Quelle gueule il avait Armstrong quand il a fait son premier pas sur la lune ? Hein ? Quelle gueule ? Derrière le miroir de son casque qui reflétait le désert ? Toi tu en es certain, il avait cette gueule-là.
Pas la tienne bien sûr quand tu es monté dans le fourgon. D’un pas souple, hop te voilà à l’intérieur. Le gars, t’as juste eu le temps de voir son sourire. Et il glisse la portière derrière toi.
On ne peut pas faire plus rapide. A croire que tu n’aimes que cela les plans rapides. Non, c’est la rencontre qui aura été rapide. Le croisement de son fourgon et de ta petite bagnole, coup de frein - le temps de s’assurer que vous vous regardez bien l’un l’autre, il passe et tu vois dans le rétroviseur qu’il freine, il refreine une fois, deux fois, appels de phares, tu ralentis pour montrer que tu as vu. Que tu as compris.
Ah le langage des phares chez les pédés ! On ne dira jamais assez ce que cette langue a de délicieux, une langue inconnue de tous ceux qui sont hors drague. Mais ceux qui y sont, eux, ils en connaissent tous les codes. En attendant, ta voiture elle n’a pas d’autre issue que d’avancer dans la petite voie tandis que son fourgon avance de son côté. Avec un peu de chance, il n’y pas que le langage des phares que vous avez de commun. Le cerveau peut-être aussi et cet art de la télépathie qui fait penser à l’un que l’autre va forcément faire demi-tour et que toi il faut que tu te disposes à l’attendre.
En l’occurrence, c’est moi qui ai fait demi-tour et qui suis reparti pied au plancher vers l’embranchement où je l’avais croisé l’instant d’avant. On a beau parler la même langue on en n’a pas moins des doutes.
Non, mon gars il en veut et il est certain d’avoir ferré un bon poisson. Le temps d’une manœuvre et je n’ai plus qu’à le suivre. Ultime vérification, il freine trois fois, je fais un appel de phares, c’est bon on se rend bien sur la même planète.
Il stationne un peu plus loin sur le bord de la rue. J’aime ça son impatience et cette certitude : inutile de tourner en rond des heures à la recherche d’un coin calme et perdu, il y a le fourgon. Et le bord d’une route passante quoi de plus chaud ?
Je stationne devant lui. Ce ne sera pas la seule fois. Tout à l’heure je lui exposerai mon cul, il aimera cela plus que jamais, il serrera mes deux boules en disant qu’elles sont bien fermes et il demandera que je ne lui gicle pas dessus. Tout à l’heure.
Il est passé côté portière latérale et il monte. Je n’ai qu’à faire le tour de ma voiture et d’un bond…
Il demande d’abord si j’aime faire du naturisme. Je réponds évasivement et il se dépoile. Moi aussi. Dans la première obscurité je le devinais à peine, mais maintenant on se voit bien en se dépoilant chacun. C’est le pied, se foutre à poil comme ça, vite, le plaisir il est déjà là. Le fourgon a dû stationner au soleil, il y fait une douce chaleur qui donne de toutes façons envie de se dépoiler. On enlève tout. Il a un poitrail velu au-dessus d’un petit ventre bien rond et dur et, dessous, une queue épaisse encore molle. On n’a qu’une envie, la prendre à pleine bouche, la gober à pleine gueule, se faire plaisir. Il dit tout de suite que je pompe bien. J’aime bien ça les compliments.
Je remonte pour le téter mais lui ne parle que de se faire enculer. Il ne doute vraiment de rien. Les mecs qu’on croise en voiture et à qui on envoie quelques appels de phares ils n’y sont pas tous disposés. Je veux dire : à enculer. A croire qu’il voit plus loin que ce que permet la télépathie. Sauf que je n’ai pas de gel et qu’il lui en faut. Il est certain qu’il lui en reste. Il se tourne vers le haut du fourgon où il fouille sans rien trouver. Je le regarde faire, là, sur la pointe des pieds, son joli cul bien proportionné, encore ferme, ses bras levés, les poils humides sous ses bras et lui qui cherche et qui cher ...
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