Lorsque je remonte à Paris, je n’hésite pas à laisser un SMS à une connaissance de sexshop. On ne connait pas nos prénoms mais on a notre N° de portable ! Est-ce moins engageant ? Cela reste à prouver…
Donc avant chaque passage au sexshop je lui indique mon heure de passage et sa réponse est toujours identique : « je vais essayer ». Et à chaque fois il est présent à ma plus grande joie.
Cette fois-ci je suis arrivé avec du retard, je me pose tranquillement dans la salle commune où il y avait de monde. Me déboutonne devant un film gay bien chaud, comme j’aime. Cela m’excite toujours de voir un beau gosse sucer une belle tige. On me tape à l’épaule, il était là, déjà en prise à se bécoter avec un autre gars, se léchouiller le visage et se caresser. Ils étaient assis sur la même banquette côte à côte, avec leurs beaux engins sortis.
Il me fit signe de me joindre à eux et l’appel de la bite étant trop forte… ni une, ni deux, je me mis à genoux devant leurs tiges, et commençais à faire ce pourquoi j’étais là. « Vas-y profites en, elle est pour toi ». Je retrouvais sa grosse queue et son beau gland qui commençait à prendre forme. Je débutais par le gland puis le pris bien en bouche en faisant des allers et retours, lui léchais le frein. Je me cambrais et offrais une belle vue sur ma croupe de reins.
Je commençais à faire ma spécialité la gorge profonde et je me délectais de le prendre bien au fond de la gorge. Pendant ce temps le copain se tournait vers son acolyte et lui glissait quelques mots dans l’oreille : « Elle aime sucer et elle le fait bien profond, tu veux tester » Il a dû dire oui car il m’a dit de le sucer aussi.
Je tournais donc la tête vers cet inconnu qui avait sa bite encore molle et décida de lui redonner de la vigueur. J’étais aux anges à genoux devant deux engins pour moi tout seul.
Pendant ce temps mon copain et son voisin se bécotaient, se caressaient les tétons. C’était si torride que je me mis en mode chienne voulant satisfaire mes deux hommes.
Le film de cul qui passait à l’écran alternait les scènes de suce et de sodomie, je me cambrais et écartais bien ma chatte anale pour montrer mon manque. Mais ils n’en avaient cure, tout occupé à s’embrasser.
C’est à ce moment qu’un troisième larron est entré dans la salle et s’est assis sur la même banquette, il sortit sa tige bien gonflée avec une longueur dans la moyenne mais elle était tellement droite qu’il jouait avec en la pressant de droite à gauche et cela me captivait.
Je continuais à m’occuper de bien gober les deux tiges et je me demandais si trois était bien raison ...

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