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ROSA LE TRAVESTI

Publié par : karine72 le 03/09/2021

JE COMPTE SUR VOUS POUR NOTER CETTE HISTOIRE SVP PAR AVANCE MERCI
J’ai toujours entendu parler du Bois de Vincennes, et du Bois de Boulogne dans lesquels il se passait d’après mes copains de régiment des choses incroyables. Tous les récits de ces derniers ont suscités ma curiosité à un point tel que début Juillet 1978, libéré depuis peu de mes obligations militaires comme c’était à l’époque, je décide d’aller rendre visite à de la famille qui vie en banlieue parisienne, avec l’idée d’aller au retour visiter ces fameux lieux de débauche. Je débarque donc là-bas avec ma vieille Simca 1100.
Arrivé dans ma famille Je leur explique que je dois impérativement partir le soir parce que le lendemain je suis attendu en Mayenne dans la famille de ma fiancée, qui ne pouvait être là puisqu’elle travaille de nuit. Ce qui en soit était en partie vrai, puisqu’elle travaillait bien de nuit excepté que le lendemain je n’étais attendu nulle part.
Par contre j’avais prévenu celle-ci que je passerais la nuit dans ma famille et que je ne rentrerais que le lendemain après-midi.
Vers 21 h30 après avoir passé la journée en famille, je leur dit au revoir et promet de revenir bientôt avec ma fiancée.
Je commence alors mon périple par le Bois de Vincennes, même si la nuit est très froide, il y a partout des prostituées très peu vêtues qui me montre leurs seins, ou soulève leur jupe quand je passe devant.
Je décide d’observer un peu comment ça se passe, je me gare et c’est un défilé interminable de voiture qui roule au pas pour mater les filles comme je l’ai fait juste avant.
C’est vrai qu’il y a des scènes assez cocasses, je me souviens d’une voiturette qui était garée dans une contre allée et qui tanguait beaucoup, les portières ouvertes en grand, une jambes de femme dépassait de chaque côté, un mec entre les cuisses de la fille lui pilonnait la chatte vigoureusement, alors que toute une bande de voyeurs se branlait a côté .
D’autres baisaient les filles debout contre les voitures où sur les capots de ces dernières sans chercher à se cacher, pour moi c’était du jamais vu, c’était surréaliste de voir autant de luxure.
En ayant assez vu, je décide de prendre la direction du Bois de Boulogne, je trouve un hôtel non loin de ce dernier dans lequel je prends une chambre pour la nuit, l’hôtelier me donne un code pour rentrer après minuit.
Je pose mes affaires dans ma chambre et fais un petit brin de toilette avant de repartir en exploration.
Je me dirige vers le bois quand tout à coup, les voitures n’ avançaient plus, un bouchon s’était formé.
- Putain de Paris grogné-je
Puis au fur et à mesure du temps j’avançais au pas comme dans tout bouchon, en m’énervant un peu d’être retardé de la sorte.
Tout à coup surgit une prostituée en string et les seins à l’air, celle-ci vient taper à ma vitre côté passager, j’appuie sur l’interrupteur et baisse ma vitre à mi-hauteur.
- 50 la pipe ou 200 l’amour chéri. Dit-elle
- Non merci. Répondis-je
Du coup la fille me dit
- Tu sais j’ai grosse bite, et joignant le geste à la parole écarte légèrement les jambes, baisse son string en pleine rue sans aucune gêne et me sort une bite d’une taille comme j’en ai rarement vu.
Putain de merde me pensé-je mais elle la cache comment sa grosse queue, je ne voyais rien avant je pensais avoir affaire à une fille. C’est vraiment à s’y méprendre.
- Tu veux sucer grosse bite, Demande t’elle en agitant son sexe devant moi.
- Non merci. Dis-je à nouveau
Du coup en tortillant du cul et toujours la bite à la main elle passe à la voiture qui me suit.
Je redémarre et là tout du long du boulevard une vingtaine de prostituées qui annonce toutes les mêmes tarifs mais peu annonce qu’elles sont des travestis, on croirait vraiment que ce sont des femmes, les rondeurs, les seins, tout prête à s’y tromper.
Je comprends alors qu’il s’agit des travestis brésiliens du bois de Boulogne dont j’ai si souvent entendu parler.
Je ne comprends pas, on est pas dans les bois pourtant, mais apparemment ils ont envahis le boulevard, tout du long et dans les rues perpendiculaires ce n’est que des prostituées. Je prends une route à droite et je m’aperçois qu’il est indiqué Rolland Garros, je suis juste à côté, toutes les rues autour sont remplies de prostituées, toutes des travestis brésiliens.
Après avoir bien tourné dans le quartier et avoir vu presque toute les prostituées du boulevard et des rues adjacentes, je suis maintenant bien repéré.
Je voudrais quand même aller dans le bois, même si les agressions sont fréquentes paraît-il, alors je suis la route jusqu’à la porte de la d’Auteuil, et là à l’entrée du bois tout du long de la route des dizaines de prostituées , là aussi les voitures roulent au pas, certaines s’arrêtent, les mecs demandent les prix, et si le type est ok, alors la prostituée monte dans le véhicule et indique a son client où il doit aller.
Par curiosité je m’arrête devant une belle femme plantureuse, avec une très jolie poitrine bien volumineuse. Je baisse ma vitre et demande
- C’est combien ?
- C’est 50 Francs la pipe et 200 Francs l’amour mon chéri, pour la sodomie c’est 500 Francs et attention hein ! Moi je suis une vraie femme me dit-elle en relevant sa mini-jupe.
- Tu vois biquet, moi j’ai pas une bite et une paire de valseuse entre les guibolles, mais un joli petit minou, t’avoueras quand même que c’est autre chose que ces cons de travelos qui viennent nous concurrencer en se faisant passer pour des bonnes femmes. Déclare t’elle
- Et puis tiens regarde ! Tu vois ça c’est du vrai nichon dit-elle en sortant sa laiterie pas du trafiqué aux hormones dit-elle en secouant ses gros nibards.
Et puis je vais te dire le pire dans l’histoire, c’est tous ces cons qui se disent hétéro alors qu’ils viennent se faire pomper le dard par ces mecs déguisés en gonzesse, mais en fait quand ils baisent ces travelos, ils oublient qu’ils enculent des mecs ces cons là, ensuite ils rentrent gentiment chez eux retrouver bobonne et leurs moutards.
Tu parles d’hétéro toi, mon cul c’est juste une génération de PD Oui. Aboie elle pleine de rancœur contre les travestis brésiliens.
Je souris et lui promet de revenir après avoir fait un petit tour
- Tu peux pas me louper mon chéri, tu vois ça c’est ma camionnette et je suis là toute la nuit.
- Je continue ma petite virée, et comme tous les mecs qui rodent dans le bois, je roule au pas et m’arrête de temps en temps pour mieux voir les prostituées qui toutes pratiquement sont montés comme des bourrins et me font voir leur grosse queue dont elles ne sont pas peu fières.
Puis en revenant vers le boulevard non loin de Rolland Garros, une prostituée me fait signe, je me range sur le côté, baisse ma vitre, et je découvre une jolie fille a la peau cuivrée, pas très grande, un peu potelée, avec une poitrine généreuse et des rondeurs à faire se damné un saint, elle a des bonnes cuisses et un cul bien paumé, elle porte un tailleur avec une jupe qui lui arrive à mi- cuisses et qui lui moule magnifiquement son joli cul, même si son chemisier laisse voir la naissance de sa volumineuse poitrine, elle ne fait pas vulgaire comme toutes les prostituées que j’ai pu voir avant.
Elle m’annonce comme toutes les autres
- 50 Francs la Pipe ou 200 Francs l’amour chéri !
Pour toute réponse je lève le bouton pour déverrouiller ma portière passager.
Elle ne se fait pas prier pour monter dans la voiture car elle est frigorifiée, la nuit est tellement froide.
- Je vais pousser un peu le chauffage, tu vas pouvoir te réchauffer plus vite comme ça. Dis-je
- Va tout droit, je vais guider toi dans coin tranquille. Dit elle
Je suis ses indications et pendant le trajet nous traversons une zone super bien éclairée, j’en profite alors pour bien la regarder, elle est vraiment très jolie, pas trop maquillée et sa jupe est remontée un peu laissant voir la jarretière de ses Dim-Up, elle s’aperçoit que je la dévisage, me fait un magnifique sourire et me demande.
- Comment toi t’appelles ?
Même si elle ne maîtrise pas complètement le français, je comprends tout quand elle me parle, ce qui n’était pas le cas d’autres prostituées que j’avais vu avant.
- Je m’appelle Alain Répondis je
- Moi Rosa. Me dit elle
Puis elle me demande de tourner à droite et nous arrivons dans un renfoncement où se trouve l’entrée d’une voie goudronnée pour accéder dans le bois, mais l’accès de celle-ci est en est interdit aux véhicules par une barrière baissée et fermée par un cadenas.
- Ici c’est coin tranquille, ici nous tranquille, pas embêté.
Le coin quelle m’annonce comme tranquille n’est quand même pas si sombre que ça puisque la lumière de ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay, Bisexuel, Sodomie, Première fois