Un samedi après midi, on était assis sur la pelouse a passer le temps.
Tout en discutant je vois Alex s'allonger, les yeux regardant les nuages. Puis il se met à plat-ventre, les bras sous le menton.
À un moment, mes yeux se bloquent sur la rondeur de son fessier.
A force de diriger mon regard sur celui qui parle et le derrière qui m'attire par intermittence, Alex me remarque.
Il soulève légèrement les fesses puis les caresses discrètement tout en me fixant.
A plusieurs reprises il se passe soit l'index, soit la main entre les fesses en faisant attention que personne à part moi ne le voit.
Ça l'amuse de m'allumer.
Sachant que personne ne veut bouger, il se lève.
- on va faire un tour les gars ?
Je suis le seul à me lever.
On prend la direction du centre commercial.
Une fois hors de vue
- où on va ?
Chez nous il y a nos parents.
On entre dans une cage d'escaliers, et en vérifiant qu'il n'y a personne, on va au sous-sol, vers les celliers.
On cherche et on en trouve un qui n'est pas utilisé. Mais il est plein de poussière. On ramasse des cartons et on les étalé.
Nos s'habituent à la pénombre.
Il s'étale à plat-ventre habillé.
Je tombe pantalon et slip et je m'allonge sur son dos et commence à frotter ma bite sur son cul.
- vas-y, enlève t'es affaires.
Il ne réagit pas.
Je l'interroge du retard.
- viole moi!
Je passe les mains sous son ventre pour défaire son pantalon, il se soulève la bassin, puis j'attrape le slip. Je descends tout jusqu'aux chevilles.
- qu'est-ce que vous faites, monsieur?
- n'aie pas peur, je vais pas te faire de mal.
- vous allez rentrer votre kiki dans mon ventre?
- oui, mais tu vas voir, tu vas aimer.
- mais je vais avoir un bébé ?
- t'en veux pas ?
- ma mère va me gronder.
- ne lui dit pas et après je t'offre un jus de fruits.
- je préfère un coca
- d'accord ! Tu te laisse faire ?
- d'accord !
Il cambre les reins, je mouille mon gland et je trouve l'entrée.
Je m'enfonce lentement.
- aîe, aîe aîe ...

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