Mon histoire commence il y a quelques années, j'avais alors 17 ans et j'avais les hormones en folie. Encore vierge, je me contentais de photos de mes amis sur mon ordinateur pour assouvir mes envies.

Durant l'année scolaire, j'ai dû effectuer un stage en entreprise pendant un mois. Pour éviter de faire le long trajet qui me séparait de mon domicile tous les jours, un ami de mes parents me proposa de m’héberger vu qu'il habitais à quelques minutes de mon lieu de travail. C'est donc en pleine campagne, chez l'ami de mes parents, que j'ai dormi 5 jours par semaine, avec sa femme et ses deux fils, Remy et Theo, pendant un mois.

Je vais vous présenter Remy; Remy et moi, nous nous connaissions déjà depuis plusieurs années. Il est tout simplement craquant... 16 ans, 1m70, 60kg, les cheveux chatins, courts et toujours coiffés. Remy et moi étions très complices, souvent le soir quand ses parents dormaient, nous sortions dans son jardin pour fumer des cigarettes... Souvent j'ai hésité à lui parler de mes penchants pour les hommes en espérant qu'il en soit de même pour lui. Mais à chaque fois, la peur que Remy me rejette et que mes parents soient mis au courant me rattrapait et je n'ai jamais eu le courage de franchir le pas. Mais j'ai pu trouver mon bonheur ailleurs...

Un matin, alors que j’étais très en retard pour me rendre sur mon lieu de stage, il fallait que je me brosse les dents mais Remy occupait la salle de bain pour prendre sa douche. Au bout d'un certain temps, je décide de rentrer en m'annonçant:

— Remy j'ai besoin de me brosser les dents. Je peux entrer?

— Oui oui, entre je finis de me doucher!

Une fois à l’intérieur, je commence ma toilette et c'est à ce moment que Remy en profita pour sortir de la douche. Je suis face au lavabo, dos à lui mais je peux quand même le surveiller dans le miroir en face de moi. Il est tout simplement parfait! Des abdos finement dessinés, des épaules larges, des jambes fines, une paire de fesses rebondies et un sexe non circoncis d'environ 12cm au repos. Je peux voir le gland dépasser naturellement du prépuce. Une fois mon affaire finie, je sors pour le laisser finir et je m'en vais travailler pour la journée. Le soir venu, une fois dans la chambre d'amis, sous les couvertures, je me suis branlé avec ces images dans la tête...

Je me repassais la scène au ralenti quand j'ai vu son sexe pendre devant ses deux généreuses boules. Je m'imaginais me retourner pour lui faire face, sentir sa respiration sur mon visage et déposer un baiser sur ses lèvres. Notre baiser se transforma en baiser passionné, nos langues se touchèrent, je glissais mes doigts dans ses cheveux... Je collais son corps au mien le plus possible, et c'est là que j'ai senti une chose qui me repoussait, c'étais son sexe qui avais doublé de volume. Il atteignait facilement les 18cm; sa bite était fine et le gland était maintenant visible, il était enduit de précum et il brillait à la lumière. Sa queue m’hypnotisait. Je l'embrassais dans le cou, sa peau était si douce avec un léger goût salé. Puis je descendis à sa poitrine où je m'empressai de lécher ses deux mamelons, lui décrochant un petit cri d'excitation. J'ai lentement fait courir ma langue le long de son ventre démuni de poil, passant entre ses fins abdos et son nombril.

Je me retrouve face à son sexe dur comme le roc. Je peux enfin l'admirer de près et je profite de cette vue avant que mon envie ne devienne trop forte. Une large goutte perlait au sommet du gland et je m'empressais de la recueillir du bout de la langue, en léchant au passage l'orifice au sommet du gland. Encouragé par les soupirs et les râles de Remy, je fis courir ma langue le long de sa verge pour ensuite remonter et enfin le prendre en bouche. Je commence de lents va-et-vient au rythme des soupirs de mon bel apollon, pour me laisser finalement emporter par le désir et le pomper avidement. Déjà je peux ressentir les prémices de son éjaculation: sa verge se contractait seule dans ma bouche et ses soupirs devenaient de plus en plus forcés. Bientôt il me dit:

— Ça vient Arwin! Ça vieeeent!!

J'ai continué à le sucer avidement jusqu’à ressentir quatre longues giclées de sperme frapper ma langue. Je l'ai gardé en bouche le temps de m'assurer qu'il ne manquait aucune goutte avant d'avaler le tout. C'est à ce moment que je reprends me esprits, toujours dans la chambre d'amis, ma queue dans la main et du sperme jusqu’au menton. "Woaou!" me disais-je, jamais je n'avais joui comme ça! Après avoir fait le ménage à l'aide de mes doigts et de ma langue, je me suis endormi paisiblement en rêvant de de serrer Remy dans mes bras.

Quelques jours plus tard, alors que je rentrais plus tôt de mon stage, je trouvais Remy et sa mère chez lui. Sa mère criait car Remy était en retard à son entraînement de foot. Remy était dans la salle de bain et semblait prendre tout son temps pour se préparer. Pris par une curiosité incontrôlable mais aussi par un forte excitation, je voulus faire la lumière sur ce qui pouvais bien se passer dans la salle de bain. Je jetais un coup d'oeil vers la cuisine pour m'assurer que sa mère s'y trouvait bien et prenant toutes me précautions, j’avançais vers la porte derrière laquelle Remy s'était enfermé. Je plaçais mon oeil devant le trou de la serrure et quelle ne fut pas ma surprise! Je trouvais Remy complètement nu, face au miroir du lavabo, sa queue à la main. J’étais subjugué par la taille de son sexe qui devait atteindre les 18cm! Et le plus surprenant dans la scène qui se déroulait sous mes yeux, il avais mis une capote! Je pouvais voir son gland rouge d’excitation à travers le latex, il devait s'astiquer depuis plusieurs minutes et je pouvais aussi distinguer que la capote contenait un peu de liquide pré-éjaculatoire. Pourquoi avait-il mis un préservatif?

Je n'ai pas eu le temps de répondre à ma question que j'entendais sa mère arriver. Je fis semblant de m’allonger sur le lit de la chambre d'amis à proximité et fit mine d'envoyer un message. Sa mère tambourina a la porte et lui dit:

— Remy tu sors maintenant! Sinon je vais être en retard pour aller chercher ton frère!

Sa mère s’éloigna et Remy sortit quelques secondes plus tard en tenue de foot (mon dieu qu'il était craquant). Il passa dans sa chambre, prit son sac de sport et sauta dans la voiture. J’attendis que la voiture s'éloigne un peu et je sortis de la chambre d'amis, direction la salle de bain. J'avais l'habitude d'y aller après chaque passage de Remy. J'o ...

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