses couilles étaient pleines.

« Ouais voilà… Je voulais m’excuser par rapport à ça. Je veux dire, quelle image tu dois avoir de l’association. Entre Alain, et moi…
- L’image que j’en ai ? Bah juste d’hommes qui aiment les hommes. Tu sais, le sexe n’est pas antinomique avec la réflexion. On peut très bien manifester ensemble l’après-midi et baiser le soir, je ne vois pas le problème personnellement.
- Tu m’en vois rassuré, j’avais peur que tu penses que je ne suis qu’un tireur de minet, ce qui n’est pas le cas et…
- Et puis même si c’était le cas ? Quel est le problème ?
- C’est vrai t’as raison. Je me suis fais du mauvais sang pour rien on dirait !
- Par contre, tenir seulement deux minutes lorsqu’on te suce, ça, ça peut être un problème… »

Encore une fois, j’étais volontairement provocateur. Mais cette fois c’était différent, je n’avais pas envie de faire ça par rapport à Alain, mais parce que j’en avais envie, j’avais envie de ça, de sentir l’odeur de ses couilles, de lui bouffer la queue et d’avaler son foutre.

« T’es méchant avec moi, c’est pas de ma faute si tu suces bien !
- Ou peut-être que c’est toi qui ne sait pas te retenir.
- Peut-être….
- Je pourrai venir me glisser sous ton bureau pour voir qui de nous deux à raison, qu’en penses-tu ? En plus on est tous seuls.
- Je… j’ai pas eu le temps de me laver hier, je ne suis pas très propre.
- Et tu sais quoi ? J’adore décrasser des gros cochons comme toi avec des couilles pleines. »

Ni une ni deux, je me glissais sous son bureau pour venir m’agenouiller au niveau de son entre-jambes, et je pouvais déjà sentir l’odeur de sa bite, ça puait le mec et j’adorais ça. Ça me rendait encore plus salope. Il prit le soin de déboutonner son pantalon pour libérer sa queue et putain ça sentait tellement la queue, j’étais littéralement en transe devant son engin.

Comme la fois dernière j’avalai sa queue entièrement et je commençais mon travail en le suçant comme il se doit. Pas de douceur mais une fellation baveuse, une main sur ses couilles, l’autre à la base de la queue et ma langue qui glisse le long de sa verge pendant que je l’accueille dans ma bouche. Le goût de sa queue est tellement bon, un mélange de pisse et de branlette qui m’avait manqué et me rappelait mes ébats sales avec Gérard. Ça me chauffait tellement que j’avais entrepris d’enlever mon pantalon pour doucement venir me doigter le cul. Je g ...

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