Après plusieurs jours d'envie, et sans avoir eu l'occasion de satisfaire mon désir malgré un passage la veille sur ce parking forestier, j'avais laissé un message sur le site gay LdD pour prévenir que je passerais ce matin du premier Janvier en partant travailler (et oui, il m'arrive de travailler les jours fériés...), sans trop d'espoir vu la date et l'heure un peu matinale.
En tournant pour me garer, se trouvait déjà stationnée une petite Renault rouge (je ne sais pas si c'était un heureux hasard ou dû au message laissé la veille au soir sur le site). Je faisais les manoeuvres nécessaires pour me stationner de l'autre côté du parking et dans l'autre sens pour que les fenêtres conducteur soient en vis à vis et reculais pour tenter d'apercevoir le conducteur de l'autre voiture. Difficile de bien voir au travers des vitres, je baissais donc la mienne à moitié et il me semblait que le véhicule était occupé par deux personnes. Je coupais le moteur et attendis un peu. Après un court moment, la portière conducteur s'ouvrit sur un homme d'age mur, cheveux et bouc grisonnant. Il descend de son véhicule en me regardant. Je referme ma vitre, ouvre ma portière, sors de ma voiture et lui emboîte le pas alors qu'il se dirige vers le bois et s'enfonce entre les arbres pour être hors de vue de la route et du parking, se retournant de temps en temps pour voir si je le suivais. Manifestement il avait, tout comme moi, une idée derrière la tête. il s'arrête enfin derrière un gros arbre. Je le rejoins et lui demande ce qu'il cherche et aime. Il me répond "tout", et me pose la même question à laquelle je réponds que j'ai très envie de sucer... ce qui semble lui convenir en me précisant qu'il n'a pas "une grosse bite". Je lui réponds que ça n'a pas d'importance (ce qui est vrai, ça ne me dérange pas, et j'ai tellement faim...).
Il sort alors son sexe de son pantalon de jogging. Je m'accroupis devant lui et commence à lécher son prépuce et son gland, puis je le prends délicatement en bouche. J'aspire, fais quelques mouvements de va et vient, lèche. Son sexe commence à se raidir et à s'allonger, facilitant la "prise en bouche" et me faisant redoubler d'envie et d'appétit. J'accélère, emprisonne sa queue entre mes lèvres, l'avale le plus loin possible, touchant son pubis avec mon nez. Il semble apprécier. En même temps je caresse ses couilles. Mon sexe durcit aussi d ...

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