J'avais réservé une chambre dans un hôtel B & B de la région de Rouen, puis j'avais loué une voiture et je m'étais installée dans cette chambre, qui avait la particularité d'être directement (et donc discrètement) accessible du parking. J'ouvrit ma valise et rangeait mes affaires, puis j'ouvrit mon portable et envoyai à mon Maître le mail lui signalant le nom de l'hôtel, mon numéro de chambre et que j étais prête.... Ensuite j'attendit la réponse de mon Maître. Le mail de Maître Tahir arriva rapidement : il lui indiquait comment s'habiller et lui donnait RDV le soir même à 22h30 sur le parking d'un petit bois situé non loin de son hôtel.
Sylvia choisit avec soin la tenue qu'elle allait revêtir pour obéir aux ordres de son Maître, puis elle passa à la salle de bains se préparer. Après un bain moussant, elle revint dans la chambre et commença à s'habiller... Nue devant la glace, elle ne portait que son collier d'acier d'esclave avec la médaille signifiant qu'elle était la "propriété de Maître TAHIR", et sa cage de chasteté en sillicone cadenassée autour de son misérable petit attribut rabougri. Elle posa une large noix de crème lubrifiante à l'orée de son petit trou et le fit pénétrer de ses doigts à l'intérieur de son conduit culier... Elle s'enfonça ensuite son Rosebud XL entre ses fesses. Elle enfila un corset de satin noir dont elle serra fortement les lacets afin de comprimer au maximum sa taille, puis deux longs bas de nylon noir, aux revers festonnés de dentelle noire, qu'elle fixa aux jarretelles du corset.
Avant d'enfiler sa culotte, elle repassa au feutre noir l'inscription "pute de Maître Tahir" qu'elle s'était faite tatouer au henné sur son bas-ventre, juste au-dessus des poils de sa toison pubienne, qu'elle n'avait pas rasés pour satisfaire à la demande de son Maître. Puis elle mit une fine culotte de soie et dentelle, entièrement ouverte sur ses fesses, dont le voile cachait à peine la cage de chasteté où dormait son petit sexe, et qui laissait bien voir l'inscription au feutre noir...
Ses tétons pointaient au-dessus du balconnet en dentelle de son corset, avec les anneaux offerts par son Maître, et qu'il lui avait accrochés après les lui avoir fait percer. Elle posa ensuite une fine chaînette entre les deux anneaux pour que l'on puisse les tirer et les étirer douloureusement...
Sylvia enfila une fine jupe de voile noir, transparente et très courte, qui lui arrivait à ras des jarretelles et laissait deviner le liseré de dentelle noire de ses bas... Et ensuite un vaporeux chemisier, au décolleté largement échancré qui révélait sa gorge et sa poitrine, ainsi que les anneaux et la chaînette de ses tétons...
Elle choisit dans sa valise un long et vaporeux foulard panthère en crêpe de soie, qu'elle noua deux fois autour de son cou par dessus son collier d'acier, et dont elle laissa les pans retomber sur ses épaules.
Elle regarda sa montre : il lui restait moins d'une heure pour être au RDV fixé par son Maître.
Elle enfila ses escarpins aux talons aiguille éffilés, puis une courte veste lui arrivait à peineà ras de fesses. Ses seuls bijoux furent deux gros anneaux dorés de gitane qu'elle fixa aux lobes de ses oreilles. Elle se coiffa, se parfuma largement de son Diorissimo (y compris ses dessous !) et après un dernier coup d'oeil satisfait dans la glace, qui lui renvoya l'image d'une excitante putain raccoleuse, elle prit son sac à mains, ses clés de voiture et de chambre et sortit sur le parking rejoindre son véhicule...
Elle conduisit très prudemment, jusqu'au lieu indiqué, qu'elle finit par trouver, à peine 5 mn avant l'heure fixée par son Maître. Elle lui avait donné le numéro de sa voiture, aussi se gara-t'elle sur le parking obscur, où plusieurs autres véhicules étaient déjà également arrêtés sous la frondaison des arbres du bois tout proche...
A l'heure fixée par son Maître, Taya alluma le plafonnier de sa voiture, qui l'éblouit soudain de lumière.
A peine deux minutes plus tard, la porte côté passager s'ouvrit, et Maître Tahir vint s'asseoir à côté d'elle. Il la regarda en silence, détaillant la tenue qu'elle portait et vérifiant qu'elle était conforme aux ordres et instructions qu'il lui avait envoyés...
Son Maître sembla satisfait de son examen puisqu'il murmura de sa belle voix grave "Bien ma pute !" Puis il sortit de sa poche une chaîne munie d'une laisse en cuir, dont il fixa la dragonne à l'anneau du collier de Sylvia. Ensuite il lui intima l'ordre d'ouvrir la bouche, et il y plaça un baillon-boule dont il serra la lanière sur sa nuque. Puis Maître Tahir dit à Sylvia " Maintenant ma belle pute, tu vas suivre ton Maître pour une petite promenade en sous-bois. Tâches d'être sexy dans ta démarche, je veux que tu sois bandante dès que nous serons dehors" Sylvia acquiésa d'un signe de tête, puis Maître Tahir éteignit le plafonnier et ils sortirent de la voiture que Sylvia verouilla, puis donna la clé à son Maître.
Debout sur la terre battue du parking, Maître Tahir d'une secousse, entraîna sa putain vers l'ombre du sous-bois, et elle le suivit à petits pas pressés, tirée par la chaîne de son collier...
A peine eurent-ils fait quelques pas dans l'allée qui s'enfonçait sous les arbres, que plusieurs ombres se rapprochèrent d'eux... Plusieurs hommes (Sylvia en distingua six ou sept) se mirent à les suivre dans l'obscurité. Ils marchèrent quelques minutes puis Maître Tahir d'arrêta à la limite d'une petite clairière. S'approchant de Sylvia, il la fit se retourner et l'aveugla alors d'un foulard de soie noire, qu'il serra sur sa nuque...Puis l'ayant traînée vers un arbre, il la fit enlacer le tronc de ses bras, puis lui menotta ses poignets, l'empêchant ainsi de se retourner et il fit glisser sa jupe au sol, révélant ainsi aux hommes rassemblés, ses fesses dans l'écrin de sa culotte ouverte en forme de coeur.
De ses doigts, il extirpa le Rosebud de son cul, puis Sylvia, entendit son Maître dire d'une voix tranquille : "Voila, ma putain est à vous... Vous me payez maintenant et je vous la laisse"... Elle perçut le bruit de pas qui se rapprochaient, de papier froissé (sans doute les billets que les hommes glissaient à son Maître) et déjà des mains se posaient sur ses hanches tandis qu'un sexe s'introduisait sans effort dans son petit cul lubrifié...
Sylvia fut baisée sept fois ce soir-là, par des hommes dont elle ne vit jamais le visage mais dont elle sentit les haleines, les soupirs et les petits cris d'extase lorsqu'ils jouirent entre ses fesses... Elle sentait le sperme de ces hommes couler sur ses cuisses et ses b ...

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