Je me balade avec Steph en ville. On avait aucun but.
Entre le marché Victor Hugo et la place Wilson, il me semble reconnaître mon métis du Shanghai.
On se rapproche et lui aussi me reconnaît.
- ooooh! Mince, un revenant!
- tu vas bien?
Il me demande pourquoi je ne vais plus au Shanghai, je lui explique qu'il faut de l'argent et que c'est mieux pendant les vacances d'été.
Mais surtout que j'ai peur, qu'avec un verre de trop, je me retrouve en train de faire le con devant tout le monde.
On marche lentement tout en discutant quand on tombe sur un groupe de gens qui sortent du cinéma, par les portes de secours.
J'ai une idée!
J'attends que les dernières personnes sortent pour retenir la porte.
- venez!
Ils me suivent pas tranquilles.
- tu veux resquiller le cinoche?
- mais non, viens!
Je regarde à gauche, il y a un long couloir, sous les escaliers, qui mène à un local à balais et produits d'entretien.
Je prends 2 cartons, les ouvre et les etale pour faire un tapis.
J'enlace mon métis pour lui rouler une pelle.
- j'ai envie de toi.
Sans répondre, il se tourne vers Steph.
- t'en fais pas. Viens, on fait ça vite fait!
On se déshabille et je me mets sur le dos, les jambes pliées et écartées.
Il s'allonge sur moi et on se bécote pendant qu'il se frotte contre mon bas-ventre jusqu'à bander.
Il mouille son monstre, me soulève le bassin et entre en moi.
J'avais oublié la longueur de son chibre.
J'ouvre grand la bouche jusqu'à ce qu'il mette tout.
Steph surveille si personne ne vient, tout en profitant de la vue.
- dépêchez-vous, les gars. On sait jamais.
Il devait être bien en manque car il s'est vidé en me laissant les couilles pleines.
- je suis désolé!
- c'est rien! Tu m'as fait plaisir quand même.
On se rhabille, on range pour ne pas laisser de traces de notre passage.
A l'époque, les portables n'existe pas. On se promet de se revoir dans de meilleures conditions.
Un autre jour, avec plusieurs copains, on va voir un match au stadium. Devant moi, une fille qui monte les escaliers.
Je ne vois que son cul balancer de droite à gauche.
Arrivés à nos places,
- vous avez vu ce cul? Comme il dansait bien!
- peuh! T'as pas besoin de monter les escaliers pour danser du cul, toi!
- bah?
- mais si, c'est vrai!
- quoi? Je marche comme une fille.
- ouais, mais t'en fais pas! Tu nous fais pas bander.
J insiste pour savoir s'ils ne blaguent pas.
Le match me fait oublier ce détail problématique.
Quelques jours plus tard, avec Patrick, on décide d'aller acheter un jean à rue St Rome.
J'avais en tête un Loïs.
J'en essaie un, puis je me regarde dans la glace, et je me tords pour voir comment ça me va de derrière.
...
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