Histoire réelle : moi Olivier, 53 ans, 1,84m, cheveux poivre et sel ; je ne suis pas vraiment sportif mais je m’entretiens ; assez classique avec un job de comptable ; j’ai toujours été versatile mais surtout plutôt dominant ; je maitrise et choisis ce qui me plait et aime bien asservir (me servir) mes rencontres à mon plaisir et mes habitudes. Naturiste, j’aime bien être à poil à l’extérieur ; plutôt dans des endroits insolites (ZI, parking, forêt, …) sans prendre le risque de ma faire arrêter ; bref un rien exhib.
A la recherche d’un photographe pour faire des photos de nus à l’extérieur, je suis rentré en contact avec Frédéric : mon âge, 1,95m, gabarit bien plus fort/gros que moi, brun, photographe amateur ;
j’aime bien ses photos en pleine nature de gars à poil (grand angle, cadrage large, lumière complexe, NB …). Poser pour des photos ; je n‘ai jamais fait mais j’ai envie d’avoir de bonnes photos de moi à poil à l’extérieur (sans visage ou visage avec casquette/foulard ou flouté). On discute par mail ; j’hésite puis par téléphone. Frédéric veut bien faire des photos mais il a besoin que je sois prêt à poser et à faire ce qu’il me demande pour que les photos soient réussies ; il me propose de faire aussi de petites vidéos (ça me dit bien). Moi : je n’ai pas l’habitude d’obéir à des ordres dans ma vie privée Lui : si tu n’es pas prêt à faire ce que je demande (bouger ton pied, te pencher, lever les bras, prendre la pose qu’il faut, te coucher sur le sol, ...), ça ne marchera pas bien – je ne te demanderai rien d’extraordinaire ; je t’expliquerai au début ce que je veux faire avant que tu te mettes à poil ; tu pourras me poser toutes tes questions ; au moment de faire les photos ou vidéos, tu n’auras qu’à faire ce que je t’ai dit; ce sera plus facile que tu suives mes indications et demandes sans discussion.
Moi : ok essayons (pas convaincu et surtout prêt à tout arrêter si ça me déplait) Lui : Ok – pour ne pas perdre de temps, habilles toi avec juste un tee-shirt et un short facile à enlever (pas de slip et pas de chaussette) ; si jamais tu dois te rhabiller précipitamment ce sera mieux.
Rendez-vous un mardi matin du mois d’aout sur un parking en forêt d’Achères. Il est en jeans, chemise et blouson ; moi en short léger et tee-shirt avec de vielles chaussures de marche ; il fait bon. Frédéric (jovial) : nous allons marcher 15 minutes pour nous éloigner de la route et être au calme ; ce coin est fréquenté le soir par dragueurs et des prostituées mais pas en journée. Il y a des travaux à l’arrêt plus loin ; on va en profiter. C’est dans un sous-bois très dense et donc bien protégé.
On discute de nos vies, nos boulots, on découvre des points communs. Frédéric a de l’humour et plein de bon sens. Je commence à me sentir plus en confiance (moins méfiant en fait). On rentre dans un sous-bois avec plein de sentiers (et dense comme il l’a dit). Après 10 mètres, j’entends :
Frédéric : bon allez, maintenant, à poil ; je vais te filmer en train de marcher ; tu déambules ;
n’hésites pas à faire ta salope ; plus loin il y a une table ; tu mettras un pied sur le banc, l’autre par terre et tu te pencheras à plat ventre sur la table la tête dans les bras, qu’on voit bien tes couilles pendantes et tes fesses ; tu les écarteras avec tes mains. Je m’occupe de tes fringues.
Moi : euh, tu peux répéter… ; je n’avais pas vu ça comme ça du tout … faire ma salope ????
Il répète ces ‘suggestions’ tranquillement et il rajoute : vas-y calmement ; fais comme tu le sens ; on ne verra pas ton visage ; déstresse ; on démarre dès que tu es à poil.
Je me désape ; lui donne mes fringues et commence à marcher sur le chemin ; je suis bien, excité mais j’ai peur (je ne maitrise rien) ; je ne sais si Fred est prêt ou loin de moi ; après 100 m, toujours pas de table, je m’arrête (après ce qui me semble long, je sens le souffle de Fred sur ma nuque et sa main sur mes fesses ; je ne l’ai pas entendu marcher : ‘continues ; ne t’arrêtes pas ‘) ; je vois la table à un carrefour de 4 chemins ; j’y vais, lève la jambe, me penche en avant et écarte mes fesses (‘écartes plus’) ; je suis exposé de façon totalement impudique et je suis bien ; mes seins frottent sur la table ; je bande j’hésite puis me pince les seins fortement ; ça m’excite la situation m’excite : et j’ai tout d’un coup envie d’aller plus loin : je me doigte directement ; un doigt , puis deux lentement. Fred continue à mitrailler ; je sens qu’il est à genoux entre mes jambes ; il doit faire des photos en gros plan ; quel pied ; quelle peur Fred : parfait ; tu peux te relever ; tu m’as fait une bonne surprise à la fin ; tu as compris, je crois ; il vaut mieux suivre mes indications et que tu fasses ce que tu as envie à partir de là ; est ce que ça va ? Moi : oui mais très bizarre … Je suis à poil, totalement bandé en forêt avec un gars habillé que je connais à peine et qui peut me mater à souhait sous toutes les coutures. Il me caresse les fesses et je le laisse faire… Fred : bon allez, deuxième série de photos ici tout de suite ; tu te mets de face ; assis sur la table ; tu te pinces les seins ; tu te caresses le corps ; tu te branles et tu fais ce que tu veux. Après, on changera de coin pour des photos grand angle.
Moi : euh, ok … Je m’exécute ; ça m’amuse mais je me demande : tu fais pas une connerie, là ?
On a fait des photos et vidéos pendant encore une heure dans deux autres endroits ; des séries photos en grand angle la plupart, de loin dans des coins beaucoup plus ouvert (dans et autour des cabanes de scout, en travers de route forestière, …) ; j’avais à la fois l’impression d’être libre (nudité) mais aussi de devoir obéir sans réfléchir et surtout de ne rien pouvoir maitriser (accroupi dans un trou la tête dans les mains, le cul relevé, je ne pouvais pas voir si quelqu’un arrivé ou bien ce que faisait Frédéric : obliger d’attendre et faire confiance). J’avais du mal à prendre exactement le pose qu’il voulait ; il venait bouger mon bras, ma jambe, ma fesse, ma queue, mes couilles ; cambrer mes reins ; ouvrir mes fesses pour y coincer un arbuste, …. ).
J’avais l’impression de devenir son jouet ; il m’a laissé prendre des positions qu’il n’appréciait pas et les a filmées (je verrais plus tard qu’il avait raison ; pas top). Deux fois, des promeneurs nous dérangé ; Frédéric les a vu très tôt m’a fait me rhabiller fissa ; il a été très prudent et ça semblait le stresser (plus que moi).
Pour la dernière série, il m’a demandé de bander et m’a un peu sucé pour ne pas perdre de temps ;
j’étais juché sur un caterpillar ; je me suis branlé jusqu’à jouir. L’appareil photo a tout enregistré…. en video.
Sur le chemin du retour aux voitures, on a repris la conversation sur de tout autre sujet ; j’étais dans un état second : je venais de passer plus d’une heure à poil à m’exhiber et obéir à un gars que je rencontre pour la première fois et il a presque tout enregistré en photo ou vidéo.
La vue des photos et vidéos le lendemain a été un choc. Les photos grand angle me plaisent : sur une route forestière déserte avec de la perspective ; sur le dos sur un tronc abattu (dormant ?) mais il y a aussi toutes les photos/vidéos en gros plan et plus sexuel ; là c’est le regard d‘un mateur sur un gars à poil, impudique (moi) et je suis choqué ; je me suis dit : plus jamais !!
Après l’avoir remercié et avoir eu son accord, je publie quelques photos grand angle sur un site. Après quelques mois, je tombe par hasard sur les photos/vidéos et les regarde de nouveau calmement. Fred fait vraiment de bonnes photos/vidéos et mes suggestions étaient vraiment mauvaises. Elles me donnent envie d’essayer une nouvelle séance mais cette fois, je me mets à sa disposition et à celle de son bon vouloir et de son bon plaisir. Fred est surpris de mon appel mais semble ravi à la perspective d’une nouvelle séance. Je lui dis clairement que je viens pour satisfaire ses envies. Rendez-vous est pris pour le jeudi matin sur le parking à l’étang du Cora, que je ne connais pas.
Ce jeudi matin, il fait chaud (23 degrés). Habillé juste d’un short et tee-shirt fins, j’arrive au rendez-vous. On se fait la bise et on discute sur ce qu’on a fait chacun depuis la dernière fois. Fred souhaite utiliser son téléphone uniquement pour aujourd’hui. Fred : je suis content de te mettre à poil ici au bord de l’eau ; je vais bien m’amuser. Première étape : au bord de l’étang en contrebas du chemin principal au bas d’un escalier avec un abri pour observer les oiseaux. Fred : tu te mets face à l’étang et dos à l’escalier ; tu me laisses faire :
je descends l’escalier et vient vers toi ; Ok ? – Oui ! – alors à poil !
Je me désape ; jette mes affaires dans un coin et me mets en position. Je ne vois que l’étang, de l’autre côté, un coureur s’arrête pour boire (il ne peut pas ne pas me voir …) ; des bruits de rames mais les bateaux sont cachés par les herbes. J’entends Fred derrière moi ; tout d’un coup, une main caresse mon dos, monte sur mon cou, caresse mes cheveux, puis descend, s’aventure sur mes fesses, entre mes fesses et remonte.
Fred : parfait, merci. Maintenant, mets-toi face à l’abri (comme ça on ne te voit pas du chemin), dos à l’étang, le buste à 90 degrés presque ; essayes de cambrer tes reins ; jambes écartées ; têtes entre tes bras. Je prends la pose, tête dans mon bras gauche replié (je ne vois rien) ; il n’a pas besoin de la rectifier ;
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