Un jeudi , le ciel au-dessus du Parc de Miribel Jonage était encore teinté d’un orange crépusculaire quand je suis arrivé au parking Baraka, vers 18h30.
L’air était tiède, chargé d’une odeur d’herbe humide et de testostérone en suspens. J’avais lu les rumeurs sur ce spot : un lieu discret, connu des mecs en chasse, et j’étais prêt à tout donner. Mon annonce sur le site avait rameuté du monde, et je sentais déjà mon corps frémir d’excitation à l’idée de ce qui m’attendait.
Je suis descendu de ma caisse, un short qui laissait deviner mes fesses et mon jockstrap et un tee shirt Adidas noir . Pas de chichi, j’étais là pour une chose : vider des queues, et j’avais promis un open bar total. À peine avais-je posé un pied sur le gravier que j’ai vu les premiers gars approcher. Huit paires de couilles à soulager, c’est ce que j’avais compté à la fin de la nuit, mais là, tout de suite, c’était le début du carnage.
Le premier à se pointer fut un rebeu baraqué, la trentaine, avec une barbe bien taillée et un regard qui sentait la baise à plein nez. Il portait un jogging gris qui ne cachait rien de son matos : une bosse énorme tendait le tissu, et j’ai tout de suite su qu’il était dans la catégorie TBM que j’avais réclamée sur Wannonce . « T’es le passif de l’annonce, c’est ça ? » qu’il m’a lancé, un sourire en coin. J’ai hoché la tête, déjà à moitié en transe, et il a baissé son froc sans attendre.
Sa queue, épaisse, veinée, avec un gland luisant, m’a fait saliver direct. J’ai plongé dessus, mes lèvres s’étirant autour de son calibre, pendant qu’il grognait de plaisir en me tenant la nuque. Il sentait le mâle, un mélange de sueur et de musc brut, et je l’ai pompé jusqu’à ce qu’il me remplisse la gorge d’un jet brûlant. Premier vidage, et j’étais déjà trempé de désir.
Un deuxième rebeu s’est ramené juste après, un pote du premier apparemment. Plus jeune, plus sec, mais tout aussi bien équipé. Il avait un regard vicieux et une capuche relevée qui lui donnait un air de bad boy. Sans un mot, il m’a retourné contre une bagnole garée là, a craché dans sa main et m’a enfilé d’un coup sec. Mon cul s’est ouvert comme une fleur, habitué à ce genre de traitement, et il m’a pilonné en rythme, ses couilles claquant contre mes fesses. « T’aimes ça, hein, salope ? » qu’il murmurait entre deux coups de reins. J’ai gémi un "oui" rauque, et il a fini par se vider en moi, laissant une chaleur collante couler le long de mes cuisses.
La nuit avançait, et les mecs défilaient. Un troisième, un blond costaud d’une quarantaine d’années, m’a pris la bouche pendant qu’un quatrième, un mec nerveux avec une queue courbée, s’occupait de mon cul. J’étais en sandwich entre eux, bavant et gémissant, tandis que le parking résonnait de bruits de chair et de souffles rauques. À un moment, un agent de sécurité s’est pointé, un grand Black en uniforme, la trentaine bien tassée, avec une lampe torche qu’il a braquée sur nous. J’ai cru qu’on était foutus, mais il a juste ricané : « Continuez, je mate. » Et puis, sans prévenir, il a déboutonné son froc et m’a rejoint. Sa queue était massive, un gourdin sombre qui m’a fait un effet de dingue. Il m’a attrap ...
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