Une soirée réussie : 1 - Patrick
C’était un soir de semaine après le turbin, comme tant d’autres. Une bonne douche, et je voulais rejoindre mes amis au plus vite pour ne pas affronter ma solitude une fois la nuit tombée. Vers les 19 h 00, j’entre dans ce grand bar du centre-ville, Le Coq Hardi, et ils sont déjà là au comptoir. Quelques verres et de nombreux éclats de rires, il n’y a rien de tel pour remonter le moral
Nous sommes tous à plaisanter, et un de mes amis mime de me mettre la main au paquet ; les garçons s’amusent souvent à défier leur virilité, a fortiori un peu éméchés. En esquivant ce geste, je donne un violent coup de cul à la personne assise derrière moi sur un tabouret de bar, un verre à la main. Le brave homme se retrouve son Martini sur son pantalon avant qu’il n’ait pu comprendre ce qui lui arrivait. Je m’excuse platement, lui commande un autre verre.
— Je n’avais pas remarqué que vous étiez assis là, je suis vraiment désolé, et mes amis sont plutôt… turbulents !
Cet homme d’environ 45 ans me rassure en me précisant qu’à notre âge, il l’était tout autant, et que s’il vient volontiers dans des endroits comme celui-ci, c’est justement pour y retrouver une certaine ambiance.
Très sympathique, élégamment vêtu, la conversation s’engage avec nous. Vers les 20 h 30, mes collègues me demandent si nous finissons la soirée au restaurant, mais j’ai beaucoup trop bu, et n’ai vraiment pas faim. Je préfère de loin rentrer me reposer. Ils insistent à plusieurs reprises, me traitant de « petit joueur », de lâcheur, puis finissent par capituler, et filent poursuivre leur beuverie sans moi. Je reste à finir mon verre avec mon voisin de comptoir, nous refaisons le monde.
Il s’appelle Patrick, est divorcé depuis 5 ans, tient un magasin de vêtements de marque pour hommes dans les rues piétonnes, et vient souvent se détendre après la fermeture, n’ayant personne pour l’attendre à la maison.
Nos verres vides, je règle et en nous levant, je vois de nouveau son pantalon trempé, et lui renouvelle mes excuses.
— Les gens vont penser que vous vous être pissé dessus, je suis vraiment navré !
Le liquide est vraiment tombé sur son entrejambe, faisant une belle tache. Et une fois debout, on ne remarque que ça… et le beau paquet bien renflé trahissant une présence plutôt effective à l’intérieur de son pantalon.
— Rien de grave ! dit-il en examinant les dégâts, frottant du plat de la main la zone sinistrée. J’en ai une pleine boutique ! Et puis ils n’auront qu’à me regarder dans les yeux ! ajoute-t-il en me regardant droit dans les yeux, arborant un large sourire.
Dehors, le frais est saisissant. Patrick me remercie pour cet agréable début de soirée. Me trouvant très sympa, il me demande si je viendrai un jour dans sa boutique renouveler mon look. Je lui fais comprendre que le prix des vêtements fait vite mal à un petit budget. Il me propose de venir me rendre compte par moi-même en me sortant son trousseau de clefs.
— À cette heure-là ?
— Et alors ! Il faut que je change de pantalon, car là, je me gèle les couilles, ça peut faire l’occasion !
Malgré l’alcool, je réalise qu’il me fait une ouverture. Je revois son pantalon bien gonflé sur le devant lorsqu’il s’est levé à peine, et constate que je n’ai pas eu de sexe depuis deux semaines, ni hommes ni femmes ! Bel homme, svelte, souriant, pour peu qu’il soit joueur, je ne risque pas grand-chose, et une partie de moi…
J’accepte, nous verrons bien. En marchant, il me remercie de ma présence, et m’avoue être assez timide d’habitude. Et que si je n’avais pas renversé ce verre, il serait déjà à s’ennuyer chez lui.
Nous arrivons devant son magasin, une belle vitrine lumineuse pleine de mannequins habillés BCBG. Nous rentrons par la porte de l’immeuble mitoyen, et accédons directement dans son arrière-boutique. L’endroit est assez vaste, des portants remplis de vêtements, des cartons, un miroir mobile, et une grande table trône au beau milieu, avec du matériel de couture à un coin, probablement pour les retouches, les ourlets, etc. Il me présente les lieux, le bureau, les toilettes, le passage vers la boutique…
Assis sur le coin de la table, je regarde autour de moi, et me demande un peu ce que je fais là, lorsqu’il me dit :
— Tu me plais beaucoup, j’ai eu envie de rester un moment encore avec toi.
Il est là, devant moi, et ses yeux sondent les miens. Je lui bredouille que lui aussi m’est sympathique, que… son physique et son charme ne me sont pas indifférents. Il pose sa main sur ma cuisse, et commence à remonter vers mon entrejambe. Je lui demande alors s’il a toujours les couilles gelées, et lui propose mon aide en posant ma main sur la tache humide.
Il y a du beau monde là dedans, c’est évident.
Je quitte le coin de table et m’agenouille devant lui pendant qu’il dégrafe sa ceinture et ouvre son pantalon, qui finit rapidement sur ses chaussures, et devant mes yeux, j’ai une volumineuse silhouette qui se dessine dans son caleçon. Mes mains agrippent le tissu et le font descendre lentement alors qu’il déboutonne sa chemise.
Chose improbable il y a encore une heure, je découvre à quelques centimètres de mes lèvres un sexe assez long alors qu’il pend encore, mais surtout d’un très gros diamètre, avec un long prépuce recouvrant un gland très dessiné. Du très massif. Deux lourds testicules ornent ce spectacle, légèrement décalés à l’image des poids d’une horloge, mais vraiment proportionnés par rapport à sa splendide queue.
Je le complimente sur ma découverte en lui avouant mon émerveillement, ma main passant sur son ventre plat.
— J’ai très envie de ta bouche, mais je ne sais pas si je tiendrai longtemps. Je n’ai connu personne depuis presque un an, alors… mais fais-moi jouir, j’ai envie de ta bouche.
Ses chaussures volent dans un coin, son futal reste par terre, et je l’invite à s’allonger sur la table. Impatiemment, je prends son gros gland entre mes lèvres et remarque au passage l’odeur du Martini. Son diamètre est impressionnant, et cette bite fait déjà largement 15 cm alors qu’elle ne bande pas encore.
De la langue je me glisse entre le prépuce et tente un mouvement circulaire, mais dois me contenter de titiller le méat généreux. Déjà son jouet commence à s’allonger et durcir, et toujours des lèvres, je le décalotte complètement. Délicieuse queue, son gros gland est lisse, mais il remplit déjà beaucoup ma bouche !
Je me saisis de ses lourdes burnes et les découvre en les roulant dans ma main, puis en les gobant, en les suçant. Je recule un peu la tête pour admirer ce puissant sexe en le caressant. Par où commencer ? Ses couilles sont aussi bonnes que sa queue, son gland, son frein marqué… Je l’embouche, et maintenant, il bande suffisamment pour tenter de l’enfoncer un peu plus.
Mais cette queue est « obèse », et quelques centimètres sous son gland, le diamètre forcit tellement que mes lèvres ne peuvent plus descendre ! Il gémit, me dit que ce n’est que du bonheur, qu’il ne tiendra pas alors qu’il voudrait en profiter longuement. Je lui demande de ne pas s’en inquiéter, que de pouvoir sucer une queue pareille n’est que du plaisir, et que s’il jouit trop vite, je recommencerai volontiers. Sa barre est d’une beauté et d’une grosseur indécente !
— Tu as un bijou entre les jambes ! lui dis-je en constatant la distance séparant l’extrémité de mon pouce de celle de mes autres doigts pendant je le branle lentement, tant il est gros.
— Merci, mais un bijou qui fait peur et mal aux femmes ! Tu me suces bien, j’adore comme tu t’en occupes.
Ma bouche repart à l’assaut de ce jouet pour adultes consentants. Mes lèvres sont tendues à craquer, et pourtant à peine un tiers est à l’intérieur. Lui feule pourtant de bonheur, et lorsque je commence à aller et venir, je vois son ventre se creuser au même rythme.
J’alterne entre pipe et gobage de couilles afin de lui laisser le temps de se retenir. Mais en même temps, il me tarde de le sentir se contracter, se tortiller, et je le reprends donc en bouche, il ne tiendra guère. Tirant de la main sur la hampe pour bien le décalotter, mes lèvres enserrent son énorme bout et tout en salivant fortement, je tourne ma bouche comme s’il était une glace. Patrick me supplie de ne plus le faire languir, il doit jouir, que ses couilles vont exploser.
J’accélère alors mes succions, et entame de nouveau un mouvement alternatif, ses lourdes couilles serrées dans ma main, l’autre branlant la base de sa bite. Son ventre s’aplatit, son bassin part en avant comme pour porter un coup mortel, sa hampe est tendue, alors que le gland me distend la mâchoire une seconde avant qu’un puissant flot de foutre chaud emplisse ma bouche.
Il crie franchement son plaisir, et m’expulse à chaque s ...
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