Le barman, d’une trentaine d’années, ne portait qu’un jockstrap ce qui permettait une vue imprenable sur son joli cul musclé. Tandis que Vincent discutait avec nos partenaires du jour, le serveur engagea la conversation avec moi. En me servant le coca que j’avais commandé, il m’avait fixé du regard et m’avait souri de façon charmante. Je n’avais pas été dupe. Aussi, quand il m’annonça qu’il allait prendre sa pause, je compris qu’il m’adressait un message.
Je glissais à Vincent que j’allais faire un tour. Il y prêta à peine attention.
Dans une cabine un peu isolée, un petit écran diffusait un film porno. Je m’y installai et, ayant repris des forces, je laissai tomber ma serviette pour m’agiter doucement le dard. Il ne fallut que quelques minutes pour que le barman me rejoigne. Il ferma rapidement la porte en murmurant :
-En principe, je n’ai pas le droit d’être là. Je dois être discret.
Il prit très vite possession de ma bouche puis s’agenouilla pour me pomper. Il avait extrait une jolie bite de son jockstrap et se masturbait tout en me suçant.
-T’es actif ou passif ? me demanda-t-il après quelques minutes.
-Plutôt actif mais j’ai déjà été passif, répondis-je.
-Et t’as aimé ?
-Oui, assez.
-J’ai envie de te démonter ! Tu me donnes ton cul ?
Sans doute satisfait d’avoir bien profité de celui de Lina, je ne vis aucun inconvénient à lui laisser le mien. Il avait peu de temps. Le matelas était surélevé. Il me fit m’appuyer dessus, m’enduisit la rondelle de gel, s’encapuchonna et se présenta à l’entrée. Pour faciliter les choses, je relevais une jambe. Il poussa, mon petit trou résista ; il poussa à nouveau et le gland entra. Sans ménagement, il fit alors entrer le corps rigide de sa bite par petites poussées de sorte que je sentis bientôt ses couilles contre les miennes. Bien que son sexe ne soit pas très imposant, je le sentais m’emplir et, malgré moi, je me mis à couiner. Il me laboura ainsi pendant plusieurs minutes. Au bord de l’extase, il me demanda où je voulais son jus.
-Sur le cul, répondis-je.
Il ne fallut qu’une seconde pour qu’il sorte, arrache la capote et gicle l’intégralité de son jus brûlant sur mes reins. En me claquant la fesse, il me glissa :
-Désolé, c’est un peu rapide mais je n’avais pas beaucoup de temps. Je dois retourner bosser.
Il s’essuya le gland dans ma serviette, renfila son jockstrap et ouvrit précautionneusement la porte. Comme il s’échappai une ombre se glis ...

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