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Plan Aveugle

Publié par : bleunuitmons le 09/03/2017

J'aime les domi qui "m'exploitent" au ciné, sexe shop, parc, quai où autres endroits insolites et qui improvisent quelques plans tout aussi insolites.

Le physique et l'age du domi m'importent peu, c'est son côté vicieux et pervers qui me fascine. J'en ai rencontré ... voici le récit d'une aventure très sexe qui se réalise un soir en Belgique.

Vers 19h00 je surfe sur le net à la recherche d’un bon coup. A peine connecté de 10 minutes, je reçois un message d’un domi qui me demande mes stats.
Étant très direct, je n’hésite pas à lui communiquer mon adresse mail ainsi que mon numéro de portable. Il est emballé mais, comme moi, il ne peut pas recevoir. Je lui fais savoir que j’ai une camionnette « équipée » et qu’à tous mes plans je me bande les yeux de sorte que je ne vois jamais le(s) partenaire(s) (je ne sais pas pourquoi mais j’adore cela.

Direct, il me donne rendez-vous au bout du parking d’autoroute à l’entrée de Bruxelles. La camionnette devra être stationnée avec la portière coulissante du côté des buissons.

A 01h00 du matin, je devrai être au lieu dit, couché sur le ventre avec un coussin sous le bassin pour avoir mes fesses nues bien tendues, les bras pendants de chaque coté du lit de camp et les yeux bandés.
J’accepte le rdv et l’on s’échange nos numéros de mobile pour rester en contact.

Je me prépare. Je mets un point d’honneur à être « net ». Tout y passe, lavement, douche, épilation des quelques poils qui pourraient encore subsister. Je suis loin, très loin d’être la «folle parfumée» mais c’est une forme de respect que d’être propre sous tous mes plis avec la peau lisse et douce. J’ai le physique d’un mec et je préfère porter le jeans moulant plutôt qu’une jupe (évidement si c’est demandé par le domi, je m’exécute à contre cœur, c’est de l’humiliation).

21h00, je suis prêt et le parking de Drogenbos n’est qu’à 45 minutes de chez moi. Je décide de prendre la route et de profiter de tous les parkings de l’autoroute.

Premier parking (Houdeng), quelques voitures sans occupant. C’est clair, ils sont tous dans les bosquets.
Je me faufile entre les branches et à la vue de quelques ombres qui s’approchent, je me bande les yeux. Les pas se rapprochent, on me frôle, une main se pose sur ma cuisse, une autre s’arrête sur mes fesses je sens qu’il sont deux. A mon oreille « t’es venu cherchez quoi ? » je glisse un petit mensonge «un domi m’a dit d’être ici ce soir avec mes yeux bandés.

« Bon, hé bien on va l’attendre en s’occupant de toi » L’un des deux mecs s’en va, je reste seul avec l’inconnu qui me pousse la tête vers son sexe déjà à l’air. Ses mains agrippent mes cheveux et son va et vient dans ma bouche commence. Je sens qu’il aime faire glisser son sexe doucement sans précipitation mais longuement jusqu’à appuyer son pubis sur mes lèvres. J’entends d’autres pas qui s’approchent.

Houla, ils sont plus que deux à se joindre au mec qui m’empale la gorge. On me déboutonne, mon jeans et mon boxer sont glissés sur mes chevilles. On me palpe, on m’écarte les fesses. Toutes les bites sont sorties et me « frappent » le visage, les fesses. La bite qui doucement m’écartait la gorge se retire et une autre s’engouffre sans ménagement. Les mains de ces inconnus me serrent, m’écartent les fesses et exhibent certainement mon petit trou au peu de lumière provenant de l’éclairage public puis je comprends qu’on s’installe derrière moi, de la salive, un doigt et enfin un gland qui pousse progressivement sans brutalité.

Ouiiiii qu’est ce qu’il est bon ce mec, je sens sa queue qui avance doucement en moi son va et vient est la réplique exacte de la première pipe, ça ne peut être que le même mec. Dans ma bouche, deux autres bites se sont déjà succédées. Pas de gros calibre, que des bites normales et décidées. Je suis pris devant et derrière et les bites « tournent ». Je les entends s’embrasser entre eux, se branler aussi. Pas de mots, que des respirations haletantes et quelques râles. Tout le monde présent est passé par ma bouche et par mon petit trou plusieurs fois. On me redresse pour m’enlever mon tee shirt puis on me met à genoux et comme si tout à coup j’avais disparu les mecs se branlent entre eux autour de ma tête. Je suis encerclé de cinq bites tendues.

Premier jet de sperme me coule sur l’épaule et glisse dans le dos. Les autres ne tardent plus comme si la première jouissance était le détonateur des autres. Les jets s’écrasent sur mon visage, dans les cheveux. Ça me coule sur le torse. On me fait sucer encore les bites au goût de sperme puis on « s’essuie » sur ma peau avant de partir sans un mot. On me laisse seul, barbouillé de sperme.

Prévoyant, j’ai emporté le nécessaire pour me refaire une toilette. Je prends mon temps à regarder le sperme sur les lingettes. J’aime aussi le toucher du bout des doigts et en frotter mes lèvres.

Je reprends la route vers Drogenbos. J’y serai en avance mais je n'ai plus vraiment assez de temps pour m’arrêter à un autre parking. Ça ne fait rien, j’en profiterai pour me « reposer » un peu.

Le moment est arrivé. Il y a bien une dizaine de voitures stationnées sans chauffeurs. Je place la camionnette au bout du parking, côté buissons.

Je m’engouffre derrière sans verrouiller la porte. Je m’installe sur le lit de camp, fesses nues et coussin sous les hanches, je me bande les yeux et à peine que mes bras soient pendants que j’entends la porte coulissante s’entrouvrir puis s’ouvrir complètement.

Le mec entre sans refermer la porte. Il me touche, s’assure du rebondi de mes fesses et il me dit « Parfait, tu es comme sur les photos. Tu n’as donc pas menti, tu es donc une vraie salope ». Il me prend un poignet et me l’attache au pied du lit de camp avec une bande qui au touché ressemble à une bande velcro. Il se place à genou au bout du lit de camp et il me demande de lui branler sa queue molle de ma main libre. Tout en le branlant, il approche sa bite de ma bouche et il me demande lui de lécher le gland dessus et dessous sans le sucer.

Doucement, son sexe gonfle et avant qu’il soit dur, il se lève me disant de ne pas bouger et il part sans fermer la porte coulissante. Trois minutes plus tard, il est de retour. Il se replace au bout du lit et il me redemande de le (re)branler et de le (re)lécher. La camionnette tangue un peu, un deuxième mec entre. Il se place directement en califourchon sur mes cuisses. Il est déjà « à poils » (en tout cas le bas) car je sens sa queue se poser sur le sillon de mes fesses. De ses mains, il m’écarte et je sens un plot de salive me tomber sur le petit trou puis il l’étale du bout de sa queue.

La bite du « domi » est gonflée. Une de ses mains me cale la tête, je ne peux éviter de sentir son sexe entrer aussi loin qu’il le peut dans ma bouche. Derrière, le mec m’a enfilé, il me bourre en me claquant les fesses. En moins de cinq minutes, il a joui en dehors de moi puis il m’a repris en utilisant son sperme comme « lubrifiant ». Certainement qu’il regardait le « domi » me prendre la bouche pendant qu’il restait calé en moi jusqu’au moment où il ne bandait plus puis il s’en est allé.

Le « domi » se lève, il me détache la main. Il me demande de m’as ...

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