Au sein des Armées lors de mon service militaire, j’étais plus vieux mais pas plus confiant en moi et inexpérimenté pour cause. A part minette que je savais faire depuis mon initiation sur un chantier dans une chambre de bonne, vu ma taille je n'osais rien entreprendre.

Une fois les classes passées, comme j’étais conducteur PL et SPL je suis reparti en manœuvre pour trois périodes de deux mois.
Au début j’étais employé comme conducteur PL et très vite à la demande d'un officier j’ai eu une jeep à conduire et lui comme unique passager le plus souvent.

Avec le temps on a sympathisé, je ne sais pas pourquoi c’est moi qu’il avait choisi, mais je ne le regrette pas. Un jour que j’étais dans son logement en train de faire sa petite lessive, (eh oui) les conversations ont tourné vers le sexe et mes fréquentations, je répondais timidement à cet officier que vu ce que la nature m'avais doté je ne faisais ni n’osais rien.

Ce n'est pas moi qui ai fait les premiers pas, trop timide et surtout méfiant. Dans les années 68 les rapports entre hommes n’étaient pas tolérés comme maintenant, c’était mal vu et au sein des Armées encore pire.

Les conversations sont devenues jours après jours, de plus en plus intimes. Pour ma part je me sentais en confiance comme avec un grand frère.
Je me suis confié sur ce que le nature m'avait donné, et des complexes engendrés qui me pourrissaient la vie. Je lui ai dit que j'entendais rire dans mon dos quand nous étions sous les douches. Comme j'en souffrais énormément il a vite compris mon malaise.

De confidences en confidences un jour où il faisait très chaud, nous nous sommes débarrassé de nos treillis et délassé les rangers. Il m'a demandé si je supportais mes chaussures neuves, je lui ai répondu que non car le soir j'avais souvent mal aux pieds. Il m'a donc proposé de me déchausser pour prendre un bain de pieds avec des plantes aromatiques que lui même prenait le soir pour se relaxer.

Il avait tout préparé, il m'a enlevé mes chaussettes chaudes et légèrement odorantes, visiblement il aimait ce qu'il sentait car il les a porté sous son nez et respiré un bon moment en me fixant dans les yeux. J’étais gêné et j’ai déposé mes pieds dans la bassine, il m'a proposé de me les masser en même temps que le bain pour que la relaxation soit complète.

J’étais très gêné car c'était un officier et moi simple soldat même si j’étais son chauffeur. Je lui ai dit et pour me rassurer comme il s’était lui même mis à l’aise, il m’a dit qu’il ne portait plus de grades et nous étions à égalité.

Ce bain de pieds et son massage étaient une bénédiction et m’avait provoqué une érection, qu’il a vu. Un autre jour il a donné un coup de tél pour prévenir de mon absence, car il avait besoin de son chauffeur pour une sortie de nuit sur le terrain. Le terrain c'était chez lui.

Nous sous sommes déshabillés avant d'aller sous la douche, il était bien équipé sexuellement et je lui ai fait timidement remarquer car il m’impressionnait et je n’étais pas rassuré.
Comme on avait commencé à boire un peu et que je n'avais pas l'habitude, les barrières sont tombées rapidement. Nous avons pissé sous la douche lui ayant commencé m’a dit d’en faire autant. Parfois je sentais son urine chaude sur moi sur mes fesses précisément dans la raie, on a rigolé.

J'ai hésité longtemps avant de le toucher lui non, mais quand j'ai commencé je suis devenu accro. De son coté il n'a pas hésité et m'a fait monter la température, j'avais la trique mais entre nos deux sexe c'était du simple au double voir triple, aussi bien en longueur qu'en largeur.

Il m'a fait jurer de me taire car si pour lui ça passerai vu son grade, pour moi c'était la taule assurée. C'est à cette époque que j'ai maladroitement pratiqué ma première fellation et que dès le début j'ai avalé le sperme sur son ordre. C’était un peu amer mais ...

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