Le dernier plan avec P. avait été très rapide. Il voulait qu’on prenne notre temps pour le prochain. Il m’envoie un message qui dit « Le week-end prochain, ma femme est absente », passe samedi en début d’après-midi pour un plan bien long ».
J’arrive chez lui le samedi à 14h pile. Il m’ouvre la porte et je le vois, sourire en coin dans l’entrée de la maison. Je ne me doute pas encore de ce qui m’attend. Il me montre l’entrée du salon en me disant : « Entre ». Au moment où je passe la porte je découvre 4 mecs, entièrement nus, qui me toisent de haut en bas avec un léger sourire.
« J’ai invité quelques potes », me dit-il. « Ça ne te dérange pas ? »
Surpris, je bégaie un vague « Euh », sur lequel il enchaîne : « Apparemment pas, c’est cool ».
Un mélange d’excitation et de peur grandit en moi. Qu’est-ce qu’ils ont prévu ? Est-ce que tous ses potes sont actifs aussi ? Est-ce que je vais assurer ?
Je sens mille et une questions qui montent, mais je n’ai pas le temps de chercher la moindre réponse que P. m’appuie légèrement sur les épaules pour me faire comprendre de me mettre à genoux. C’était le seul encore habillé puisqu’il m’a ouvert sa porte d’entrée, mais il a vite fait d’ouvrir sa braguette et de sortir sa queue, déjà partiellement gorgée de sang, et de la mettre dans ma bouche.
Les choses se sont déroulées tellement vite. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je suis déjà à genoux en train de sucer P. que je sens durcir.
Au début, je suis concentré sur sa queue que le lèche avidement et ses couilles que je caresse en même temps. J’en oublie complètement que 4 autres mecs sont dans la même pièce que nous. Au bout de quelques minutes, je reprends un peu mes esprits et je regarde autour de moi. Le premier mec a la queue déjà incroyablement raide et ne se touche même pas. Il me regarde faire avec un sourire qui en dit long sur le plaisir qu’il prend. Les deux suivants se branlent légèrement et n’en sont qu’au stade de demi-molle. Le dernier se pince les tétons et je vois sa queue sursauter bien qu’elle ne bande pas vraiment encore.
Je continue de m’occuper de P. qui a retiré son t-shirt pendant que moi, j’ai fait tomber son boxer et son pantalon sur ses chevilles. Le premier mec, celui qui bande déjà bien dur, se lève et nous rejoint. P. se retire de ma bouche et pousse légèrement mon visage vers cette nouvelle queue, déjà bien dure, assez longue et plutôt fine.
Je l ...

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