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Mes débuts de jeune travesti (7ème partie)

Publié par : sylviafoulard le 22/10/2021

Un autre de mes "clients" réguliers, avait demandé à Mourad que je vienne le retrouver à son domicile, où il m'accueillait avec son épouse, une jolie femme plantureuse, qui me faisait sucer son sexe en préliminaire.
Ce fut encore une expérience nouvelle pour moi, qui n'avait jamais vu de si près un sexe de femme. Sa fente largement ouverte et humide, ourlée de ses sécrétions sexuelles, accueillait ma bouche et mes lèvres avec un plaisir décuplé, lorsque ma langue titillait son clitoris, petit attribut rouge d'excitation qui dardait sa pointe à la commissure de ses lèvres intimes. Elle tressautait alors violemment, poussant des petits cris perçants, en maintenant de ses deux mains, ma tête enfouie entre ses jambes.
Lorsqu'elle avait joui, son mari me relevait et m'allongeant sur elle, me faisait la pénétrer de mon petit sexe dressé. S'allongeant à son tour sur moi, il me pénétrait alors, pour un trio superposé où chacun haletait et criait son plaisir au fur et à mesure de chacun de nos mouvements. C'était généralement lui qui se vidait d'abord dans mon intimité, où il restait ensuite enfoncé tandis que je lâchais ma semence dans le sexe chaud de sa femme, qui enserrait ma queue comme dans un étau délicieux et accueillant.
Nous batifolions ensuite en nous caressant et en nous embrassant dans leur grand lit, sa femme faisant remonter mon excitation jusqu'à ce que son mari s'allonge sur le ventre, pour que je le pénètre à son tour.
J'avais parfois du mal à faire remonter mon sperme après mes jouissances précédentes, mais il adorait que mes pénétrations durent longtemps, et lorsque son excitation était à son paroxisme, il me criait de le "baiser comme un chien", pendant que sa femme lui mettait son sexe encore baveux devant sa bouche, et c'est en suçant son épouse qu'il jouissait sous mes coups de butoir (pas très violents) lorsqu'il sentait mon sperme couler soudain en lui.
Toujours dans la logique que m'avait imposée Mourad, ("Pas d'argent, juste des cadeaux !") nos relations se terminaient autour d'une coupe de champagne, et ils m'offraient alors leur cadeau, des pièces de lingerie fine et sexy, que j'emportais ravie en les quittant.

Contrairement à ces deux "clients" réguliers (et à un autre que j'évoquerai plus loin...) tous les autres "amis de Mourad" auxquels il m'offrait, venaient jouir avec moi dans le propre appartement de mon amant.
Cet appartement était composé de quatre pièces, et je faisais entrer mes invités pour les emmener dans la jolie chambre que Mourad avait décorée en rose pour moi : papier peint rose, une petite commode en bois rose à quatre tiroirs dans lesquels je rangeai mes jolis tenues, dessous et affaires de maquillage, une petite penderie pour mes quatre robes de sissy et mes escarpins roses ou blancs, un grand miroir fixé au mur et un grand lit recouvert d'un ciel de lit avec des rideaux de tulle rose ! Un vrai petit écrin pour mes sensuelles rencontres...

Je découvr ...

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