Histoires de sexe et récits érotiques gay, bi et hétéro

Deux jours de travail au centre-ville, qui m’ont bien occupé, ont exacerbé le manque cruel de mon beau Rahim. Ses baisers, le goût de sa salive, la caresse de son abondante toison contre ma peau, les fragrances de sa transpiration légèrement acide, la saveur de son sperme, la chaleur de son sexe et la douceur au doigt de son anus vierge.
La chienne ayant été confiée à un dog-sitter, je n’ai eu aucune occasion de le voir, partant assez tôt le matin et rentrant à 18h00. Mais ce soir, [......] voir la suite

Mais dès le lendemain, je le croise à nouveau dans le hall. Il a l’air vraiment content de me voir. Cela me ravit et me flatte.
Toujours dans son bleu de travail. Je lui montre sa bosse, en rigolant : « Alors ? Toujours sans caleçon ? »
A voix basse « Non tu m’as convaincu ! c’est bien plus agréable, cela fait plein de nouvelles sensations. Et je m’en fous que ma femme râle. J’aime bien nos moments » me répond-il simplement ; ce qui me va droit au cœur. C’est simple, franc [......] voir la suite

Dès le lendemain matin, à heure pétante, me voilà dans le couloir avec la chienne pour la promenade du matin, puis dans le hall d’entrée.
Mon beau Rahim s’y trouve, astiquant consciencieusement le bloc des boites aux lettres. Je ne fais pas de bruit afin de l’admirer en toute quiétude. C’est vraiment un mec magnifique. Un peu petit peut-être, quoique... Il est dans un bleu de travail bretelles avec un T-shirt blanc immaculé.
« Bonjour Rahim »
Il se relève, son visage s’éclairant [......] voir la suite

Et là je commence un pelotage en bonne et due forme de cette bite magnifique ; Il est collé au mur, la tête levée vers le plafond, les yeux un peu fermés, passant sa langue sur ses lèvres, tout en gardant bêtement sa main sur la base de ma queue. Je vois son torse se soulever par sa respiration lente et profonde.
« Essaie de faire pareil avec moi ! »
Il s’y met mais vraiment très mal.
« Laisse tomber, ce n’est pas grave et ne pense plus qu’à toi. »
J’essaie de l’embrasser [......] voir la suite

Le soir, malheureusement, mon couple d’amis me propose d’aller promener la chienne avec eux. Je ne peux refuser. Nous passons toute la soirée au salon. Merde, impossible de m’évader vers les serres du jardin botanique (voir mes premières histoires). Me voilà donc frustré et en manque. Comme je suis hyper addictif au sexe, c’est dans la baignoire que je me pratiquerai une délicieuse masturbation, toujours en pensant à mon Iranien en train de baiser sa femme… Et bis repetita encore [......] voir la suite

Me voici à nouveau à Genève, et jusqu’au 28 avril.
Les amis qui me reçoivent occupent une résidence assez classe, donc des concierges en place.
Jusqu’à présent, couple de portugais sympa. Bobonne avec un large cul et mec avec gros bide et court sur pattes. La cinquantaine tous les deux.
Habituellement, je vois surtout la femme. Très gentille.
Ce matin, je descends la chienne de mes amis qui sont au travail. Habituellement, la concierge est en train de nettoyer le grand hall d’entrée [......] voir la suite

Nous passâmes encore quelques jours délicieux, à deux ou à trois, avec Koffi.
Puis, mon épouse me rejoignit avec notre enfant. La situation, de facto, fut plus délicate, nous possédions alors beaucoup moins de créneaux disponibles. La présence de ma femme, celle de Kodjo, de la femme de ménage... Tout cela n’autorisait pas beaucoup d’instants d’intimité. L’envie était pourtant permanente et brûlante, en dépit des satisfactions que m’apportait ma douce et tendre ...
Oumar [......] voir la suite

Repus, nous nous assoupissons tout de même, la pénombre d’ambiance de la carlingue nous y encourageant.
Je ne sais combien de temps j’ai dormi. Mais une chose est sûre, c’est que je me suis réveillé la bite toute dure en ayant fantasmé à une immense partouze avec mon bel adolescent défonçant les chattes de femmes en chaleur, devinant son beau gland ourlé les pourfendre, ces dames se tortillant sous les coups de marteau pilon de son vit enchanteur. Je maintiens volontairement les [......] voir la suite

La semaine se révéla plutôt pénible. La moiteur lourde de Lomé dans le nuage de pollution de milliers de motocyclettes pétaradantes, tout ce bruit avec en plus mes rendez-vous de courtoisie protocolaire avec leurs attentes interminables, et la climatisation de ma voiture toujours pas réparée malgré les efforts d’Oumar.
Enfin dimanche ! Personnel libéré sauf Oumar, petits plats préparés à l’avance par Koffi, bières bien fraiches au réfrigérateur.
Dans la cagna de l’après-midi, [......] voir la suite

Je vis des instants merveilleux, totalement repu sexuellement, avec, contre moi enlacé, un mec magnifique dont je sens la lente mais puissante respiration contre mon torse, ce souffle qui me fait frissonner tout comme sa forte odeur de sa sudation et la chaleur de son corps.
Nous demeurons encore plusieurs minutes, encore dans la transpiration de plaisir de nos peaux encore chaudes, à nous écouter gentiment respirer corps à corps, tout en bénéficiant de la fraicheur de la climatisation.

Puis [......] voir la suite