De temps en temps, je me rends en forêt de Montech, en bordure d’autoroute ; il y a un lieu de rassemblement de gays de plus de quarante ans. Je plais autant aux plus jeunes qu’aux plus vieux, je peux laisser tomber les petites bites et attendre le mec bien monté quel que soit son âge. J’y vais pour me faire prendre mais ça n’est jamais arrivé ; ils préfèrent que je les suce, je m’y plie volontiers, j’aime avoir une queue en bouche et avec l’entraînement, ils peuvent me la mettre de plus en plus loin ; je n’avale pas encore, par peur du sida. Mais je suis de plus en plus tenté ; l’autre jour, un vieux, un plus vieux que moi, s’entend, avec une belle gaule, bien ferme, s’est épanché en moi avant que j’ai eu le temps de réagir, foutu pour foutu, j’ai avalé son sperme, et ma foi, c’était fort agréable. Je ne l’ai plus revu depuis, à mon grand regret, je le biberonnerai, volontiers.
Ce que j’aime, c’est arrivé quasiment nu, l’été un short et une chemise ouverte, laissant voir mes seins épilés ou en basse saison en jogging, évidemment sans culotte. Je fais un tour dans les bois, montrant ma disponibilité de lopette, j’en frôle quelque uns en me passant la langue sur les lèvres. L’un deux me sort son sgeg et en fonction de l’état et de la taille, je m’agenouille devant lui, tout en jetant un œil vers ceux que j’ai délaissé, comme une invitation à mater ce qu’ils ont loupé. Je passe un long moment à lécher le gland et une fois bien formé, je l’embouche. Je baisse mon pantalon, j’aime avoir le cul à l’air, prêt à être fouillé et je le suce en variant le rythme. La plupart du temps on me félicite pour mes talents de suceuse : « t’aimes la bite, toi ? ». Quand on me traite, je bande ! J’ai découvert le plaisir d’être dominé. Pour l’instant, je ne vois pas de raison d’en parler à mon psy…
En ce milieu d’automne, c’était la deuxième fois de suite qu’il n’y avait personne à traîner dans les bois. Ça peut arriver qu’il y ait peu de mondes mais personne ! Je remarquais alors que les voitures garées le long de la route n’étaient pas celles des « clients » habituels, mais de bûcherons qui s’activaient dans la zone. J’allais pour partir, quand l‘un d’eux que je n’avais pas vu me héla :
- Tu n’as pas trouvé ce que tu cherchais ?
Un peu décontenancé par le tutoiement, je ne répondis pas et pris la direction de ma voiture.
- Eh, attends, on a peut-être ce qu’il te faut ! Viens là !
C’était plus un ordre qu’une invitation. Je me mis à trembler de peur et de désir. Comme hypnotisé, je rebroussai chemin et me dirigeai vers l’endroit d’où la voix avait s ...

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