Histoire vraie de début aout 2020

En ce moment il fait aussi chaud dans mon caleçon qu’à l’extérieur avec la canicule.
Vendredi dernier, dès le matin, je décide de laisser tomber les dossiers et je pars pour une escapade au CUBE à Lille en face de la gare. Un sexshop cruising assez sympa où je commence à avoir mes habitudes ; le personnel est pro, la clientèle habituée respectueuse et parfois, on tombe sur quelques visiteurs occasionnels assez remarquables. Un autre petit avantage de l’endroit, c’est que le labyrinthe, la backroom se trouvent au sous-sol, la fraicheur est fortement appréciable en ce moment.

J’enfile donc un short léger, un caleçon fin et un t-shirt et me voila parti avec mon sac à dos au CUBE. En général, il me faut un temps de chauffe avant de faire quelque chose. Je tourne donc, je mate quelques bites à travers les glory hole, je regarde vite fait des pornos en passant dans des cabines ou aux espaces de projection. Je fais des allés retours en backroom où on me touche la bite, mais ce n’est pas ce que je suis venu chercher ce vendredi. J’avais très envie de me faire prendre.

Bizarrement, je pensais que dans ce genre d’endroit on pratiquait beaucoup plus la pénétration, d’autant plus qu’il y a des équipements pour, notamment un sling, mais au final, c’est surtout des fellations qui sont pratiquées.
Autre souci que je rencontre, je suis plutôt grand et costaud, du coup j’ai souvent les mecs passifs qui tentent leur chance et me suivent, me touchent la queue, alors que je cherche tout l’inverse.

Au bout d’une heure, je commence à sucer un peu quelques bites, de toute taille et tout âge, notamment celle d’un mec bi, bien bâti et chaud que j’ai envie de me faire depuis un moment, qui bosse là-bas quelques heures par jour et passe souvent du temps en cabine. Je l’avais vu entrer, je file donc dans la cabine mitoyenne et le vois en train de se branler devant un porno. Je m’approche, baisse la tête, il me regarde à travers le trou, se lève de sa chaise et dépose sa queue à travers le glory hole. Je ferme donc le verrou de ma cabine, pose mon sac à dos et me baisse, enlève mes lunettes et commence à prendre en bouche sa queue pour la 1ère fois. Il a une très belle et bonne queue, bien nervurée, un beau prépuce assez imposant qui doit ajouter encore un peu plus de plaisir lorsqu’il entre dans des fesses serrées… Après plusieurs minutes à le biberonner, Je lui propose de me prendre, mais il n’est pas motivé pour le moment, me dit-il.

Je sors donc et continue mon tour et arrive en espace projection hétéro. Là je vois de dos, 5 mecs assis sur les banquettes ou debout appuyés sur un mur. Je remarque un beau jeune homme viril et blond d’environ 30 ans que j’avais croisé rapidement et qui porte un pantalon de travail extérieur avec bandes réfléchissantes.

Des hétéros qui tournent mais ne font jamais rien, il y en a, on les connait, lui je ne l’avais jamais vu auparavant, mais je me suis dit qu’il allait mater et se barrer dans une heure les couilles pleines. Mais au bout de 2 minutes, je vois qu’il se retourne légèrement et me regarde du coin de l’oeil… Je soutiens donc son regard, commence à me reculer vers le petit espace backroom et c’est à ce moment précis, à ma grande surprise que je le vois se lever ; sans trop y croire, je me dis qu’il va peut être me rejoindre. Je me faufile donc au fond du petit espace où se trouvent des glory hole à hauteur de bouche : le mec doit monter quelques marches pour arriver de l’autre côté, ce qui fait que je peux sucer en restant debout, un vrai confort quand on mesure 1,80m.
Je me mets au fond et toujours aussi surpris je le vois arriver et monter dans le glory hole. J’enlève mes lunettes, il me dépose sa belle queue sous le nez en plaquant ton ventre sur la paroi. Quel plaisir de pomper ce gland charnu, de biberonner cette queue de très bonne taille, toute lisse à la peau claire que je m’applique à honorer. Je m’attendais à avoir une petite odeur de mâle à sniffer, mais non, une queue toute fraiche.
Je ne suis pas du genre à pomper mécaniquement comme un fou, je suis plutôt à biberonner et longer la queue de haut en bas avec mes lèvres, sauf bien sur pour les TTBM impossibles à sucer complètement. Mon hétéro blondinet ne bouge pas trop, pas de mouvement de bassin, mais sa queue continue de durcir surtout quand avec la main gauche je joue avec sa petite paire de couilles. J’entends peu de gémissement, sauf lorsque je le prends en gorge profonde et que sa queue tape au fond de ma gorge, où j’entends et sent quelques sursauts de sa part. Des mecs passent derrière moi et me matent en train de besogner jusqu’au moment où je reçois sans avertissement, une bonne dose de jus au fond de la gorge, que je m’empresse d’avaler. Je sors le 1er de la backroom et mon bel hétéro va se rassoir devant le porno, dans la salle de projection attenante. Étonnant, d’habitude, les hétéros se cassent en courant une fois l’excitation retombée.

Après avoir continué mon petit tour, je reviens dans la salle environ 30 minutes plus tard, et là, il se produit exactement la même chose. Mon blondinet se trouve assis sur une banquette contre le mur droit. A sa gauche un autre mec assez âgé, un habitué, derrière un autre qui se masturbe, et un dernier debout sur la gauche de la salle. Ayant vu qu’il y avait du mouvement derrière lui, mon blondinet tourne la tête, me vois et se lève immédiatement sans se précipiter, mais d’un air déterminé. Je me suis senti super fier qu’il ait attendu mon retour pour se faire à nouveau sucer. Soit la fellation que je lui ai faite était bien réussie, soit je lui plaisais physiquement, en tout cas, il ne semblait attendre que moi.
On retourne au même endroit, sa queue toujours fraiche sans goût de sperme (dommage) et me voici reparti pour une fellation d’environ 10 à 15 minutes. Je fatigue et me rends bien compte qu’il avait bien rechargé les batteries et que je n’y arriverais pas facilement. Entre temps d’autres mecs sont arrivés, 2 dans mon dos à mater, un autre est monté à côté du jeune homme, du coup je me suis retiré pour que les autres puissent s’amuser un peu et moi j’étais surtout venu pour me faire prendre.

En fin d’après-midi, je commence à être bien chaud. Depuis que je suis arrivé, je me mets souvent des doigts en me baladant, l’air de rien, notamment dans le labyrinthe et je me pince sans cesse les tétons. Là ce n’est plus possible, il me faut un actif. Je commence à interroger des mecs qui trainaient depuis plusieurs heures également pour savoir si à tout hasard, ils voudraient me baiser. Quasiment que des passifs ou des mecs pas intéressés.
Dommage, mais il fallait que je rentre, je décide d’aller me masturber en backroom avant de rentrer chez moi… et là je vois arriver un mec d’environ 1,95m très très mince, black environ 45 ans ; je vois qu’il me mate, pas mal sur le trajet de la backroom.
J’entre le 1er, je me mets contre le mur et me pince les tétons sous le tshirt, le grand black arrive, se met à un mètre face à moi et commence à sortir sa queue que je ne vois pas du tout, je devine juste ce qu’il est en train de faire. Je le fixe plusieurs dizaines de seconde et fait un pas vers lui. Il s’avance d’un pas également et astique sa queue encore plus énergiquement. Je mets donc ma main sur son engin et là, sans tomber dans le cliché du black TTBM… et bien, j’avais dans la main la plus grosse queue que j’avais jamais eu (et pourtant à 38 ans, j’en ai vue quelques-unes).
Je me baisse donc pour le sucer en me disant que je n’allais pas y arriver… En effet, je le suce mais pas très bien, j’ai la mâchoire ouverte à fond, je ne peux quasi pas longer sa queue circoncise, j’ai peur de le griffer avec mes dents, et le mec se retire au bout d’une minute… je me relève et il me caresse les fesses…
Stupeur et tremblements, j’avais super envie, mais je n’imaginais pas une seule seconde qu’il allait réussir à me la mettre… Entre temps un gars, un bear qui m’avait demandé une pipe juste avant et à qui j’ai demandé de me prendre le q sans succès, arrive et nous matte. Mon grand black se fait plus insistant et balade ses doigts sur ma raie rasée de près et dans mon trou lubrifié par les doigts que je m’étais mis juste avant. Je lui dit « on peut essayer mais ca rentrera JA-MAIS ».
Je sors du lubrifiant de ma poche, je me mouille bien la rondelle qui l’était déjà, je me tartine sur tout l’intérieur du fessier en me disant que vu la taille de l’engin, il n’arriverait qu’à se frotter, j’enlève mon short et mon caleçon car je savais que j’allais encore mouiller partout et en 2 secondes sans en ...

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