Histoire réelle datant de ce dimanche 26 septembre.
Un tel dépucelage m’est arrivé plusieurs fois dans ma vie libertine, grâce à la féminité qui se cache en moi. Mais cette dernière rencontre est tellement sympa qu’elle mérite bien une histoire particulière.

Cela faisait des mois que je ne m’étais pas travesti, en ayant perdu un peu la motivation, et pratiquant de plus en plus d’activités avec des gays « pur jus » qui n’aiment pas la féminité, donc détestent les travestis (contrairement aux vieilles images de la cage aux folles).
Je m’étais donc laissé pousser les poils des jambes, et le bouc, bien sûr que j’entretenais soigneusement.
Suite à un problème relationnel, mes fantasmes de féminisation et soumission sont revenus en masse. Je décidais donc de me refaire épiler le maillot, et de porter des culottes de filles tous les jours, comme le font les travestis « sérieuses », par goût de la douceur, ou pour s’habituer (j’ai d’ailleurs aussi un autre fantasme, c’est d’assumer tout cela dans un vestiaire de gym … mais cela fera l’objet d’une histoire future sans doute).

Je me fais donc rapidement une « tonte » approximative pour jambes et pubis, et un rasage de très très près pour le visage, un peu de maquillage. J’enfile ma fausse poitrine, la couvre d’un joli body filet ne cachant pas grand chose, et surtout ouvert à l’entrejambe, et je couvre mon matériel d’une petite culotte de type résille également … ma foi je me trouve assez sexy et la suite me le confirmera.

Une heure et 55 km plus tard, j’arrive au Sunbeach, le sauna de Chambéry. Je suis d’emblée assez surpris de la grosse affluence. Certes à 16h déjà pas mal de mecs partent, mais l’impression d’affluence dans le petit vestiaire n’a rien à envier à celle de certains saunas parisiens. Gays ou hétéros ? Présence de femmes ou pas ? Telles sont alors les questions que je me pose, car ma tenue repousse les gays, et attire les hétéros qui ne sont pas déjà en chasse de « femmes bio » (le terme utilisé par les trans mtf pour « personnes nées femmes biologiquement parlant »).

Très vite des regards me « scannent » de haut en bas, et des mains me caressent … Je me retrouve dans une cabine avec un mec d’âge mur mais avec une bonne érection, et je laisse la porte ouverte pour qu’on nous voit bien et que d’autres queues se présentent. Première phase d’amusement moyennement satisfaisante: le mec encule doucement ma croupe cambrée, de nombreux mecs se rincent l’oeil devant la scène, mais seuls ceux du 4e age et mal entretenus osent venir se faire sucer… Une autre phase suivra avec quelques fellations, mais au bout d’une heure je ne m’étais toujours pas vraiment amusé, sentant bien que les hétéros avaient encore un peu de mal à venir avec moi en cabine. Il fallait que je les approche dans un cadre plus discret.

J’avais finalement très bien choisi ma tenue: la matière filet-résille supporte très bien le hammam dans lequel j’entre… avec mes talons, autant dire que je ne passe pas inaperçue. Le grand intérêt du hammam du « Sun » est sa zone très sombre. Là, les hommes regardent à peine qui les suce, du moment que c’est bien fait … J’avise un mec la petite cinquantaine, bien foutu, le sexe rasé. Humm… rapidement ma bouche lui semble suffisamment accueillante pour qu’il me propose d’aller en cabine. Il me suit dans celle que je choisis, la plus fraîche (ma tenue me tient un peu chaud). Par respect pour les matelas j’enlève mes talons, m’étend sur le lit et commence à me caresser la chatte anale. Mon partenaire est aux anges et bande dur. J’approche ma bouche de sa queue et la prends délicatement, sans mettre les mains.
« Hum t’es une vraie salope toi, et qu’est ce que tu suces bien ! »
- Ouais j’ai pas mal d’expérience … tu es bi ? hétéro ?
- Hétéro
- Je pense faire bien plus de choses et souvent mieux qu’une femme bio
- Je n’en doute pas !

Je continue comme ça un certain temps, et il me propose de me prendre, ce que j’accepte illico. Très gros calibre, donc un peu de mal à entrer, mais mon partenaire est parfaitement à l’écoute.

- Vas y sans à-coup, doucement mais fermement
- Comme ça ?
- Oui… je me sens écartelée
- Pourtant c’est pas la première fois j’imagine, que tu es prise par une grosse queue … t’as l’habitude non ?
- Oui c’est vrai je suis une vraie salope
- C’est bien ce que j’avais compris
- Oui, maintenant pousse la le plus loin possible, toujours sans à-coup

Je sens alors sa grosse queue au fond mes entrailles, au maximum. Je suis toujours en levrette, le cul ...

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