Chers lecteurs, chères lectrices,
Je me présente, Erikarose, je suis ici pour vous raconter mon histoire du 4 octobre 2024 dans les locaux du sexshop, LE CASANDRE. Un lieu que bien des personnes comme moi fréquentent régulièrement, moi pour ma part j’y passe de temps à autre quand j’en ai la possibilité. Ce jour-là, du 4 octobre, jamais je n’aurais pu croire ce qui allait m’arriver.
J’arrive avant l’ouverture, je me gare devant le CASANDRE, et profite pour commencer à mettre mes bas pour me préparer. Je vois le patron arriver et ouvrir.

Je quitte mon véhicule et entre; un petit bonjour, je paie et monte directement à l’étage. Je choisis toujours la poitrine, ma perruque et mes dessous sexy. Une fois vêtue et maquillée, je range le tout dans le vestiaire et je vérifie s’il y a du monde.
Je m’installe et visionne un film en attendant. Je m’allonge sur le lit et déjà un premier homme vient m’aborder.
Il me caresse gentiment la cuisse et l’entre-jambe et me demande de le sucer. Je lui déboutonne le pantalon et lui sors sa queue. Elle est épaisse. Je commence à la prendre en bouche et à le sucer; le gonflement se fait sentir immédiatement, ma mâchoire a du mal à la contenir. Je la sens vibrer sous mes coups de langue. Il aime. Je lui propose de me prendre.

Il enfile un préservatif pendant que je me lubrifie avec du gel pour faciliter son entrée. Je me cambre devant lui, bien accueillante, mon cul ouvert; il se place au bord, il y va doucement, il me dilate, ça rentre doucement, de petits va-et-vient de plus en plus profonds. Maintenant je la sens entière en moi, bien grosse; il s’enfonce en moi, je l’excite, je le vois sur son visage.
Après bien dix minutes à me prendre il jouit enfin et se retire, moi trop excitée pour réagir. L’homme sort de la pièce et là un autre était en train de se branler en nous regardant; il me demande s’il peut me prendre aussi. J’accepte avec capote, je lui dis (OK). À peine dit, il est déjà en moi à me limer; son sexe, plus petit que celui d’avant, je le ressens moins mais le bonheur est là.

Il termine assez rapidement, remonte son pantalon et quitte aussi la salle. Je remonte à l’étage et, discrètement, il me demande si je peux le branler avec mes chaussures. Ce fut la première fois que je fis cette expérience; elle fut concluante : satisfait de son passage entre mes pieds, il finit par jouir et repart, soulagé.

Je redescends au RDC dans ma cabine et j’attends la prochaine visite. Un homme me regarde, il hésite à entrer; il est à moitié nu, un string et une belle bosse dedans. Je lui propose de regarder le film avec moi, il accepte et vient s’asseoir à mes côtés. Très plaisant, on discute un peu et il me confie que c’est la première fois qu’un travesti lui plaît.

Contente du compliment qu’il me fait, je le remercie par un baiser sur la joue. Je ressens des picotements dans l’estomac, ce n’est pas normal, jamais ça ne m’avait fait ça. Il me plaît, il me demande de m’allonger et de me laisser faire; il baisse ma culotte pour prendre en bouche mon sexe bien dur. Je le caresse, une peau douce; je palpe la poche de son string pour sentir un sexe en cage.
Il me dit qu’il a laissé les clés chez lui exprès. Peu importe, je m’occupe de son orifice avec mon doigt. Il a l’air d’être habitué; mon doigt glisse tout seul sans forcer, il me suce à fond, on s’occupe l’un de l’autre — moi de son cul et lui de ma queue — et personne ne lâche, on en redemande.

Après un bon moment, on décide de faire une pose et de remettre ça un peu plus tard. On remonte tous les deux à l’étage pour nous installer dans les canapés et discuter. Une pose d’une demi-heure n ...

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