Je me suis longtemps défini comme hétérosexuel. Aujourd’hui, je me vois plutôt comme bisexuel.
Depuis plusieurs années, je suis fortement attiré par les bites. Les queues d’hommes ou de trans m’excitent. C’est un désir extrêmement fort que je ne maitrise pas.

Je dois dire que les sexes dressés, luisants et qui éjaculent m’excitent beaucoup. Je ne pensais pas aimer autant. je ne peux m’empêcher de regarder régulièrement du porno gay bien hard. Depuis 15 ans environ, je fais aussi des plans cam bien cochons avec des hommes en cachette.
Je m’exhibe en mode soumis pour hommes virils. Les mecs m’insultent, me donnent des ordres et je bande grave. Je ne suis jamais aussi dur que dans ces moments-là. Je m’imagine alors en plan réel et je peux jouir sans me toucher, c’est dire !

Laissez-moi vous raconter l’un de mes plus gros fantasmes que je compte bien réaliser un jour : être la salope d’un mec. Être son esclave sexuel, son jouet pour un weekend.

J’imagine le scénario. Rien que d’y penser, j’en mouille abondamment mon slip.

Je prends contact avec un homme de type bear, un peu poilu. Entre 25 et 60 ans. Pas trop grand et bien viril, avec une queue de bonne taille et plutôt large (je fantasme beaucoup sur les queues épaisses de routiers).

Je réserve une chambre dans un petit hôtel de la région. Je donne le numéro de la chambre au mec. Je laisse la porte ouverte. Le gars tape pour annoncer sa présence et rentre. Je suis là, étendu sur le lit, complètement à poil et bien ouvert. Je porte juste un jockstrap. Je me suis bien rasé avant. Ma bite, mes couilles et mon trou de balle sont bien lisses.

Le mec s’approche. Il s’allonge sur le lit et commence à me caresser. Il me dit à quel point il me désire. Désormais, je suis sa chienne, sa pute.

Je lui réponds que je suis à lui et que j’obéirai comme une belle petite cochonne. Je sens des frissons me parcourir. Je n’ai jamais dit cela à un homme. Je ne ressens pas la honte. Pas maintenant. Je sens que je me libère. Je peux enfin être qui je veux sans retenue. J’ai l’impression que j’attendais cela depuis des siècles.

Mon homme commence à me titiller le trou de balle. Je mouille bien. La situation est tellement excitante. Il lubrifie ses doigts et s’enfonce petit à petit dans mon trou. Je couine comme une bonne petite femelle bien docile. Étrangement, ma voix et mes soupirs se font plus plus doux, plus aigus, plus féminins que d’habitude. Je me laisse aller. Je lâche prise et c’est bon.

Cet homme, dont je ne connais pas le nom, continue à me baiser avec ses doigts. Maintenant, je veux voir sa queue. J’approche ma bouche de son pantalon. Je devine la forme de sa queue bien épaisse. Elle n’est pas trop longue. Tant mieux. Pour une première, il vaut mieux. Je pose mes lèvres et mordille son sexe à travers le jean, fou de désir et impatient de sucer une bite pour la première fois.
Bien excité, il retire son pantalon et sort sa teub. Elle est comme je l’imaginais. Épaisse. Le gland forme un gros champignon. Je serai comblé à coup sûr.
J’approche mon visage. Ça y est. Je vais enfin y gouter. Elle sent un peu fort, mais j’avoue que les odeurs m’ont toujours plu. Le gars me confirme qu’il ne l’a pas lavée aujourd’hui et que je vais devoir la nettoyer avec ma bouche de pute.
Ses mots m’excitent au plus haut point et il n’en faut pas plus pour que je plonge mon nez dans ses couilles. Je renifle bien ses burnes et sa queue. Je lèche ses parties goulûment. Je suis dans un état de transe. J’ouvre la bouche et enfourne sa teub. C’est trop bon. Au-delà de mes espérances. D'après lui, je suce pas trop mal apparemment.

Il me baise la bouche de plus en plus fort. Je me sens comme un trou, un réceptacle à foutre, une lope à jus qui mérite d’être baisée sans fin.

Il me dit de me mettre à quatre pattes. Je m’exécute. Bien installé, le cul tendu et bien ouvert. Le mec approche sa queue et la glisse par petites poussées progressivement dans mon anus. Ses va-et-vient sont de plus en plus rapides. J’entends ses grognements virils. Cela me procure presque de la jouissance.

Je me branle et bande sévère pendant qu'il me défonce. Les insultes fusent : « Salope, espèce de chienne, tu aimes te faire baiser comme une pute hein ? je vais te remplir et te souiller salope ». ...

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