Le reste de mon séjour fut émaillé de plusieurs rencontres avec Valérie et Stéphanie qui de leur côté multipliaient les aventures avec d’autres hommes, la qualité des vacanciers mâles s’étant peu à peu améliorée au fil des jours. Je m’amusais également avec quelques filles rencontrées à la plage ou lors des soirées estivales sur la place du village. C’est alors que mon oncle Michel se fit une entorse. Or, il avait prévu une sortie en mer avec son beau-frère, Charles. Ne pouvant se permettre l’escapade prévue, il proposa à Charles que je l’accompagne à sa place.
Je n’avais rencontré Charles qu’une seule fois dans ma petite enfance et je ne rappelais pas du tout à quoi il pouvait ressembler. S'il était aussi gentil que sa sœur, ma tante Annie, se serait un vrai plaisir. C’est un homme souriant, grand, brun, large d’épaule et au teint buriné des navigateurs aguerris qui se présenta à moi. Ses yeux étaient d’un bleu profond et son menton mal rasé et volontaire était fendu d’une fossette. « Un menton en fesses de bébé » avait l’habitude de dire l’oncle Michel. Il portait ce jour-là une chemise blanche en lin largement ouverte sur un torse poilu comme le dos d’un ours et un bermuda bleu marine délavé. Il passa me prendre à 5h30 du matin.
-C’est au réveil que les poissons ont le plus faim. Il faut leur fournir le petit déjeuner, m’avait dit oncle Michel en riant.
Moi, cependant, la pêche ne m’intéressait pas. J’avais plutôt prévu de lézarder sur le pont du bateau. Vers 7h00 Charles posa ses premières lignes. Nous avions quitté le port sur une mer d’huile et profité du magnifique levé de soleil. Même à cette heure matinale, la chaleur se faisait déjà bien sentir et nous fûmes rapidement torse nu tous les deux. La toison brune qui couvrait ses pectoraux saillants me fascinait. Je n’avais jamais vu une telle fourrure. Même si j’essayais d’être discret, Charles finit par s’apercevoir que mon regard se posait souvent sur sa poitrine.
-Ce sont mes poils qui t’intriguent comme ça ? me demanda-t-il soudain.
-J’avoue que c’est impressionnant, répondis-je simplement.
-Oui, à ton âge j’en avais déjà presque autant qu’aujourd’hui et à ce moment-là c’était plus une gêne qu’une fierté, crois-moi ! Mais maintenant, je les aime bien.
Et en disant cela, il caressait son torse. Puis il retourna à ses gaules. Les poissons ne semblaient pas décidés à mordre contrairement au soleil dont les rayons commençaient à brûler la peau. Nous installâmes alors une grande toile en forme d’auvent au-dessus du pont pour nous protéger. Quand il s’accroupit pour fixer un bout à l’anneau de sécurité, j’aperçus au bas de son dos une touffe de poils qui s’engageait dans sa raie culière dont on apercevait le haut. Malgré moi, cette vision me colla la trique et une bosse incontrôlable jaillit dans mon short. Je fis mine de m’occuper à autre chose pour que Charles ne s’en aperçoive pas mais j’étais troublé de cette réaction incontrôlée. Je baisais toutes les filles possibles avec un bonheur immense depuis le début des vacances et là, un grand mec viril et velu me faisait bander ! Mon trouble ne fit qu’augmenter quand il m’annonça qu’il avait l’habitude d’être à poil sur son bateau quand il était avec mon oncle.
-Entre beaux-frères, ça ne porte pas à conséquence, me dit-il.
Et il fit glisser son bermuda sous lequel il ne portait rien. Son sexe de taille très modeste apparut, tapi au milieu d’un nid sombre comme la nuit. Il m’invita à l’imiter. Le problème était que mon érection ne s’en allait pas. Je finis par suivre son conseil tandis qu’il était occupé à autre chose. Quand il se retourna et me découvrit aussi gaillard, il ouvrit de grands yeux amusés.
-Ben, moussaillon, le soleil et la mer te font de l’effet on dirait !
Je ne répondis rien, gêné de la situation.
-Vous naviguez vraiment tout nu avec oncle Michel. Je ne l’aurais jamais imaginé aussi …
-Libre ? Tu sais, avant d’épouser Annie, ton oncle n’était pas le dernier à s’amuser et à courir le cotillon. On était copains et on a fait bon nombre de virées qui se sont terminées dans le lit de filles qu’on se partageait. C’est grâce à moi qu’il a connu ma sœur et elle n’a pas tardé à le calmer. Ma sœur est un peu coincée du cul. Tu imagines si elle savait que certains soirs, on était tellement bourrés qu’il nous est arrivé de nous sucer mutuellement. Faute de grive, on baisait les merles.
Ces révélations me stupéfiaient.
-Seulement quand vous étiez bourrés ? demandais-je.
Charles garda le silence puis se lança :
-Au début, oui. On l’a fait une ou deux fois sans vraiment s’en rendre compte. Et puis, on a trouvé ça plutôt agréable. En plus c’était pratique quand on n’avait pas de filles sous la main. Jusqu’au jour où je lui ai avoué que j’aimais vraiment ça et que je voudrais bien aller un peu plus loin. Ce jour-là, on a baisé comme des malades. A la fin de la journée, nos culs, vierges jusque-là, ne l’étaient vraiment plus. Et depuis, je ne te cacherai pas que nos sorties en mer sont souvent l’alibi de nos fantaisies libidineuses.
-Vous baisez encore avec oncle Michel ! C’est incroyable !
Cette confession inattendue avait fini de me retourner les sens. Je bandais maintenant ouvertement et sans doute excité par ses propres paroles, le sexe de Charles s’était déployé en un magnifique dard de taille tout à fait respectable. Devant le spectacle de cet homme viril au sexe levé, mon sang ne fit qu’un tour et je demandai en m’approchant :
-Et à défaut de l’oncle, le neveu pourrait faire l’affaire aujourd’hui ?
-Avec plaisir, répondit-il en souriant.
Il prit ma bouche et me roula une pelle magistrale qui reflétait toute son ex ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur