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Une rencontre

Publié par : marena le 16/08/2024

J’ai déjà dit comment je me suis fait abordé en sortant de l’Euromen’s Club. J’ai dit que j’avais éconduit mon dragueur. La réalité est un peu différente. Je vais maintenant tout avouer.
Donc je sors de l’Euromen’s Club après une après-midi un peu décevante, pour une fois : j’ai juste branlé et pompé quelques queues assez molles dans la backroom, attendu dans le hammam, le sauna, une cabine...quelques attouchements mais rien de sérieux..À la porte du club je suis accosté par un type entre deux âges, assez trapu, brun, genre nord africain, souriant :
« Je peux vous parler ? »
« Bien sûr »
« C’était bien au sauna ? »
« Oui comme d’habitude »
« Tu as joui ? »
« T’es bien curieux, t’es de la police ou quoi ? »
« Non non c’est juste que ça m’excite d’imaginer tous ces hommes entrain de se caresser, se pomper, s’enculer...et toi qu’est ce que t’as fait ? »
« Ah Ah ça ne se dit pas .. »
« Allez . Si tu veux je t’emmène chez moi, c’est tout prêt et je te ferai jouir. Après tu pourras venir quand tu voudras au lieu d’aller au sauna et tu seras sûr de tirer ton coup… »
« C’est gentil mais là j’ai pas le temps il faut que j’aille retrouver ma femme. »
« Viens au moins prendre un café… juste là.. ».
Pour ne pas froisser ce type somme toute sympathique et ne pas passer pour un raciste, je me laisse entraîner dans la plus proche brasserie. On s’assoit au fond sur la banquette et toute suite il colle sa cuisse contre la mienne. Dés qu’on a été servis il recommence son interrogatoire :
« Tu aimes ça toi pomper une grosse bite ? Sucer les boules ? Avaler à fond ? »
J’avoues que cette façon de parler m’excite beaucoup et je réponds sur le même ton
« Oui moi j’adore faire la salope, sucer une grosse queue, en faisant le plus de bruit possible avec ma bouche, geindre, m’enfoncer le gland jusqu’au fond de la gorge, ressortir et remonter avec la langue, des couilles jusqu’au méat, bien sûr en me branlant moi même. En plus dans la backroom y a toujours quelqu’un qui s’approche pour se faire sucer aussi. C’est trop excitant.. »
« Et tu te fais enculer ou t’es plutôt actif ? »
« Plutôt actif, j’ai baisé et fisté plusieurs fois à l’Euromen’s Club mais pas cet après-midi, c’était calme… En fait j’aimerai bien me faire sodomiser mais j’ai le trou très serré, à chaque essai ça n’a pas très bien marché. Mais ça m’excite d’offrir mon cul, sur le dos, les jambes sur les épaules de mon partenaire, avec des voyeurs qui se masturbent devant la porte ouverte.. »
« Dis donc tu es une vraie salope tu me fais bander.. »
Là il prend ma main et la glisse sous la table jusqu’à son entre-jambe. Je sens et je caresse son chibre hyper raide. Mais ça ne lui suffit pas. Il porte une espèce de survet avec un élastique à la taille. Il glisse ma main dans sa culotte et je me retrouve à le branler en public , dans un bistrot …heureusement on est dans un coin et personne ne nous voit mais c’est trop excitant. Quand le garçon passe devant nous j’arrête les mouvements mais je ne lâche pas sa queue. Il mouille abondamment et m’encourage avec des petits mouvements du bassin et des propos salaces.
« C’est bon, tu branles bien, vas y, continues....tu vas me faire jouir...j’ai envie de toi.. je veux t’enculer...viens .. »
Tout à coup sans que j’ai eu le temps de réagir il m’att**** la tête et il me roule une pelle bien profonde avec la langue. Je réponds, j’ouvre grand la bouche, j’aspire sa langue, je tourne avec la mienne.
On est interrompu par le garçon qui toussote, gêné :
« Dites donc les amoureux on veut pas d’exhibition ici. Allez faire vos saloperies ailleurs »
Je suis rouge de honte et de confusion. Je paye rapidement et je sors suivi de mon dragueur sous l’œil du garçon et de son collègue auquel il a dû raconter la scène. Ça aussi ça m’excite.
« Aller viens chez moi, c’est juste à côté j’ai trop envie de toi. »
Au point où j’en suis je le laisse m’entraîner. Cinq minutes plus tard on entre dans un immeuble et on prend l’ascenseur. Il se colle contre moi, sa main derrière ma tête et nous nous embrassons à nouveau tout le long de la montée. Je sens sa bite raide contre la mienne, je suis dans le même état et je me frotte contre lui en gémissant.
Arrivés au 6éme on entre dans un studio petit, mais propre avec un grand lit. La porte à peine fermé il baisse son survet sous lequel il ne porte naturellement rien et m’offre sa bite pour que je la pompe à genoux. Il est gros, circoncis, raide et humide et entièrement épilé. C’est trop bon. J’y vais de bon cœur. Je lèche ses couilles, son gland, j’avale jusqu’au fond de la gorge, je ressors, je pompe, je pompe... il me guide gentiment en le caressant la tête qu’il tient parfois enfoncée jusqu’à ce que j’étouffe presque. Ou bout d’un long moment il me relève et nous nous déshabillons fébrilement.
Complètement nus on s’installe sur le lit l’un contre l’autre, on s’embrasse, il me triture les tétons, je frotte ma queue contre sa cuisse et je descend pour lui lécher la poitrine, lui mordiller les tétons et reprendre sa queue en bouche. Il me renverse et nous nous mettons en position de 69, moi en dessous. Il s’appuie sur ses coudes et ses genoux et il ne m’écrase pas. Je peux le téter et le branler avec ma bouche en soulevant rythmiquement la tête. À l’opposé il me suce aussi tout en s’occupant de mon anus qu’il pistonne avec un ou deux doigts bien salivés. Bientôt on se met sur le côté, j’ai la tête coincée entre ses cuisses et sa pine dans la bouche. J’adore ça.
Après de longues minutes, il s’interrompt :
« Tu veux que je te prennes ? »
« Oui encule moi à fond, défonces moi, fait moi jouir »
Je suis vraiment en rut cette fois-ci et prêt à tout.
Il me fait mettre à 4 pattes sur lit, la tête dans un coussin et le cul offert.
Il m’enduit bien le trou et profondément à l’intérieur d’un lubrifiant bien gras et présente son sexe contre mon anus.
Il se penche dans mon dos, contre mon oreille :
« Je vais te dépuceler, je vais faire de toi un enculé et après tu ne pourras plus t’en passer, au début ce sera peut être un peu douloureux mais très vite tu vas adorer. »
En fait je me suis déjà fait sodomiser quand j’étais adolescent mais ça ne s’était pas bien passé. Cette fois ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay, Sodomie