Délicieuse découverte
Un soir que j’étais seul une envie de sexe c’est fait jour dans ma tête. D’abord de manière badine, une idée comme une autre, puis de plus en plus insistante ; si bien que je me mis presque inconsciemment à me caresser. Pas à me masturber, j’ai bien dit à me caresser.
Je fermais les yeux et laissait vagabonder mes mains sur mon corps mais le tissu de mes vêtements estompait le toucher de mes mains. J’entrepris de me dénuder mais sans précipitation.
Je commençais par retirer ma chemise et je laissais courir le bout de mes doigts sur l’intérieur des poignets jusqu’à la saignée du coude une douce torpeur m’envahit. Puis ce fut le tour de mon Tee-shirt libérant ma poitrine et offrant à mes mains inquisitrice mes mamelons que je taquinais avec plaisir et délectation. Je sentais mon sexe durcir mais je ne voulais pas le saisir tout de suite. Je continuais à explorer mes sensations. Mes mains courraient sur mes seins et mon ventre et faisaient naître en moi une irrésistible envie de plus sans vraiment savoir quoi. Je retirais mon jean et dans le même temps mes chaussettes, je trouve que rien n’est plus laid que la nudité en chaussettes c’est un « tue l’Amour ».
Je me retrouvais en boxer, les jambes nues. Sans vraiment y penser mes mains ont pris possession de l’intérieur de mes cuisses, là ou la peau est le plus sensible. J’avais l’impression que nous étions deux, ce n’était plus mes mains mais celles d’un inconnu qui, de manière si délicate, courraient sur mes cuisses éveillant de doux frissons jusqu’au creux de mon ventre. Maintenant ma verge était vraiment gorgée de sang et se tenait compressée derrière l’étoffe de mon boxer qu’elle déformait. N’y tenant plus j’ôtais mon boxer et me retrouvait dans le plus simple appareil. La turgescence de mon sexe libéré était à son paroxysme mais je ne voulais pas me masturber.
C’est alors que me vint l’idée d’essayer « le réseau ». Je n’avais jamais expérimenté cette manière de faire des rencontres. Après quelques recherches sur internet, j’ai trouvé un site qui permettais, après inscription, de laisser un message en espérant qu’une personne y réponde. Sitôt trouvé, sitôt fait !
Je fus réellement surpris des réponses obtenues. La plupart émanait d’homme, la gente féminine était quasi absente. L’un d’eux attira mon attention et piqua ma curiosité. Il me dit se prénommé Pascal et il se sentait seul également désireux d’échanger sur tout sujet afin de passer une bonne soirée. Je lui demandais s’il pouvait recevoir ou peut être préférait-il que nous retrouvions au restaurant pour faire plus ample connaissance. Il me répondit qu’il n’avait aucun problème pour me recevoir et me donna son adresse. Je me rhabillais prestement et prit ma voiture pour me rendre à l’adresse indiquée.
Je sonnais à la porte et quand il ouvrit la porte je fus charmé par sa prestance et son élégance. C’était un homme jeune châtain aux yeux verts, un peu plus grand que moi d’allure sportive vêtu d’une chemise bleu lavande ouverte sur un torse bronzé et d’un pantalon en lin, les pieds nus ce qui lui donnait un air décontracté. Il m’invita à entrer.
Le salon était décoré de façon sobre mais confortable, deux fauteuils profonds et un canapé en cuir cernait une table basse en verre. L’un des murs était garni d’étagères de différentes tailles supportant des livres jusqu’au plafond.
Après quelques échanges anodins il me demanda pourquoi j’avais lancé un appel sur le réseau. J’avoue avoir hésité un peu avant de répondre et de lui expliquer dans quel état d’esprit j’étais à ce moment-là. Il sourit et me demanda si j’acceptais de reprendre la même tenue. C’était un peu précipité et gênant mais d’un autre coté n’était ce pas pour cela que j’étais venu ?
Je m’exécutais et trouvait nu face à lui.
« -Assied toi » me dit-il en me montrant un fauteuil
Le froid du cuir me fit frissonner mais rapidement il prit ma température et bien qu’un peu collant je trouvais cela fort agréable.
« -veux-tu boire quelque chose ? j’ai du champagne au frais
-avec plaisir m’entendis je répondre »
Le seau à champagne trônait sur la table basse et la bouteille y reposait le goulot dans les glaçons, elle était vide nos deux flutes étaient vides également et j’étais, par je ne sais quel miracle, assis dans le canapé au coté de Pascal qui me caressait évitant mon sexe qui pourtant le réclamait.
Il me sourit gentiment et me demanda de le suivre dans sa chambre. J’acquiesçais non sans lui avoir demander de me doucher auparavant. Il m’indiqua la salle de bain et dit m’attendre dans la chambre. Après une toilette méticuleuse je suis allé le rejoindre.
J’ouvris la porte de ...
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