Été 2009, j’ai 36 ans, marié, deux gosses, mais la maison est vide trois semaines : ma femme et les enfants sont partis au Portugal. Moi je bosse comme un chien sur un gros arrêt technique dans l’usine portuaire où je suis responsable maintenance. Seul le soir, je me dis que je vais profiter de la plage nord, cette langue de sable sauvage de 5 km quasi déserte, pour faire du naturisme comme avant.Lundi matin, 8 h, on m’envoie l’intérimaire que j’ai réquisitionné pour la durée du chantier.

Il s’appelle Noah, 24 ans, brun aux cheveux mi-longs, peau mate, corps fin mais nerveux, sourire de voyou et regard qui te déshabille direct. T-shirt moulant, short de sport, il sent l’été et le sexe. Je règle les papiers dans mon bureau, il me fixe sans gêne zéro. Je l’emmène aux vestiaires pour lui filer une tenue de travail. Je me change comme d’hab, je reste en boxer deux secondes, et je le surprends à me mater la queue avec insistance.

Je rougis comme un puceau et enfile mon bleu en vitesse.La journée passe. 18 h 30, je file direct à la plage nord. Je gare la caisse au bout de la piste, traverse les dunes, m’installe à 400 m de l’entrée, là où y a plus personne. Je me fous à poil, bite à l’air, crème solaire partout, je bande déjà rien qu’en pensant à Noah. Je me branle lentement en matant la mer, imaginant ses lèvres autour de ma queue. Je gicle dans le sable, honteux et excité.Le lendemain matin, je lui offre un café à la machine. Il a l’air gêné :
« Ça va le taf ?
— Nickel. Et toi t’as kiffé la plage hier soir, hein ? Le naturisme, c’est cool. »
Je manque de m’étouffer. Le salaud m’a vu.
« Viens dans mon bureau. »
Porte fermée, je le coince :
« T’as maté, petit vicieux ?
— J’ai failli venir, mais j’ai pas osé… t’étais chaud quand même, chef. »
Je bande instantanément sous le bureau.
« Ce soir, tu m’attends à la voiture. On y retourne, mais ensemble. »19 h, il est là, short en jean et marcel blanc. On roule en silence, l’air est électrique. Sur la route je lui demande cash :
« T’as déjà sucé un mec ?
— Quelques-uns… et toi ?
— Ça fait vingt ans que j’en crève envie. »On va régler ça. »On traverse les dunes, on pose les serviettes au même endroit. On se regarde, on baisse nos shorts en même temps. Sa queue fait un bond : 19 cm bien droits, gland violacé, légèrement courbée, déjà luisante de pré-sperme.

La mienne, 18 cm épaisse et veinée, pointe direct vers lui. On éclate de rire, excités comme des ados.On court nus jusqu’à l’eau, on plonge, on se saute dessus. Il me chope par la taille, me plaque contre lui, nos bites se frottent sous l’eau. Il me roule une pelle salée, langue profonde, main qui descend direct me branler. Je gémis dans sa bouche.On sort, on s’écroule sur les serviettes. Il s’agenouille entre mes jambes, me regarde avec un sourire de salaud :
« J’ai rêvé de ça toute la journée, chef ...

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